lundi 5 janvier 2009

Le goût des sionistes pour la chasse à l'homme et les "excursions" sanguinaires n'a rien de nouveau



J'ai retrouvé par hasard cette photo, non datée et non localisée, [je crois que c'est au Liban en 1982 mais je n'en suis pas certain] de terroristes sionistes prenant la pose devant une de leurs victimes Palestiniennes comme le feraient des chasseurs devant le gros gibier qu'ils viennent d'abattre.
Remarquez que l'homme étendu mort au sol est pieds nus et recouvert d'une couverture, ce qui laisse entendre qu'il n'a sans doute pas été tué à l'endroit exact où le cliché a été pris.


Si quelqu'un connaît la date et le lieu exact de cette scène, merci de me la communiquer.

On dit que l'armée sioniste est la plus morale du monde, que l'entité sioniste est une démocratie. N'en avons pas la preuve sur cette photo, comme à Gaza en ce moment ou au Liban auparavant, en Palestine depuis 60 ans etc. ?

Une photo qui, par son caractère ludique, ne peut être dépassée en horreur que par celles de ces enfants Palestiniens ou Libanais exterminés par Sion. Et qui vient s'ajouter comme pièce à conviction dans la vérification des thèses de Gilad Atzmon.

5 commentaires:

  1. il me semble que cette photo a ete prise en juillet 2006 au Liban lors de l'agression israelienne contre le Liban.

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  2. tiens tu as changé de sexe pour faire croire que tu as de la visite ??

    un vrai hermaphrodite...

    intéressant ...

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  3. Voilà un livre qui m'a boulversée et que je vous conseille de lire.

    Les matins de Jénine

    Susan Abhulawa
    Michèle Valencia (Traducteur)
    Broché
    Paru le: 06/03/2008Editeur : Buchet-Chastel ISBN : 978-2-283-02284-9 EAN : 9782283022849 Nb. de pages : 422 pages

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    Les Matins de Jénine est né du conflit politique le plus inextricable du siècle.
    En 1948, l'année de la naissance d'Israël, la famille d'Hassan et de Dalia, Palestiniens soudés à la terre de leurs ancêtres dans le village d'Ein Hod, vit au rythme des récoltes d'olives. Mais leur destin bascule le jour où Ismaïl, leur petit second, est enlevé par Moshe et Jolanta, un couple d'Israéliens en mal d'enfants. Rebaptisé David, Ismaïl est élevé dans l'ignorance de ses véritables origines et dans la haine des Arabes.
    Le restant de sa famille, dépossédé et chassé de ses terres, est dirigé vers les tentes fragiles et vulnérables des camps réfugiés. Quand et comment Ismaïl pourra-t-il retrouver les siens, son frère Youssef, nourri par la haine issue de l'injustice et de la misère, puis tenté par la folie du terrorisme ? Et sa sœur Amal, qui, établie aux États-Unis et vivant le " rêve américain ", reste toujours hantée par l'amour de parents trop tôt disparus et le regret d'avoir fui sa Palestine ?.
    Tiré de la longue page d'histoire des relations israélo-arabes, ce bouleversant roman sur trois générations d'une famille palestinienne éclaire d'une lumière re intimiste mais impitoyable deux peuples prisonniers d'une spirale infernale en attente d'aubes qui chantent.

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  4. Monsieur, surtout ne pas cédez pas devant vos détracteurs, car de par le monde des voix s'élèvent contre les mensonges de l'Axe du Mal.

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  5. Les jounalistes ne sont pas autorisés à se rendre à Gaza, soi-disant pour leur sécurité, (affirmation israëlienne). C'est surtout pour ne pas voir ce qu'ils y font, comme à Naplouse et Jénine.

    VOIR
    membres.lycos.fr/infoprocheorient/newpage9.html - 25k

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