Le contrôle sioniste s’exerce partout où sont implantées les organisations sionistes. Un certain nombre d’exemples de sa capacité de nuisance vous ont été donnés dans ce blog ou ailleurs, les cas récents les plus fameux étant, en France, les mésaventures du dessinateur Siné, du sous-préfet Bruno Guigue ou de l’humoriste Dieudonné.
Cette censure s’exerce plus aisément dans le domaine des mass media, tributaires de recettes publicitaires ou plus simplement directement dépendants de puissances financières liées à l’appareil sioniste.
Ce contrôle s’exerce plus difficilement dans la sphère universitaire même si la situation est inégale d’un pays à l’autre : contrôle très présent dans de nombreuses universités aux Etats-Unis, contrôle qui peut s’exercer en France principalement sur les questions relatives à « l’holocauste.»
Mais même aux USA, ce contrôle a du mal à enrégimenter l’ensemble des universitaires et des institutions qui leur sont associées comme de prestigieuses maisons d’édition.
Ainsi, l’article que je vous propose expose les reproches formulés par le Comité Juif Américain à l’encontre de la maison d’édition Gale McMillan au sujet d’un article sur le sionisme figurant dans son encyclopédie des races et du racisme.
McMillan fait partie de ces prestigieuses maisons d’éditions universitaires à l’instar des Presses Universitaires de France, d’Oxford University Press et j’en passe qui s’attellent à diffuser auprès du public, universitaire et non universitaire, les acquis les plus récents des différents domaines de la connaissance.
En lisant l’article, je me suis demandé (car c’est un des reproches fait à l’auteur de l’article que de n’être pas spécialiste du judaïsme ou du Moyen-Orient) si pour traiter du sionisme il valait mieux être spécialiste du Proche-Orient ou du racisme. Je penche plutôt pour le deuxième cas quand il s’agit de comprendre l’idéologie sioniste et, justement, Noel Ignatiev l’auteur de l’article incriminé est un universitaire spécialiste du racisme qu’il combat sous toutes ses formes. L’éditeur a donc fait le bon choix.
Cette censure s’exerce plus aisément dans le domaine des mass media, tributaires de recettes publicitaires ou plus simplement directement dépendants de puissances financières liées à l’appareil sioniste.
Ce contrôle s’exerce plus difficilement dans la sphère universitaire même si la situation est inégale d’un pays à l’autre : contrôle très présent dans de nombreuses universités aux Etats-Unis, contrôle qui peut s’exercer en France principalement sur les questions relatives à « l’holocauste.»
Mais même aux USA, ce contrôle a du mal à enrégimenter l’ensemble des universitaires et des institutions qui leur sont associées comme de prestigieuses maisons d’édition.
Ainsi, l’article que je vous propose expose les reproches formulés par le Comité Juif Américain à l’encontre de la maison d’édition Gale McMillan au sujet d’un article sur le sionisme figurant dans son encyclopédie des races et du racisme.
McMillan fait partie de ces prestigieuses maisons d’éditions universitaires à l’instar des Presses Universitaires de France, d’Oxford University Press et j’en passe qui s’attellent à diffuser auprès du public, universitaire et non universitaire, les acquis les plus récents des différents domaines de la connaissance.
En lisant l’article, je me suis demandé (car c’est un des reproches fait à l’auteur de l’article que de n’être pas spécialiste du judaïsme ou du Moyen-Orient) si pour traiter du sionisme il valait mieux être spécialiste du Proche-Orient ou du racisme. Je penche plutôt pour le deuxième cas quand il s’agit de comprendre l’idéologie sioniste et, justement, Noel Ignatiev l’auteur de l’article incriminé est un universitaire spécialiste du racisme qu’il combat sous toutes ses formes. L’éditeur a donc fait le bon choix.
NEW YORK, 10 octobre /PRNewswire-USNewswire traduit de l’anglais par Djazaïri
Le Comité juif américain (AJC) invite une grande maison d'édition à retirer un chapitre sur le Sionisme de son Encyclopédie des races et du Racisme.
"Il est incompréhensible qu'un éditeur honorable puisse inclure le mouvement national des Juifs, le Sionisme, dans une encyclopédie sur le racisme," a déclaré le Directeur d’AJC, DAVID A. Harris. "Aucune autre forme de nationalisme n'est incluse dans l'encyclopédie en trois volumes. Gale a livré de quoi mal informer le monde universitaire et au-delà pour attaquer l'Etat Israël."
Disponible en ligne et en version papier, l’encyclopédie esr publiée par McMillan Reference, une filiale de Gale, Cengage Learning.
Dans une lettre à Frank Menchaca, vice-président et éditeur de gale, l’AJC n’a pas seulement mis en question le motif de l’inclusion du sionisme dans l’encyclopédie mais également signalé un certain nombre d’inexactitudes dans le chapitre.
« A notre regret, la réponse qui nous a été donnée était vague et équivoque,» a déclaré Harris.
Menchaca a écrit que le rôle de Gale en tant que maison d’édition de référence, est « de diffuser les connaissances universitaires sur la sujet traité, de garantir du mieux possible leur exactitude et de s’appuyer sur l’expertise et le jugement de notre comité éditorial pour nous avertir d’écarts [par rapport aux normes universitaires].
« Les éditeurs de référence ont le devoir de répertorier les controverse, non d’y participer, » poursuit Menchaca.
« Cette prétention à une banale neutralité est scandaleuse, » affirme harris. « Les éditeurs ont l’absolue responsabilité de présenter les faits et non de les distordre de sorte à enjoliver et à promouvoir des mythes. Les éditeurs de référence ont aussi la responsabilité de choisir des auteurs ayant une expertise de haut niveau. Encore une fois, dans le cas du chapitre sur le sionisme, Gale n’a pas été à la hauteur.»
Noel Ignatiev, l’auteur du chapitre sur le sionisme, n’a pas d’antécédents de travaux universitaires dans le domaine des études juives ou moyen-orientales, mais ses écrits précédents montrent un préjugé à l’encontre des Juifs et d’Israël. En fait, l’entrée propose une représentation déformée du sionisme comme « idéologie raciale » et promeut scandaleusement le canard de la « collaboration » sionisme – nazisme.
« Le chapitre est émaillé de graves erreurs et de distorsions délibérées, » explique Harris. « Pourtant, il est présenté aux lecteurs comme une approche objective et impartiale du sionisme dans ce qui est tenu pour un ouvrage de référence.»
«Ce qui est commercialisé sous le label universitaire est en réalité de la propagande et c’est honteux,» affirme Harris.
SOURCE American Jewish Committee
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