Selon le conseil des rabbins des territoires occupés : en temps de guerre, pas d'innocents chez l'ennemi
Le conseil des rabbins des territoires occupés (Yesha Rabbinical Council) a déclaré au sujet de l'attaque de l'IDF (l'armée sioniste) sur Kfar Qanna que "selon la loi juive, en période de combats et de guerre, il n'y a pas "d'innocents" chez l'ennemi."
Toutes les discussions sur la morale chrétienne affaiblissent le moral de l'armée et de la nation et nous coûtent le sang de nos soldats et de nos civils" explique le déclaration. (Efrat Weiss)
lundi 31 juillet 2006
Où les sionistes ont-ils appris à se comporter aussi sauvagement?
Un exemple d'une pratique sauvage conforme à celle de l'armée sioniste.
v
En 1944, la commune de Maillé compte 627 habitants dont 241 habitent le bourg. Depuis le début de la guerre, 88 réfugiés se sont ajoutés à la population. Depuis juin 1940, l'armée allemande occupe Maillé qui est tout proche du camp militaire de Nouâtre. Les officiers logent chez l'habitant tandis que la troupe a monté des baraquements dans le bourg.
En été 1944, la libération est proche et la résistance s'active dans la région. Par trois fois déjà, des résistants ont fait sauter la voie de chemin de fer, dont deux fois en pleine gare de Maillé. Et puis, le 11 août 1944, le pilote d'un avion anglais sautait en parachute de son appareil abattu par la D.C.A. Malgré les patrouilles, le pilote n'a pas été retrouvé. Il a probablement bénéficié de complicités dans le secteur de Maillé.
Si ces incidents ont pu irriter l'occupant, ce qui déclenche le massacre, c'est l'attaque d'une patrouille allemande par les FFI, dans la commune.
Le 24 août, aux alentours de 19h00, un camion des résistants muni d'un fusil-mitrailleur fait irruption dans une ferme du nord de Maillé pour se ravitailler. Au même moment, deux voitures de l'armée allemande remplies de soldats et d'officiers, passent en trombe devant la ferme. L'occasion semble peut-être trop bonne pour les résistants. Ils attaquent les deux voitures allemandes. La fusillade dure 3/4 d'heure. Il y aurait des blessés voire des morts du côté allemand.
Aussitôt après l'attentat, un soldat allemand tente des représailles dans une ferme voisine, mettant en joue la famille rassemblée dans la cour. Le premier coup de feu est manqué. Le temps de recharger l'arme et la famille disparait dans les champs. Le soldat n'insiste pas.
Le sous-lieutenant Gustav SCHLUETER, commandant le gîte d'étape de Sainte-Maure fait partie du convoi attaqué. Il aurait signalé par téléphone, au colonel STENGER, commandant d'armes à Tours que "des terroristes avait tiré sur sa voiture à proximité de maillé" et lui aurait demandé "s'il devait engager une action contre ces terroristes". Le sous-lieutenant SCHLUETER se serait autorisé d'une formule assez imprécise d'acceptation pour organiser le massacre de la population de Maillé.
En 1944, la commune de Maillé compte 627 habitants dont 241 habitent le bourg. Depuis le début de la guerre, 88 réfugiés se sont ajoutés à la population. Depuis juin 1940, l'armée allemande occupe Maillé qui est tout proche du camp militaire de Nouâtre. Les officiers logent chez l'habitant tandis que la troupe a monté des baraquements dans le bourg.
En été 1944, la libération est proche et la résistance s'active dans la région. Par trois fois déjà, des résistants ont fait sauter la voie de chemin de fer, dont deux fois en pleine gare de Maillé. Et puis, le 11 août 1944, le pilote d'un avion anglais sautait en parachute de son appareil abattu par la D.C.A. Malgré les patrouilles, le pilote n'a pas été retrouvé. Il a probablement bénéficié de complicités dans le secteur de Maillé.
Si ces incidents ont pu irriter l'occupant, ce qui déclenche le massacre, c'est l'attaque d'une patrouille allemande par les FFI, dans la commune.
Le 24 août, aux alentours de 19h00, un camion des résistants muni d'un fusil-mitrailleur fait irruption dans une ferme du nord de Maillé pour se ravitailler. Au même moment, deux voitures de l'armée allemande remplies de soldats et d'officiers, passent en trombe devant la ferme. L'occasion semble peut-être trop bonne pour les résistants. Ils attaquent les deux voitures allemandes. La fusillade dure 3/4 d'heure. Il y aurait des blessés voire des morts du côté allemand.
Aussitôt après l'attentat, un soldat allemand tente des représailles dans une ferme voisine, mettant en joue la famille rassemblée dans la cour. Le premier coup de feu est manqué. Le temps de recharger l'arme et la famille disparait dans les champs. Le soldat n'insiste pas.
Le sous-lieutenant Gustav SCHLUETER, commandant le gîte d'étape de Sainte-Maure fait partie du convoi attaqué. Il aurait signalé par téléphone, au colonel STENGER, commandant d'armes à Tours que "des terroristes avait tiré sur sa voiture à proximité de maillé" et lui aurait demandé "s'il devait engager une action contre ces terroristes". Le sous-lieutenant SCHLUETER se serait autorisé d'une formule assez imprécise d'acceptation pour organiser le massacre de la population de Maillé.
dimanche 30 juillet 2006
Désinformation sioniste (quater)
Chipé sur le site Oulala. net (qu'ils me pardonnent)
d
Liban : le gros mensonge d’Israël et de l’occident.
28 juillet 2006
par Ashoka
28 juillet 2006
par Ashoka
n
On nous avait fait croire jusqu’ici que le motif de la guerre déclenchée par Israël contre le Hezbollah et aussi le Liban était la capture de deux soldats Israéliens en territoire israélien le 12 Juillet. Or, il s’avère que rien n’est moins sûr.
b
Des rapports concordants de medias indépendants, ainsi que de l’Associated Press, mettent à mal la version officielle israélienne. En fait, Israël avait envoyé un commando dans le Sud Liban, qui fut attaqué près du village de Aitaa- al-Chaab, bien à l’intérieur du territoire libanais. C’est là qu’un blindé israélien fut détruit par le Hezbollah, tuant six soldats Israéliens et en capturant deux. Le reporter de l’Associated Press, Joseph Panossian, a écrit son article le 12 Juillet. Pour sa part, MSNBC a d’abord annoncé la capture des deux soldats Israéliens à l’intérieur du territoire libanais, pour finalement changer leur version quelques heures plus tard après l’annonce officielle du gouvernement israélien.
Mais la version officielle d’Israël est contredite également par les faits : Le blindé se trouve toujours dans le village de Aitaa al-Chaab et les Israéliens n’ont pu encore le récupérer.
Des rapports concordants de medias indépendants, ainsi que de l’Associated Press, mettent à mal la version officielle israélienne. En fait, Israël avait envoyé un commando dans le Sud Liban, qui fut attaqué près du village de Aitaa- al-Chaab, bien à l’intérieur du territoire libanais. C’est là qu’un blindé israélien fut détruit par le Hezbollah, tuant six soldats Israéliens et en capturant deux. Le reporter de l’Associated Press, Joseph Panossian, a écrit son article le 12 Juillet. Pour sa part, MSNBC a d’abord annoncé la capture des deux soldats Israéliens à l’intérieur du territoire libanais, pour finalement changer leur version quelques heures plus tard après l’annonce officielle du gouvernement israélien.
Mais la version officielle d’Israël est contredite également par les faits : Le blindé se trouve toujours dans le village de Aitaa al-Chaab et les Israéliens n’ont pu encore le récupérer.
v
On ne s’étonnera pas du procédé, tant la désinformation fait partie de la panoplie du parfait politicien véreux. On se rappelera, dans un tout autre contexte, que les nazis s’étaient servi du prétexte de l’incendie du Reichstag. Les sionistes semblent s’être inspiré du procédé, et apparemment les deux prétextes ont fonctionné. Ici, le Liban a été détruit et Israël peut impunément semer mort et dévastation sur le passage de son armée. Ehud Olmet et son accolyte Peretz sont décidément de bien vilains cocos.
Mais alors le motif tombe. Ce n’est pas Israël qui avait le droit de se défendre, mais les Libanais. La provocation est israélienne, et le tort va à Israël. Qui osera rétablir la vérité ? probablement personne. Car la loi du plus fort est toujours la meilleure. Ici, c’est la loi du tandem israélo-américain.
Le modèle américain appliqué en Irak est appliqué ici par Israël à l’égard du Liban : D’abord on détruit le pays, ensuite on installe un gouvernement inféodé. Ce qu’essaie de faire Bush en Irak, Olmert va essayer de le faire au Liban. Réussiront-ils ? En tous cas, ce scénario du modèle américain impliquait la disparition de Rafic Hariri, qui n’aurait jamais joué le jeu israélo-américain et qui avait le tort d’être Sunnite et pas Chrétien. À moins d’être d’une naïveté indécrottable, on doit plus que jamais douter que l’assassinat de Hariri soit le fait des Syriens. Eh oui ! La stratégie géopolitique revêt une importance telle que tous les coups bas sont permis, hélas.
On ne s’étonnera pas du procédé, tant la désinformation fait partie de la panoplie du parfait politicien véreux. On se rappelera, dans un tout autre contexte, que les nazis s’étaient servi du prétexte de l’incendie du Reichstag. Les sionistes semblent s’être inspiré du procédé, et apparemment les deux prétextes ont fonctionné. Ici, le Liban a été détruit et Israël peut impunément semer mort et dévastation sur le passage de son armée. Ehud Olmet et son accolyte Peretz sont décidément de bien vilains cocos.
Mais alors le motif tombe. Ce n’est pas Israël qui avait le droit de se défendre, mais les Libanais. La provocation est israélienne, et le tort va à Israël. Qui osera rétablir la vérité ? probablement personne. Car la loi du plus fort est toujours la meilleure. Ici, c’est la loi du tandem israélo-américain.
Le modèle américain appliqué en Irak est appliqué ici par Israël à l’égard du Liban : D’abord on détruit le pays, ensuite on installe un gouvernement inféodé. Ce qu’essaie de faire Bush en Irak, Olmert va essayer de le faire au Liban. Réussiront-ils ? En tous cas, ce scénario du modèle américain impliquait la disparition de Rafic Hariri, qui n’aurait jamais joué le jeu israélo-américain et qui avait le tort d’être Sunnite et pas Chrétien. À moins d’être d’une naïveté indécrottable, on doit plus que jamais douter que l’assassinat de Hariri soit le fait des Syriens. Eh oui ! La stratégie géopolitique revêt une importance telle que tous les coups bas sont permis, hélas.
v
Au-delà des provocations et des péripéties honteuses auquelles on assiste contre des civils palestiniens et libanais, il y a le fond du problème, il faut bien l’avouer. Et ce fond du problème dans la région n’est pas, hélas, que la crise israélo-palestinienne. Le fond du problème est la croisade enteprise contre l’Islam par l’occident. Quand Denis Jeambar, de l’Express, affirme dans son édito du 28 Juillet qu’"Israël doit gagner", il condense dans son intervention de moins d’une minute toutes les "bonnes raisons" pour lesquelles Israël doit éradiquer "le fascisme islamique". C’est cette conviction, partagée par les Américains depuis toujours et surtout depuis les administrations Bush, par beaucoup en Europe et surtout en Grande Bretagne, qui fait qu’on soutient Israël et qu’on autorise tout, y compris la disparition de facto du peuple Palestinien et les actes barbares de guerre au Liban.
Ce choix qu’on a fait en haut lieu a un corollaire : Celui de ne pas rechercher la paix mais au contraire de gagner par les armes contre Arabes et Musulmans dans la région. Et la période des cessez-le-feu semble terminée. On est parvenus au moment de vérité, celui où enfin cette région du Proche-Orient pourrait devenir "occidentale" en la purgeant de sa spécificité islamique séculaire. On laissera donc Israël commencer le travail, puis viendra l’appui militaire américain au Liban, l’instauration d’un régime libanais inféodé, de toute évidence chrétien et ni sunnite, ni chiite. Le fait que la majorité des Libanis soient musulmans ne semble pas compter dans le fantasme des occidentaux qui ont concocté ce happy ending.
Israël serait donc ce cheval de Troies de la croisade de l’Occident contre l’Islam, et c’est pourquoi on le soutient ainsi de façon inconditionnelle et indécente. Soit ! Mais il faudra bien un jour montrer ses cartes. Il semble que cette guerre au Liban, qui suit une intensification sans précédent des exactions contre les Palestiniens, marque le moment où les cartes s’abattent. Le tandem israélo-américain procède façon intelligente et incrémentale. La vieille tactique des Horaces et des Curiaces est employée. D’abord les Palestiniens, puis le Hezbollah au Liban, en essayant de ne pas affoler les Syriens. Israël redouble de précautions pour affirmer haut et fort que l’état hébreu ne vise surtout pas la Syrie. Si le fils Hassad croit celle-là il est qualifié pour l’élection de Monsieur Naïf ! Ainsi, Israël mobiliserait 30000 réservistes pour aider une des armées les plus fortes au monde, Tsahal, à se débarrasser de quelques centaines de miliciens du Hezbollah qui n’ont ni chars ni aviation de combat ?
Au-delà des provocations et des péripéties honteuses auquelles on assiste contre des civils palestiniens et libanais, il y a le fond du problème, il faut bien l’avouer. Et ce fond du problème dans la région n’est pas, hélas, que la crise israélo-palestinienne. Le fond du problème est la croisade enteprise contre l’Islam par l’occident. Quand Denis Jeambar, de l’Express, affirme dans son édito du 28 Juillet qu’"Israël doit gagner", il condense dans son intervention de moins d’une minute toutes les "bonnes raisons" pour lesquelles Israël doit éradiquer "le fascisme islamique". C’est cette conviction, partagée par les Américains depuis toujours et surtout depuis les administrations Bush, par beaucoup en Europe et surtout en Grande Bretagne, qui fait qu’on soutient Israël et qu’on autorise tout, y compris la disparition de facto du peuple Palestinien et les actes barbares de guerre au Liban.
Ce choix qu’on a fait en haut lieu a un corollaire : Celui de ne pas rechercher la paix mais au contraire de gagner par les armes contre Arabes et Musulmans dans la région. Et la période des cessez-le-feu semble terminée. On est parvenus au moment de vérité, celui où enfin cette région du Proche-Orient pourrait devenir "occidentale" en la purgeant de sa spécificité islamique séculaire. On laissera donc Israël commencer le travail, puis viendra l’appui militaire américain au Liban, l’instauration d’un régime libanais inféodé, de toute évidence chrétien et ni sunnite, ni chiite. Le fait que la majorité des Libanis soient musulmans ne semble pas compter dans le fantasme des occidentaux qui ont concocté ce happy ending.
Israël serait donc ce cheval de Troies de la croisade de l’Occident contre l’Islam, et c’est pourquoi on le soutient ainsi de façon inconditionnelle et indécente. Soit ! Mais il faudra bien un jour montrer ses cartes. Il semble que cette guerre au Liban, qui suit une intensification sans précédent des exactions contre les Palestiniens, marque le moment où les cartes s’abattent. Le tandem israélo-américain procède façon intelligente et incrémentale. La vieille tactique des Horaces et des Curiaces est employée. D’abord les Palestiniens, puis le Hezbollah au Liban, en essayant de ne pas affoler les Syriens. Israël redouble de précautions pour affirmer haut et fort que l’état hébreu ne vise surtout pas la Syrie. Si le fils Hassad croit celle-là il est qualifié pour l’élection de Monsieur Naïf ! Ainsi, Israël mobiliserait 30000 réservistes pour aider une des armées les plus fortes au monde, Tsahal, à se débarrasser de quelques centaines de miliciens du Hezbollah qui n’ont ni chars ni aviation de combat ?
b
Alors, ce gros mensonge d’israël n’est rien en comparaison du gros mensonge de l’occident. Toute cette comédie du "processus de paix", ces réunions de conciliation qui n’accouchent de rien ne sont que des habillages pour masquer la vérité. La vérité c’est que l’occident, qui a peur de l’Islam, a entamé contre lui une lutte à mort, et que les raisons en sont le pétrole et le choc des cultures et des civilisations. Une partie de l’humanité a déclaré la guerre à une autre partie de l’humanité. On s’empresse de présenter les choses comme si c’est l’Islam qui l’a fait. Rien n’est moins sûr ! Commencée au milieu du XXème siécle avec "Exodus", la nouvelle croisade s’accélère. On assiste aujourd’hui au remake des croisades du Moyen-Âge, en plus vicieux. À l’époque les motivations étaient religieuses. Aujourd’hui, elles trouvent leur origine dans la soif de domination et de conquête géopolitique et la peur de l’autre, dont la culture et l’appartenance à une civilisation différente en font un ennemi à détruire.
Alors, ce gros mensonge d’israël n’est rien en comparaison du gros mensonge de l’occident. Toute cette comédie du "processus de paix", ces réunions de conciliation qui n’accouchent de rien ne sont que des habillages pour masquer la vérité. La vérité c’est que l’occident, qui a peur de l’Islam, a entamé contre lui une lutte à mort, et que les raisons en sont le pétrole et le choc des cultures et des civilisations. Une partie de l’humanité a déclaré la guerre à une autre partie de l’humanité. On s’empresse de présenter les choses comme si c’est l’Islam qui l’a fait. Rien n’est moins sûr ! Commencée au milieu du XXème siécle avec "Exodus", la nouvelle croisade s’accélère. On assiste aujourd’hui au remake des croisades du Moyen-Âge, en plus vicieux. À l’époque les motivations étaient religieuses. Aujourd’hui, elles trouvent leur origine dans la soif de domination et de conquête géopolitique et la peur de l’autre, dont la culture et l’appartenance à une civilisation différente en font un ennemi à détruire.
vendredi 28 juillet 2006
Désinformation sioniste (ter)
Si vous animez un forum ou un site web qui aurait quelques penchants défavorables à l'entité sioniste, ne vous étonnez pas de recevoir des commentaires de visiteurs très partisans de cette même entité. Ne vous étonnez-pas parce que ça fait partie du plan media de l'entité sioniste. Un peu partout dans le monde, de zélés sionistes, souvent alertés par un logiciel idoine (lire ci-dessous) se mettent à leurs claviers pour rééquilibrer une vision médiatique qui ferait la part trop belle à ce qu'endurent les Libanais et minimiserait les souffrance subies par les sionistes.
Ces gens ne comprennent pas que tôt ou tard leurs mensonges seront éventés et que la vérité fera son chemin et ce, quels que soient les argumentaires, même les mieux élaborés qu'ils utiliseront. Un crime reste un crime même si on l'affuble d'un nom plus flatteur, un vol reste un vol même si le voleur, avec le temps, a fini par croire et à faire croire que le bien volé lui appartenait légitimement.
Les sionistes le savent au fond d'eux-mêmes, d'où leur déchaînement régulier de haine et de sauvagerie.
Israël épaulée par une armée de cyber-soldats
Par Yonit Farago à Jérusalem
The Times (UK), 28 juillet 2006 Traduit de l'anglais par Djazaïri
n
Pendant qu'Israël combat le Hezbollah avec des tanks et des avions, ses partisans font campagne sur internet.
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Le gouvernement israélien a exercé son influence sur les efforts que font ses partisans pour contrer ce qu'il croit être une vision biaisée et une vague de propagande pro-arabe. Le ministère des affaires étrangères a ordonné à des diplomates stagiaires de pister les sites web et les salons de discussion de sorte à ce que des réseaux d'organisations américaines et européennes et leurs centaines de milliers d'adhérents puissent y déposer des messages de soutien [à l'entité sioniste].
n
La semaine dernière, environ 5000 membres de la WUIS [Union Mondiale des Etudiants Juifs] ont téléchargé Mégaphone, un logiciel spécial qui les alerte au sujet des salons de discussion anti-israéliens et sur les sondages sur le web de manière à leur permettre d'apporter la contradiction. A Jérusalem, une équipe d'étudiants passe la toile au peigne fin dans toutes sortes de langues pour marquer les sites de manière à ce que les membres puissent influer sur une enquête d'opinion ou le cours d'un débat.
Jonny Cline, du groupe international d'étudiants, dit que les étudiants Juifs, les organisations de jeunes avec leur connaissance de l'univers du web étaient idéalement placés four présenter l'autre vision dans le débat.
"Nous disons à ces personnes que si Israël reçoit des coups, ne l'ignorez pas, agissez," explique Cline. "Voter dans une enquête comme celles de CNN prend seulement quelques secondes, mais si des milliers de personnes y participent, le résultat en sera changé. Ce qui est vital, c'est que la vision du conflit à l'international soit équilibrée."
A Jérusalem, Doron Barkat, 29 ans, passe de longues nuits à surfer sur le web pour essayer de faire pencher les débats vers le point de vue d'Israël. "Quand je vois des sondages pour ou contre Israël, j'envoie un courriel à une mailing liste pour que les destinataires votent pour Israël," dit-il. Il est possible qu'au bout d'un quart d'heure on ait 400 votes pour Israël.
"C'est une grande source de satisfaction. Il existe aussi des forums de discussion entre Libanais et israéliens."
Le ministère israélien des affaires étrangères doit éviter toute implication directe dans cette campagne mais il est en contact avec les organisations juives internationales et les groupes chrétiens évangéliques à qui il distribue des packs d'information sur internet.
Pour Amir Gissin, directeur des relations publiques au ministère des affaires étrangères, "Internet est devenu un instrument de premier plan pour l'information et la formation de la vision du monde de millions de personnes. Notre problème est que les media étrangers montrent les souffrances des Libanais mais pas celles des Israéliens. Nous court-circuitons ce filtre en diffusant des images qui montrent comment les Israéliens du nord souffrent des attaques de roquettes Katyusha."
b
mercredi 26 juillet 2006
Dieudonné président!
En visitant le site des Ogres, je suis tombé sur cette déclaration de Dieudonné reprise de son site de campagne. Dieudonné y fustige le comportement de Nicolas Sarkozy sur trois points tous reliés à un titre ou à un autre à la question du sionisme. Je vous invite à fréquenter régulièrement ces sites qui constituent une mine en termes d'informations et d'analyse.
c
Communiqué de presse du bureau de campagne de Dieudonné Mbala Mbala
Le 26 Juillet 2006
Nicolas Sarkozy au service du Mossad, de la CIA et du CRIF, contre la République.
Le 26 Juillet 2006
Nicolas Sarkozy au service du Mossad, de la CIA et du CRIF, contre la République.
b
Le ministre de l’Intérieur vient de s’illustrer à trois reprises, en prenant des positions parfaitement incompatibles avec ses fonctions et contraires à l’intérêt de la République et du peuple français.
Il a tout d’abord officialisé ce que tout le monde savait, à savoir qu’il aurait approuvé l’agression américaine contre l’Irak s’il avait été Chef de l’Etat, alors même que les mensonges des dirigeants américains sont aujourd’hui connus de tous, et que des centaines d’Irakiens continuent de mourir quotidiennement du fait de l’occupation américaine. Monsieur Sarkozy justifie donc la violation du droit international et la destruction d’un peuple et d’une nation sur des bases mensongères.
Monsieur Sarkozy a ensuite apporté son plein soutien à l’agression terroriste de l’Etat Israélien contre Gaza et le Liban, en contradiction flagrante avec la position officielle française telle que définie par le Chef de l’Etat, pourtant déjà largement inspirée par les diktats américains.
Le ministre de l’Intérieur vient de s’illustrer à trois reprises, en prenant des positions parfaitement incompatibles avec ses fonctions et contraires à l’intérêt de la République et du peuple français.
Il a tout d’abord officialisé ce que tout le monde savait, à savoir qu’il aurait approuvé l’agression américaine contre l’Irak s’il avait été Chef de l’Etat, alors même que les mensonges des dirigeants américains sont aujourd’hui connus de tous, et que des centaines d’Irakiens continuent de mourir quotidiennement du fait de l’occupation américaine. Monsieur Sarkozy justifie donc la violation du droit international et la destruction d’un peuple et d’une nation sur des bases mensongères.
Monsieur Sarkozy a ensuite apporté son plein soutien à l’agression terroriste de l’Etat Israélien contre Gaza et le Liban, en contradiction flagrante avec la position officielle française telle que définie par le Chef de l’Etat, pourtant déjà largement inspirée par les diktats américains.
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Monsieur Sarkozy vient enfin de dissoudre unilatéralement la « Tribu KA », petite organisation communautariste, pour des motifs purement idéologiques. En effet, Monsieur Sarkozy protège par ailleurs très officiellement des milices terroristes comme la LDJ et le BETAR, qui se sont illustrées par de nombreuses agressions, vitriolages et saccages en tous genres. Un commissaire de police a notamment été poignardé par des militants de la LDJ , et ce en toute impunité. Or à notre connaissance, et quoi que l’on puisse penser de l’idéologie communautariste de la Tribu KA, cette organisation ne s’est rendue coupable d’aucune action violente.
Le fait qu’un tel individu puisse rester Ministre de l’Intérieur, constitue un véritable danger pour la République et les citoyens et l’un des enjeux essentiels de la prochaine présidentielle sera de le mettre hors d’état de nuire.
Monsieur Sarkozy vient enfin de dissoudre unilatéralement la « Tribu KA », petite organisation communautariste, pour des motifs purement idéologiques. En effet, Monsieur Sarkozy protège par ailleurs très officiellement des milices terroristes comme la LDJ et le BETAR, qui se sont illustrées par de nombreuses agressions, vitriolages et saccages en tous genres. Un commissaire de police a notamment été poignardé par des militants de la LDJ , et ce en toute impunité. Or à notre connaissance, et quoi que l’on puisse penser de l’idéologie communautariste de la Tribu KA, cette organisation ne s’est rendue coupable d’aucune action violente.
Le fait qu’un tel individu puisse rester Ministre de l’Intérieur, constitue un véritable danger pour la République et les citoyens et l’un des enjeux essentiels de la prochaine présidentielle sera de le mettre hors d’état de nuire.
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Le Bureau de campagne de Dieudonné Mbala
Candidat à l’élection présidentielle
Le Bureau de campagne de Dieudonné Mbala
Candidat à l’élection présidentielle
Désinformation sioniste (bis)
Je vous livre un autre exemple de désinformation pratiquée par la presse de la "seule démocratie" du Proche-Orient.
d
C'est encore dans le Yedioth Ahronot,apparemment le journal le plus lu dans l'entité sioniste. Ce journal titre : "Selon une dépêche iranienne : des kamikazes (suicide-bombers) sont en route vers le Liban"
s
Je passe sur l'inscription de l'article dans une logique constante qui cherche à accabler l'Iran de tous les maux de la région si ce n'est de la planète. Je passe aussi bien entendu sur le fait que ces candidats à l'attentat suicide sont supposés transiter par la Syrie, autre cause de tous les maux.
d
Non, je voudrais juste attirer votre attention sur le procédé.
d
Afin de crédibiliser son article, le Yedioth se réfère bien entendu à des sources, la première d'entre elles étant l'agence de presse iranienne ILNA qui aurait publié la dépêche. Allez donc faire un tour sur le site de l'agence ILNA. Ah oui, il y a un problème; c'est tout écrit en persan et il n'y a même pas une petite page dans une autre langue, l'anglais par exemple.
d
C'est pour cette raison que le Yedioth se réfère à l'agence ILNA : à moins de lire le persan, impossible de vérifier.
d
Je ne lis pas le persan, mais j'ai un peu de logique. ILNA est une agence de presse fondée par des journalistes et qui a été longtemps indépendante. Elle aurait été récemment prise ou reprise en mains par les autorités, ce qui apparemment ne s'est pas fait très facilement. Quoi qu'il en soit ce n'est ni la principale agence de presse iranienne, ni la plus représentative du point de vue du gouvernement de ce pays. L'agence de presse officieuse ou officielle en Iran (l'équivalent de l'APS en Algérie, de l'USIS aux USA) est IRNA. Si une information aussi capitale devait être diffusée, capitale car elle signerait l'entrée de l'Iran dans la guerre, c'est nécessairement IRNA qui aurait eu mission de la diffuser.
b
Problème, gros problème : le site de l'IRNA est accessible, outre le persan, en plusieurs langues telles que l'arabe, l'anglais, le turc, le français ou l'espagnol. Il serait donc facile, trop facile, d'aller contrôler la désinformation sioniste.
C'est comme ça que marche la désinformation sioniste, en proposant ce qui est supposé être une traduction des informations en provenance de pays arabes ou musulmans, traductions au mieux biaisées et au pire, comme ici, purement imaginaires. Je crois qu'une agence sioniste s'est spécialisée dans ce job, il s'agit de MEMRI qui fournit, une fois remanié par ses soins, l'essentiel du matériau discursif originaire des pays de la sphère musulmane et arabo-musulmane.
lundi 24 juillet 2006
Désinformation sioniste
Je vous encourage à fréquenter les sites de la presse sioniste. Que ce soit le Jerusalem Post, ou le Yedioth Ahronot, tout y est : désinformation, propagande, discours haineux plus ou moins bien enrobé. Mais si vous y allez, ne manquez pas de laisser des messages pro-hezbollah et pro-Palestine, ça compense un peu les réactions de l'armada des lecteurs sionistes et surtout, leur montre que leur façon de voir les choses ne reste pas toujours sans contradiction. Ca ne les fera pas changer, certes, mais le jour de la défaite définitive, ils ne diront pas qu'ils ne savaient pas que le monde entier ne partageait pas leur singulière mentalité.
v
Tiens, je parlais de désinformation et en voici un exemple débusqué par un lecteur originaire de l'entité sioniste mais qui n'est peut-être pas si sioniste que ça.
n
L'affaire est liée à un article sur l'offensive des terroristes sionistes dans le secteur entre le village de Maroun al-Ras et la petite ville de Bint Jbeil. Le Yedioth titre : "Un officier et un soldat tués dans une bataille au Liban" et propose en illustration la photo que je vous présente légendée : "Des soldats blessés évacués de Bint Jbeil."
n
Personnellement, je ne suis jamais allé ni au Liban ni en Palestine occupée, donc à priori la légende ne me posait aucun problème.
v
Elle en a par contre posé à Koko, un lecteur vivant dans l'entité et qui écrit ce qui suit dans un talkback : "look at the picture it says soldier evacuated from bint jbeil, the picture show ys that the soldier is evacuated from israeli border, we can cleary see the fens that separate the 2 borders. please stop lying on us " [Regardez l'image, elle dit que le soldat est évacué de Bint Jbeil, la photo nous montre que le soldat est évacué de la frontière israélienne, on peut voir nettement la clôture qui marque la frontière, s'il vous plaît arrêtez de nous mentir]
samedi 22 juillet 2006
Il est mieux que toutes les armées arabes. La perception du Hezbollah en Algérie
Cet article du quotidien algérois L'Expression, fondé sur une interview accordée par le chef du Hezbollah à la chaîne Al Jazeera, rend bien compte de la façon dont est perçu l'actuel conflit au Liban par les citoyens Algériens et d'autres pays arabes ou musulmans. Le Cheikh Nasrallah a beau être chiite et la majorité des Arabes être sunnite, rien n'y fait, le journaliste Fayçal Oukaci, admiratif, titre son papier "Il est mieux que toutes les armées arabes". Dans la version imprimable de l'article, une photo du leader du Hezbollah est légendée : "L'idole" des jeunes, ce qui en dit vraiment long sur l'impact du cheikh en Algérie.
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IL EST MIEUX QUE TOUTES LES ARMÉES ARABES
L’homme qui fait trembler israël
par Fayçal OUKACI - 22 juillet 2006 - L'Expression
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A la faveur de la déflagration qui secoue le Moyen-Orient, le chef chiite est projeté, soudainement, à la une de l’actualité internationale.
La parole mesurée, le geste lent, le sourire discret et le visage adouci par des traits proportionnés, l’homme au turban noir qui, a donné jeudi, un entretien exclusif à la chaîne qatarie Al Jazeera, sait qu’il est regardé par le monde entier. Il sait qu’il vient d’éclipser tour à tour Ben Laden, al-Zawahiri, Ahmedinejad et Heniya tous réunis, qu’il a accaparé le regard de la planète et que le moment est propice pour faire son «marketing politique». Il s’appelle Hassan Nasrallah, il a 46 ans et il est le chef du mouvement libanais Hezbollah .
A la faveur de la déflagration qui secoue le Moyen-Orient, le chef chiite est projeté, soudainement, à la une de l’actualité internationale.
La parole mesurée, le geste lent, le sourire discret et le visage adouci par des traits proportionnés, l’homme au turban noir qui, a donné jeudi, un entretien exclusif à la chaîne qatarie Al Jazeera, sait qu’il est regardé par le monde entier. Il sait qu’il vient d’éclipser tour à tour Ben Laden, al-Zawahiri, Ahmedinejad et Heniya tous réunis, qu’il a accaparé le regard de la planète et que le moment est propice pour faire son «marketing politique». Il s’appelle Hassan Nasrallah, il a 46 ans et il est le chef du mouvement libanais Hezbollah .
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Depuis dix jours, le chef politique s’est mué en chef de guerre et sait que le monde arabe,qui l’applaudit dans l’inconfortable position du supporter impuissant, reste accroché à ses lèvres. Va-t-il offrir une «paix des braves» aux Israéliens? Va-t-il se trouver une sortie de secours honorable? Fera-t-il son mea-culpa et passer pour un sage qui fait tout pour éviter la guerre et épargner à son pays plus de morts et de dévastation?L’homme, donné la veille pour mort par la propagande israélienne dans les bombardements qui ont ciblé un des bunkers du Hezbollah à Beyrouth-sud, a sa propre idée de l’issue du conflit, et son attitude inflexible et digne reste inchangée: «Les capacités du Hezbollah restent intactes. Nous avons subi des coups, nous en sommes sortis indemnes, nous avons tout assimilé des coups qui nous ont été portés, nous avions riposté, et maintenant nous allons passer à une nouvelle étape de la guerre». «Les deux soldats israéliens capturés à la frontière ne seraient libérés que par le biais de négociations indirectes, dans le cadre d´un échange de prisonniers», précise-t-il. «Le monde entier ne réussira à libérer les deux soldats israéliens prisonniers qu´à travers des négociations indirectes, dans le cadre d´un échange de prisonniers», répète-t-il à son intervieweur, Ghassan Bendjeddou.
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A propos des informations données par les chefs militaires israéliens et concernant la destruction de 50% du potentiel de guerre et des infrastructures du Hezbollah, il a démenti que les Israéliens aient réussi à détruire la moindre partie des missiles et de l´arsenal du Hezbollah ou qu´ils aient tué un grand nombre de dirigeants et de membres du mouvement libanais.«Toutes les déclarations d´Israël affirmant avoir frappé 50% de notre potentiel de missiles et de notre arsenal, ne sont que des allégations sans fondement. Ils n´ont, jusqu´à présent, rien pu frapper dans ce domaine et je le confirme». «La direction du Hezbollah n´a pas été touchée», au contraire, dit-il, «nous continuons à mener calmement la bataille sur le terrain, loin de toute surenchère et de toute désinformation. Nous vous avions promis des surprises et nous avons tenu nos promesses . Maintenant, Israël a épuisé toutes ses cartouches. L’offensive maritime n’a pas abouti, l’offensive aérienne leur a été un cuisant échec jusqu’à présent, et ils doivent bien penser que les incursions terrestres leur en coûteront plus encore.L’offensive terrestre, qui reste le dernier choix israélien lui coûtera beaucoup plus qu’il ne le pense et je lui promets des défaites retentissantes sur le sol, comme je promets à Israël de nouvelles surprises».
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Israël a lancé le 12 juillet une offensive meurtrière contre le Liban après la capture de ses deux soldats et la mort de huit autres dans une attaque du Hezbollah à la frontière israélo-libanaise, cependant, et jusqu’à l’heure actuelle, aucun objectif stratégique n’a été atteint, et les raids meurtriers lancés contre les populations civiles fait grossir jour après jour les rangs d’une large contestation mondiale. L´offensive israélienne, qui est entrée dans sa deuxième semaine, a fait au moins 327 morts au Liban et poussé à un exode massif d´étrangers et au déplacement de plus de 500.000 Libanais.
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Revenant sur l’attitude des dirigeants arabes, qui sont restés divisés jusque-là sur la position à prendre envers le chef chiite, les uns, comme Iraniens et Syriens, estimant qu’il fallait le soutenir, les autres, comme les Saoudiens, le qualifiant d’«aventurier», il ironise: «Je sais que le coeur de tous les peuples du monde arabe est avec nous, je le sais, je vois chaque jour la large mobilisation de l’opinion arabe qui se forme autour de nous. Je sais aussi que je ne dois rien attendre des dirigeants arabes, quoique je sais pertinemment que, pourtant, leurs femmes, leurs filles et leurs soeurs sont toutes avec nous. Je dirais seulement à ces dirigeants que si vous n’avez pas vocation de nous aider, alors faites preuve pour le moins d’un peu de décence et laissez-nous mener notre guerre sans nous culpabiliser(...) Je ne dirige pas la guerre par intérim, je ne pars pas en guerre au nom de tous les Arabes, mais, par contre, je sais que notre défaite sera la défaite de tous, et que notre victoire sera celle de tous les Arabes.»Le chef du Hezbollah, qui tient tête depuis près de deux semaines aux raids de la plus forte armée de la région tout en lançant des ripostes meurtrières sur le nord de l’Etat hébreu, a déjà fait oublier la cinglante humiliation de la guerre des Six jours de 1967.Il avait affirmé il y a quelques jours que la capture des deux soldats était l´unique moyen en notre possession pour obtenir la libération des prisonniers libanais détenus en Israël et attirer l´attention de l´opinion internationale sur les 10.000 détenus palestiniens qui se trouvent actuellement dans les geôles israéliennes.
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«Notre objectif, en capturant ces deux soldats, est de procéder à un échange, nous ne voulons pas entraîner le Liban dans une guerre», avait-il assuré alors, tout en soulignant que «si l´ennemi veut l´escalade, nous sommes prêts».
vendredi 21 juillet 2006
Le racisme anti-arabe à La UNE
Le quotidien londonien à grand tirage "The evening standard" vient de s'illustrer d'une bien triste manière. On se souviendra que c'est un journaliste de cet organe que Ken Livingstone, le Maire de Londres avait comparé à "un gardien de camp de concentration," ce qui avait valu une suspension à cet élu. Le journaliste en question, Oliver Finegold, n'avait d'ailleurs pas manqué de rétorquer au maire qu'il était Juif (comme si le fait d'être juif était une garantie contre la bêtise et de la bestialité).
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Le maire s'était quand même trompé, c'est ce journal au complet qu'on peut comparer à ce qui se faisait de pire sous le régime nazi. Jugez-en plutôt par la une de ce quotidien le 20 juillet 2oo6.
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Traduction pour ceux qui ne comprennent pas la langue de Shakespeare :
- en titre "les sacs de sable humains" en relation à une photo où l'on voit ce qui était une enfant libanaise qui avait l'avenir devant elle.
- à gauche un commentaire apparemment tout droit issu d'une officine de propagande nazie ou sioniste (c'est à peu-près pareil) : "plus de 100 enfants tués au Liban. On craint maintenant qu'ils soient utilisés comme boucliers" [les sacs de sable].
Quand on voit ce genre de une d'un journal très diffusé, l'équivalent londonien d'Aujourd'hui - le Parisien, on peut se dire que les temps vont être encore plus durs pour les Arabes vivant en Europe. Raison de plus pour rester ferme sur les principes et les valeurs universelles : la liberté, la justice et la solidarité. Solidarité avec les victimes d'injustices comme les peuples Libanais et Palestinien.
Point de vue libanais non partisan sur la couverture par la presse occidentale de la situation dans ce pays
Sur le site belge De Defensa, j'ai trouvé le compte rendu d'un article paru dans le quotidien libanais anglophone The Daily Star. Je vous invite à consulter cet excellent site qui a l'inconvénient toutefois de mêler textes en français et en anglais, ce qui ne le rend pas forcément accessible pour les non anglophones.
De fait, l'article du Daily Star n'est pas traduit et c'est dommage. C'es pourquoi je vous propose cette traduction [bien imparfaite certes] du texte d'un journaliste non Chiite, non Hezbollah dans un quotidien non Chiite, non Hezbollah mais simplement Libanais.
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En ne disant pas la vérité sur ce qui se passe au Liban, les media occidentaux ont tombé le masque
L'offensive de l'Etat Juif a d'abord visé les civils par Marc J. Sirois, Rédaction du Daily Star
L'offensive de l'Etat Juif a d'abord visé les civils par Marc J. Sirois, Rédaction du Daily Star
jeudi 20 juillet 2006
La brutalité de l'offensive israélienne au Liban ne suscite la désapprobation que de trop rares observateurs. L'immense majorité des reportages dans les media occidentaux ne rendent pas compte de manière objective que la plupart des morts sont des civils, surtout des femmes et des enfants. Une dépêche de l'agence Reuter cette semaine décrivait le choix des cibles par Israël comme "énigmatique" mais la majorité des téléspectateurs, des lecteurs de journaux ou des surfeurs sur Internet en Occident se voient proposer des versions expurgées d'informations, arrangées de manière à atténuer la brutalité de l'agression israélienne et surtout de faire en sorte que la faute en retombe complètement sur le Liban en général et sur le Hezbollah en particulier.
La brutalité de l'offensive israélienne au Liban ne suscite la désapprobation que de trop rares observateurs. L'immense majorité des reportages dans les media occidentaux ne rendent pas compte de manière objective que la plupart des morts sont des civils, surtout des femmes et des enfants. Une dépêche de l'agence Reuter cette semaine décrivait le choix des cibles par Israël comme "énigmatique" mais la majorité des téléspectateurs, des lecteurs de journaux ou des surfeurs sur Internet en Occident se voient proposer des versions expurgées d'informations, arrangées de manière à atténuer la brutalité de l'agression israélienne et surtout de faire en sorte que la faute en retombe complètement sur le Liban en général et sur le Hezbollah en particulier.
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Certes il y a ici au Liban des journalistes Occidentaux courageux et honnêtes dont beaucoup sont déterminés à dire la vérité sur ce qui se passe. Force est alors de supposer que ce que ces journalistes honnêtes racontent est largement réécrit quelque part dans le circuit qui aboutit au consommateur d'informations, probablement dans le but de se prémunir contre les inévitables accusations "d'antisémitisme" et les pertes de revenus publicitaires qui découleraient d'une couverture sans fard de la brutalité israélienne. Le résultat de ce climat de crainte a été une génération de reportages biaisés qui décrivent l'Etat Juif comme faible alors qu'il est très puissant, modéré alors qu'il est le plus souvent extrémiste, démocratique lorsqu'il est souvent théocratique, libéral alors qu'il est notoirement autoritaire – en bref "Occidental" dans aucun sens du terme.
Certes il y a ici au Liban des journalistes Occidentaux courageux et honnêtes dont beaucoup sont déterminés à dire la vérité sur ce qui se passe. Force est alors de supposer que ce que ces journalistes honnêtes racontent est largement réécrit quelque part dans le circuit qui aboutit au consommateur d'informations, probablement dans le but de se prémunir contre les inévitables accusations "d'antisémitisme" et les pertes de revenus publicitaires qui découleraient d'une couverture sans fard de la brutalité israélienne. Le résultat de ce climat de crainte a été une génération de reportages biaisés qui décrivent l'Etat Juif comme faible alors qu'il est très puissant, modéré alors qu'il est le plus souvent extrémiste, démocratique lorsqu'il est souvent théocratique, libéral alors qu'il est notoirement autoritaire – en bref "Occidental" dans aucun sens du terme.
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La couverture du conflit actuel est un cas d'école. Les chaînes d'informations télévisées anglophones les plus regardées au Liban sont CNN et la BBC. A quelques exceptions près, leurs reportages sont transmis par des journalistes installés dans la zone confortable et relativement sûre délimitée par le centre ville de Beyrouth, cette vitrine pittoresque du renouveau désarmais avorté du Liban de l'après guerre civile des années 75-00. Pour l'heure cette partie de la ville n'a pas été touchée par les bombes (même si on s'inquiète de l'approche rapide d'une nouvelle phase d'escalade de l'agression), ce qui fait que l'environnement immédiat induit en erreur sur ce qui est en train de se passer. A seulement quelques kilomètres de là, dans les banlieues sud de Dabiyeh et Junubiyyeh, les bombardements israéliens par air et par mer ont réduit à l'état de décombres des quartiers entiers. Nul ne sait combien de personnes sont ensevelies sous les débris de béton et d'acier, on sait seulement que les habitants avaient été bien moins mis en garde que les membres de Hezbollah sur ce qui allait être le début de la fin pour nombre d'entre eux – et que la plupart de leurs moyens de s'échapper avaient été coupés par la destruction des routes et des ponts avant que Dabiyeh elle-même ne devienne une cible.
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Une situation semblable existe dans le tiers méridional du pays, normalement à une demi-heure de Beyrouth par autobus. Maintenant il faut des heures dans un sens comme dans l'autre car les véhicules ne peuvent pas circuler sur toute la distance. Les gens sont transportés d'un cratère géant à l'autre, pour traverser à pied des trous jonchés de débris ou franchir à gué des rivières là où se trouvait un pont désormais détruit avant de rejoindre un autre taxi ou minibus qui les conduira jusqu'à la prochaine impasse. Pendant tout le trajet, leurs véhicules subissent des attaques israéliennes, raison pour laquelle tant de personnes restent chez elles en essayant "d'attendre que ça se passe." Mais beaucoup d'entre elles sont ensuite persuadées de devoir fuir le danger lorsque l'armée israélienne les prévient qu'elles ont "deux ou trois heures" pour quitter leurs villages. Souvent, de tels avertissements ont été suivis moins d'une heure plus tard par des bombardement aériens ou d'artillerie contre les véhicules de civils qui quittaient leurs villages. Ils continuent à partir pourtant car ceux qui sont restés dans leurs maisons se sont aperçus que les Israéliens ne plaisantaient pas quand ils disaient qu'une zone allait devenir dangereuse pour les civils : des dizaines de civils ont été tués chez eux – avec ou sans avertissement préalable. Le message adressé à ces malheureux est "qu'aucun endroit n'est sûr." En fait c'est exactement ce qu'un général Israélien avait déclaré au moment du début de l'offensive
La couverture du conflit actuel est un cas d'école. Les chaînes d'informations télévisées anglophones les plus regardées au Liban sont CNN et la BBC. A quelques exceptions près, leurs reportages sont transmis par des journalistes installés dans la zone confortable et relativement sûre délimitée par le centre ville de Beyrouth, cette vitrine pittoresque du renouveau désarmais avorté du Liban de l'après guerre civile des années 75-00. Pour l'heure cette partie de la ville n'a pas été touchée par les bombes (même si on s'inquiète de l'approche rapide d'une nouvelle phase d'escalade de l'agression), ce qui fait que l'environnement immédiat induit en erreur sur ce qui est en train de se passer. A seulement quelques kilomètres de là, dans les banlieues sud de Dabiyeh et Junubiyyeh, les bombardements israéliens par air et par mer ont réduit à l'état de décombres des quartiers entiers. Nul ne sait combien de personnes sont ensevelies sous les débris de béton et d'acier, on sait seulement que les habitants avaient été bien moins mis en garde que les membres de Hezbollah sur ce qui allait être le début de la fin pour nombre d'entre eux – et que la plupart de leurs moyens de s'échapper avaient été coupés par la destruction des routes et des ponts avant que Dabiyeh elle-même ne devienne une cible.
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Une situation semblable existe dans le tiers méridional du pays, normalement à une demi-heure de Beyrouth par autobus. Maintenant il faut des heures dans un sens comme dans l'autre car les véhicules ne peuvent pas circuler sur toute la distance. Les gens sont transportés d'un cratère géant à l'autre, pour traverser à pied des trous jonchés de débris ou franchir à gué des rivières là où se trouvait un pont désormais détruit avant de rejoindre un autre taxi ou minibus qui les conduira jusqu'à la prochaine impasse. Pendant tout le trajet, leurs véhicules subissent des attaques israéliennes, raison pour laquelle tant de personnes restent chez elles en essayant "d'attendre que ça se passe." Mais beaucoup d'entre elles sont ensuite persuadées de devoir fuir le danger lorsque l'armée israélienne les prévient qu'elles ont "deux ou trois heures" pour quitter leurs villages. Souvent, de tels avertissements ont été suivis moins d'une heure plus tard par des bombardement aériens ou d'artillerie contre les véhicules de civils qui quittaient leurs villages. Ils continuent à partir pourtant car ceux qui sont restés dans leurs maisons se sont aperçus que les Israéliens ne plaisantaient pas quand ils disaient qu'une zone allait devenir dangereuse pour les civils : des dizaines de civils ont été tués chez eux – avec ou sans avertissement préalable. Le message adressé à ces malheureux est "qu'aucun endroit n'est sûr." En fait c'est exactement ce qu'un général Israélien avait déclaré au moment du début de l'offensive
mardi 18 juillet 2006
Pétition + site Libanais intéressant (attention contenu très dur)
En allant sur les talkbacks du quotidien sioniste Yedioth Ahronot, je suis tombé sur un message d'un Libanais qui propose un lien sur un site très intéressant, en anglais malheureusement, et avec des photos à déconseiller aux âmes sensibles. Intitulé From Israel to Lebanon, le site propose également de signer une pétition "save the Lebanese civilians" que je vous invite à signer en cliquant ici.
L'Europe et les USA identifient généralement l'entité sioniste comme appartenant à l'ensemble des démocraties et, tout compte fait, au monde civilisé. Ils ont raison si on observe certaines pratiques qui ont cours dans l'entité sioniste. Jugez-en par vous-même :
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Lundi 17 juillet 2006, Kiryat
shmona. Des fillettes israéliennes écrivent des messages sur un
obus d'une position d'artillerie qui tire sur les civils Libanais.
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Lundi 17 juillet 2006,Sud Liban: un enfant Libanais recevant le message des fillettes israéliennes!
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Si c'est ça la démocratie...
Si c'est ça la civilisation...
lundi 17 juillet 2006
Mobilisation à Lyon en faveur du Liban et de la Palestine
Communiqué de l'association Palestine en marche
15 juillet 2006
Contre le terrorisme, l'occupation et la colonisation sionistes,
SOUTENONS LA RESISTANCE LEGITIME EN PALESTINE ET AU LIBAN
Prétextant les captures de soldats sionistes par les résistances palestinienne et libanaise, l'Etat de la terreur sioniste a lancé une vaste offensive, non seulement sur les organisations de la résistance, mais sur les pays et peuples arabes de la Palestine et du Liban.
Des centaines de civils massacrés, des milliers de blessés, des infrastructures entièrement démolies, en moins d'un mois. C'est ainsi que l'Etat d'Israël se venge de la volonté de résistance affirmée par le peuple palestinien qui a voté pour la voie de la lutte et de la résistance héroïque qui a chassé les sionistes du Liban en 2002.
Voulant instaurer la domination américano-sioniste, bénie par l'Union européenne, l'Etat d'Israël a cru trouver le moment propice pour sauver son allié américain de plus en plus embourbé en Irak et en Afghanistan, en déclenchant sa guerre meurtrière contre ceux qui ont refusé de se soumettre à cette domination.
Quoi de plus étonnant ? N'est-ce pas pour cela que l'Etat des colons a été créé en 1948 sur la terre palestinienne ? Créé pour servir les intérêts impérialistes et impériaux, il n'a jamais manqué une occasion de le faire, depuis sa création. Et aujourd'hui encore, il l'affirme en semant la mort et la terreur.
Ayant réussi à dompter les régimes arabes, l'un après l'autre, par le biais des Etats-Unis et de l'Union européenne, Israël se considère invulnérable, étant devenu la quatrième puissance militaire du monde. Il s'est alors lancé dans une aventure meurtrière croyant que sa puissance militaire lui assurerait la soumission totale des peuples arabes.
Mais c'est sans compter sur la résistance légitime des peuples palestinien et libanais, cette résistance dont l'histoire remonte à une période où l'Etat d'Israël n'existait pas encore, cette résistance qui agit sur son propre terrain, sur sa propre terre, et surtout parmi son peuple.
Cette résistance qui a appris à développer ses armes et qui a les moyens de toucher les lieux les plus reculés de l'entité occupante.
Mais c'est aussi sans compter sur l'attrait exercé par cette résistance sur les peuples arabes et musulmans. Dans plusieurs capitales et villes arabes et musulmanes, les peuples se sont mobilisés pour soutenir la résistance et crier leur colère contre leurs régimes inféodés à l'alliance américano-sioniste. Ils s'affirment même prêts à rejoindre les résistants, car ils savent que sans la résistance et sans leur propre résistance, ils seront de plus en plus asservis et humiliés.
Une nouvelle situation se développe autour de la résistance à l'occupation et la barbarie sionistes, dans les pays arabes et musulmans.
C'est le moment pour nous d'affirmer que nous sommes résolument aux côtés de la résistance légitime des peuples palestinien et libanais et aux côtés des soulèvements et manifestations des peuples arabes contre leurs régimes soumis à l'alliance américano-euro-sioniste.
Nous appelons tous ceux qui refusent la domination de la barbarie américano-sioniste à se mobiliser pour soutenir la résistance, en Palestine et au Liban et réclamer l'arrêt de la guerre meurtrière israélienne et la libération immédiate de tous les otages palestiniens et arabes détenus dans les prisons de l'occupation.
L'association Palestine en marche propose la mise en place de diverses commissions d'action pour une longue et durable mobilisation de soutien à la résistance : information, agitation, propagande, etc..
Une réunion organisée par Palestine en marche est prévue ce samedi 22 juillet. Pour en connaître l'heure et le lieu, envoyez un mail à : badis_msili@albawaba.com
15 juillet 2006
Contre le terrorisme, l'occupation et la colonisation sionistes,
SOUTENONS LA RESISTANCE LEGITIME EN PALESTINE ET AU LIBAN
Prétextant les captures de soldats sionistes par les résistances palestinienne et libanaise, l'Etat de la terreur sioniste a lancé une vaste offensive, non seulement sur les organisations de la résistance, mais sur les pays et peuples arabes de la Palestine et du Liban.
Des centaines de civils massacrés, des milliers de blessés, des infrastructures entièrement démolies, en moins d'un mois. C'est ainsi que l'Etat d'Israël se venge de la volonté de résistance affirmée par le peuple palestinien qui a voté pour la voie de la lutte et de la résistance héroïque qui a chassé les sionistes du Liban en 2002.
Voulant instaurer la domination américano-sioniste, bénie par l'Union européenne, l'Etat d'Israël a cru trouver le moment propice pour sauver son allié américain de plus en plus embourbé en Irak et en Afghanistan, en déclenchant sa guerre meurtrière contre ceux qui ont refusé de se soumettre à cette domination.
Quoi de plus étonnant ? N'est-ce pas pour cela que l'Etat des colons a été créé en 1948 sur la terre palestinienne ? Créé pour servir les intérêts impérialistes et impériaux, il n'a jamais manqué une occasion de le faire, depuis sa création. Et aujourd'hui encore, il l'affirme en semant la mort et la terreur.
Ayant réussi à dompter les régimes arabes, l'un après l'autre, par le biais des Etats-Unis et de l'Union européenne, Israël se considère invulnérable, étant devenu la quatrième puissance militaire du monde. Il s'est alors lancé dans une aventure meurtrière croyant que sa puissance militaire lui assurerait la soumission totale des peuples arabes.
Mais c'est sans compter sur la résistance légitime des peuples palestinien et libanais, cette résistance dont l'histoire remonte à une période où l'Etat d'Israël n'existait pas encore, cette résistance qui agit sur son propre terrain, sur sa propre terre, et surtout parmi son peuple.
Cette résistance qui a appris à développer ses armes et qui a les moyens de toucher les lieux les plus reculés de l'entité occupante.
Mais c'est aussi sans compter sur l'attrait exercé par cette résistance sur les peuples arabes et musulmans. Dans plusieurs capitales et villes arabes et musulmanes, les peuples se sont mobilisés pour soutenir la résistance et crier leur colère contre leurs régimes inféodés à l'alliance américano-sioniste. Ils s'affirment même prêts à rejoindre les résistants, car ils savent que sans la résistance et sans leur propre résistance, ils seront de plus en plus asservis et humiliés.
Une nouvelle situation se développe autour de la résistance à l'occupation et la barbarie sionistes, dans les pays arabes et musulmans.
C'est le moment pour nous d'affirmer que nous sommes résolument aux côtés de la résistance légitime des peuples palestinien et libanais et aux côtés des soulèvements et manifestations des peuples arabes contre leurs régimes soumis à l'alliance américano-euro-sioniste.
Nous appelons tous ceux qui refusent la domination de la barbarie américano-sioniste à se mobiliser pour soutenir la résistance, en Palestine et au Liban et réclamer l'arrêt de la guerre meurtrière israélienne et la libération immédiate de tous les otages palestiniens et arabes détenus dans les prisons de l'occupation.
L'association Palestine en marche propose la mise en place de diverses commissions d'action pour une longue et durable mobilisation de soutien à la résistance : information, agitation, propagande, etc..
Une réunion organisée par Palestine en marche est prévue ce samedi 22 juillet. Pour en connaître l'heure et le lieu, envoyez un mail à : badis_msili@albawaba.com
Canadiens, oui mais...
Un bon moyen de se rendre compte du parti pris prosioniste des puissances occidentales est malheureusement de s'attarder sur la tragédie qui vient de toucher une famille canadienne d'origine libanaise.
Ces gens séjournaient au Liban lorsque l'entité sioniste a réagi comme on sait après la capture de deux de ses soldats par le Hezbollah. Parmi toutes les victimes civiles, il faut compter aussi cette famille, la famille El-Akhras de Montréal exterminée par l'aviation sioniste.
c
La liste des victimes, fournie à la presse canadienne par un membre de la famille vous donnera une idée de leur dangerosité et de la nécessité de les éliminer sans pitié : "Hussein El-Akhras a confirmé que sa belle-soeur, Haniya Al-Akhras, la femme de son neveu Amira Al-Akhras, âgée de 23 ans, et leurs quatre enfants, Saja, Zeinab, Ahmad et Salam, âgés respectivement de 8, 6, 4 et 1 ans ont été tués. Leur père, Ali Al-Akhras, pharmacien propriétaire d'un Jean Coutu à Montréal, est gravement blessé."
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Ces Canadiens n'ont pas fait la une de la presse française. Certes ils sont du Québec, ce bout de France outre-atlantique, mais ce sont des Québecois un peu basanés qu'on peut confondre aisément avec des miliciens du Hezbollah. Que valent Salam, Ahmad, Zeinab et Saja à côté de ces malheureux sionistes de Haïfa ou de Sderot, ou même de Gilad Shalit notre valeureux terroriste franco-sioniste?
c
Si la presse canadienne fait largement écho à la tuerie dont a été victime cette famille de Montréal, la réaction du gouvernement de ce pays est tout simplement stupéfiante. Le ministère canadien des affaires étrangères s'est contenté d'adresser ses condéléances aux survivants de la famille Al-Khras.
c
Quid d'une condamnation des agissements de l'entité sioniste dont des citoyens Canadiens, et donc le Canada, viennent de faire les frais?
c
Il n'y en aura pas puisque "le Premier ministre canadien Stephen Harper a déclaré vendredi que les raids israéliens lui semblaient justifiés et mesurés. Depuis son arrivée au pouvoir en février, il a fait évoluer dans un sens pro-israélien la position d'Ottawa sur le Proche-Orient, qui était relativement neutre auparavant". [L'Express] Vous noterez que dans la dépêche reproduite par cet organe de presse ne figurent ni les noms, ni les âges des victimes. Ce sont des anonymes, sans rêves, sans espoirs, sans sentiments comme tous ces Arabes qui tombent quotidiennement au Liban comme en Palestine. Dans un sens, ils n'ont en fait jamais réellement existé.
c
Le député Canadien d'opposition Denis Coderne peut bien s'insurger et réclamer que son gouvernement condamne officiellement la tuerie, il faut comprendre que pour les prosionistes de par le monde, même la vie de leurs concitoyens n'est rien à côté du "droit à se défendre" de l'entité sioniste. Je n'ose même pas imaginer les réactions si un Canadien en treillis de l'armée sioniste avait été tué par le Hezbollah.
samedi 15 juillet 2006
Déversez votre fureur sur les habitants de Gaza et du Liban
Gilad Atzmon est un artiste Britannique originaire de l'entité sioniste. Je ne sais pas s'il a renoncé à sa mère, par contre je sais qu'il a choisi la justice. Son analyse vaut d'être lue et je pense qu'elle rend bien compte de tendances lourdes de la situation au Moyen-Orient.
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Déversez votre fureur sur les habitants de Gaza et du Liban
par Gilad Atzmon 07/14/06 "Information Clearing House" -- Traduit de l'anglais par Djazaïri
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Deux semaines plus tôt, des militants Palestiniens capturaient une cible militaire légitime, un soldat Israélien. Hier c'était encore une attaque héroïque et formidablement orchestrée par des combattants du Hezbollah; Ces deux attaques ont eu lieu pour transmettre un message de résistance : Israël ne parviendra jamais à imposer son écoeurante vision unilatérale de la "paix." Il est sans doute vrai que le désengagement unilatéral a pu avoir un effet magique sur les électeurs Israéliens comme sur quelques leaders occidentaux sionisés tels que Bush, Blair et Merkel. Par contre, les habitants de Gaza et les villageois du Sud Liban sont nettement moins impressionnés par les penchants israéliens pour la paix. A Gaza et au Sud Liban, il est assez clair que les forces de résistance arabes s'opposeront jusqu'au bout à l'agenda unilatéral israélien.
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Tous savent que comme il faut être deux pour le tango, la paix ne prévaudra jamais tant que la cause des Palestiniens ne sera pas correctement prise en compte. Bref, les différentes formes de désengagements unilatéraux du Liban, de Gaza ou même celui à venir de Cisjordanie n'apporteront pas la paix à Israël. Au contraire; les Arabes ne sont pas stupides et savent fort bien qu'Israël a décampé du Liban après avoir subi deux décennies d'humiliation militaire. Ils savent également que Sharon n'a pas quitté Gaza pour la raison précise qu'il recherchait la paix. Les Palestiniens savent que ce n'est qu'une question de temps avant que la même chose se produise en Cisjordanie. Pour être plus précis, depuis 1973 la puissance de dissuasion d'Israël s'amenuise.
Tous savent que comme il faut être deux pour le tango, la paix ne prévaudra jamais tant que la cause des Palestiniens ne sera pas correctement prise en compte. Bref, les différentes formes de désengagements unilatéraux du Liban, de Gaza ou même celui à venir de Cisjordanie n'apporteront pas la paix à Israël. Au contraire; les Arabes ne sont pas stupides et savent fort bien qu'Israël a décampé du Liban après avoir subi deux décennies d'humiliation militaire. Ils savent également que Sharon n'a pas quitté Gaza pour la raison précise qu'il recherchait la paix. Les Palestiniens savent que ce n'est qu'une question de temps avant que la même chose se produise en Cisjordanie. Pour être plus précis, depuis 1973 la puissance de dissuasion d'Israël s'amenuise.
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Depuis 1973 Israël n'est pas parvenu à défaire un seul de ses ennemis. Au contraire, au fil du temps ce sont les ennemis d'Israël qui parviennent à orienter les manoeuvres tactiques et politiques d'Israël. Ces deux dernières semaines ce sont deux organisations paramilitaires relativement petites qui, utilisant des techniques de guérilla ont amené Israël à déchaîner sa puissance militaire contre des civils innocents tant à Gaza qu'au Liban.Cependant, la réaction israélienne aux attaques palestiniennes et du Hezbollah est plutôt bizarre. Alors que les militants Palestiniens et du Hezbollah avaient initialement visé des cibles militaires légitimes, les représailles israéliennes ont été ouvertement dirigées vers des cibles civiles, des infrastructures et des tueries de civils innocents. Nul besoin d'être un génie pour se rendre compte que ce n'est pas vraiment la manière de gagner une guerre ni de faire face à cette forme de combat particulier qu'est la guérilla.Je dirais qu'une fois de plus le gouvernement israélien nous offre un aperçu fascinant de l'état de la psychologie collective israélienne. Je vais tenter de développer ce point.
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En raison de circonstances historiques évidentes, l'armée israélienne a été initialement formée pour combattre les armées arabes. Elle avait été conçue pour gagner des guerres conventionnelles sur le champ de bataille. Elle avait aussi pour mission de réduire la volonté de combattre des voisins d'Israël tout en exerçant une écrasante supériorité aérienne et une politique de menace nucléaire. Depuis la fin de la guerre froide, les choses ont changé. Israël n'est plus menacé par les pays voisins. De plus, il est devenu évident ces dernières années que c'est en réalité le peuple Palestinien qui fera voler en éclats le rêve d'un Etat national Juif.De manière assez étrange, Israël n'a jamais révisé ou adapté sa doctrine militaire pour l'accorder aux nouvelles données qui émergent. Au contraire elle a recyclé une grande partie de ses unités de combats en forces de police, transformé certains de ses tanks en véhicules de police. Sans évolution majeure de sa doctrine militaire. A peu près comme la Wehrmacht pendant la 2ème guerre mondiale, l'armée israélienne reste dans la ligne classique de la doctrine militaire offensive. Désormais, au lieu de vaincre sur le champ de bataille l'armée israélienne s'épuise en vain sur deux fronts où elle affronte des organisations paramilitaires relativement petites. Mais la situation peut encore empirer, il est assez possible que l'enthousiasme combatif des Palestiniens diffuse en Cisjordanie. Quand cela arrivera, l'armée israélienne se retrouvera engagée dans une guerre totale à seulement quelques kilomètres des endroits les plus peuplés d'Israël. Apparemment l'armée qu'on dit la plus forte du Moyen-Orient mène un combat désespéré qu'elle ne pourra jamais remporter, ni tactiquement ni moralement. Au plan tactique, il existe suffisamment d'exemples dans l'histoire pour conclure qu'aucune armée coloniale ne l'a jamais emporté contre une guérilla. La raison en est simple : plus l'armée coloniale répand la destruction et plus les guérilleros gagnent en popularité parmi la population. C'es exactement le cas à Gaza et à Beyrouth aujourd'hui. Plus grand est le carnage à Gaza, plus le Hamas se renforce. Plus grand est le nombre de bombes larguées sur l'aéroport de Beyrouth, plus nombreux seront les jeunes désireux de rejoindre le Hezbollah.Mais il y a plus; les Palestiniens comme le Hezbollah ont agi très intelligemment en capturant des militaires. Alors que par le passé, les groupes paramilitaires palestiniens étaient habituellement associés aux attentats suicides contre des civils israéliens, cette fois ce sont des soldats Israéliens et des postes militaires qui ont été visés. En d'autres termes, il est quasi impossible de contester le fait que les militants Palestiniens et le Hezbollah agissaient réellement comme des organisations légitimes de résistance luttant contre une armée coloniale et des forces d'occupation.Cependant, à la lecture des informations sur le Moyen-Orient, il semble assez évident que le gouvernement israélien n'a pas d'agenda précis pour contrer les audacieuses opérations militaires contre son armée et, en outre, l'armée israélienne n'a pas les moyens de contrer de telles attaques de guérilla. Les dommages collatéraux impitoyables d'aujourd'hui à Beyrouth comme à Gaza prouvent qu'au moins militairement, Israël est en complet désarroi et n'a aucune réponse politique ou militaire à apporter à l'encontre de la résistance Arabe. C'est là qu'est le piège : Israël n'a pas besoin d'une telle réponse et n'en cherche même pas. Israël est une démocratie à base raciale. Ses leaders ne recherchent qu'une seule chose : le maintien de leur pouvoir politique. Les règles du jeu politique israélien sont simples, plus vous avez de sang arabe sur les mains et plus vous avez le profil de votre poste au gouvernement. Cette règle jouait à l'évidence à plein pour Rabin, Sharon, Barak et Netanyahu. Olmert et Peretz sont encore loin derrière. Le premier ministre et le ministre de la défense manquent d'une expérience réelle des problèmes militaires et de sécurité. Ils ont donc beaucoup à faire pour rattraper ce retard.
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Autrement dit, Peretz et Olmert doivent offrir aux Israéliens un spectacle glorieux de représailles impitoyables. Ils doivent prouver à leurs chers électeurs qu'ils ont intériorisé le vrai sens biblique de "oeil pour oeil." En observant le carnage d'aujourd'hui à Beyrouth on pourrait même penser qu'ils ont essayé de donner un nouveau sens à ce précepte biblique. Aussi accablant que cela paraisse, c'est exactement ce que les israéliens attendent d'eux. Dans l'Israël démocratique le précepte biblique "déverse ta fureur sur les goyim" est traduite dans une pratique juive séculière et pragmatique. Ce n'est pas triste. C'est une véritable tragédie. Et je me demande s'il peut encore y avoir, hors d'Israël quelqu'un pour rester enthousiaste devant l'agenda unilatéral d'Israël pour la paix?
Autrement dit, Peretz et Olmert doivent offrir aux Israéliens un spectacle glorieux de représailles impitoyables. Ils doivent prouver à leurs chers électeurs qu'ils ont intériorisé le vrai sens biblique de "oeil pour oeil." En observant le carnage d'aujourd'hui à Beyrouth on pourrait même penser qu'ils ont essayé de donner un nouveau sens à ce précepte biblique. Aussi accablant que cela paraisse, c'est exactement ce que les israéliens attendent d'eux. Dans l'Israël démocratique le précepte biblique "déverse ta fureur sur les goyim" est traduite dans une pratique juive séculière et pragmatique. Ce n'est pas triste. C'est une véritable tragédie. Et je me demande s'il peut encore y avoir, hors d'Israël quelqu'un pour rester enthousiaste devant l'agenda unilatéral d'Israël pour la paix?
jeudi 13 juillet 2006
Un Lord "supporteur notoire" de l'entité sioniste
Tony Blair, le premier ministre Britannique, soutien principal de Georges Bush dans ses campagnes guerrières en Afghanistan et en Irak, se retrouve au coeur de ce qui prend aujourd'hui en Grande Bretagne, l'allure d'un grave scandale.
Cet article du Monde en retrace les grandes lignes à partir d'un récent rebondissement lié à l'arrestation puis à la libération sous caution de Lord Levy.
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L'article explique que ce magnat du show-business (il a dirigé la compagnie de disques où a notamment enregistré Chris Rea) a joué un rôle essentiel dans la collecte des dons nécessaires aux campagnes électorales du New Labour de Tony Blair. Le New Labour est un parti qui repose sur une base électorale largement populaire mais qui mène une politique libérale.
Ces collectes de fonds ont en particulier permis à Tony Blair de libérer le parti travailliste du cordon qui le reliait aux syndicats dont ce parti dépendait fortement pour les campagnes électorales.
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Bien sûr, toute peine mérite salaire. Alors, ce qui se retrouve au centre du scandale c'est l'obtention de privilèges comme l'accession à la pairie du royaune, et donc au titre de lord, en échange de petits services financiers.
Premier servi, M. Levy lui-même, élevé à la pairie en 1997. Quatre autres personnes auraient été placées sur les listes d'accession à la pairie en échange de prêts secrets, en violation de la loi. Ne parlons pas des autres privilèges obscurs pour un esprit républicain.
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Tout ça serait strictement sans importance [quoiqu'un départ anticipé de Tony Blair de son poste de premier ministre ne peut qu'être une bonne chose] si Lord Levy n'était pas un sioniste notoire, Le Monde écrit "supporteur notoire" de l'entité sioniste. Et Tony Blair n'avait rien trouvé de mieux que de nommer ce désormais Lord levy son envoyé spécial au Proche-Orient.
C'est un peu comme si Jacques Chirac faisait d'Arno Klarsfeld son envoyé spécial au Proche-Orient. Ce serait vraiment le signal fort que la France est pour une solution juste au conflit qui perdure dans la région.
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Qu'est-ce que ça veut dire "supporteur notoire" de l'entité sioniste. Le quotidien Le Monde ne s'abaisse tout de même pas à nous expliquer ce que ça recouvre.
s
Comme mon blog n'a pas l'aura du "quotidien de référence," je vais me hasarder à faire un petit déballage. En allant sur le site anglais red-star-research, j'ai pu relever les éléments suivants :
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- Lord levy possède une villa à Herzliya Pituah, un quartier chic de la banlieue de Tel Aviv en Palestine occupée.
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La villa de Lord Levy en Palestine occupée
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- il a participé à la collecte de fonds électoraux pour Ehud Barak, ex-premier ministre sioniste avec qui il a gardé des liens étroits
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- Son fils Daniel a travaillé pour le ministre sioniste de la justice (!) Yossi Beilin a qui il a également apporté des fonds électoraux.
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- Ses deux enfants résident dans l'entité sioniste
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- son rôle officieux d'envoyé de Tony Blair l'a amené à séjourner dans huit pays en 1999, dont le Qatar, la Syrie, Oman, l'entité sioniste. Au cours de son séjour au Liban, le gouvernement de ce pays l'avait accusé de représenter le point de vue de l'entité sioniste, incident que l'ambassade britannique avait du aplanir en faisant une déclaration officielle.
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Conclusion : ce Britannique, annobli par la reine qui plus est, n'est un fervent supporteur de l'entité sioniste que parce qu'il fait partie de l'entité. Le rôle qu'il joue au Royaume-Uni consiste simplement à accomplir sa mission, c'est-à-dire participer à la définition de la politique étrangère britannique en "tenant" les leaders de ce pays, pour peu que ces derniers ne s'embarrassent pas de scrupules, par l'argent si nécessaire aux partis dans les "démocraties" "modernes."
mardi 11 juillet 2006
Pour une justice équitable, il faut aussi juger les terroristes les plus dangereux
Les détenus Français de Guantanamo ont été livrés à la France par les USA sans que ce dernier pays n'ait enclenché de procédure judiciaire contre eux.
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On aurait pu imaginer, qu'après ce séjour dans ce lieu paradisiaque, les autorités françaises auraient eu à coeur de les laisser tranquilles.
Tel n'a pas été le cas puisque ces personnes font l'objet de poursuites en correctionnelle pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Des peines de prison ont été requises contre cinq des six prévenus.
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J'ai un peu de peine à comprendre pourquoi la France engage des poursuites contre ces personnes alors que les USA les ont libérés sans procès. Je ne comprends pas pourquoi la France n'engage pas des poursuites contre l'administration US pour enlèvement et séquestration arbitraire.
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Où peut-être ce procès est-il une manière de se prémunir contre un tel reproche. Les condamner en France reviendrait en fait à justifier en quelque sorte leur internement dans le camp de l'armée américaine, même si le réquisitoire fait mine de s'en prendre aux conditions de détention dans cet endroit.
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Le fait est que ce ne sont pas les responsables de Guantanamo qui sont jugés mais ceux qui s'y trouvaient dans des cages.
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Si les prévenus sont condamnés, même à une peine minime, tout en sachant que tous ont fait, et l'un d'entre eux fait encore, de la préventive, j'ose espérer que la justice française saura en tirer les leçons en lançant des poursuites judiciaires à l'encontre de Gilad Shalit, terroriste franco-sioniste, et d' Arno Klarsfeld, autre terroriste franco-sioniste qui a pourtant pignon sur rue à Paris.
dimanche 9 juillet 2006
Ton tunnel à New-York, c'est mon château en Espagne
Vous savez sans doute comme moi qu'un projet d'attentat dans un tunnel newyorkais vient d'être éventé. Le quotidien libanais l'Orient le Jour nous explique que le complot a été déjoué par les services de sécurité du Liban en collaboration avec le FBI. Ainsi un réseau composé d'au moins huit personnes reliées entre elles par internet a été identifié et l'une d'entre elles, un Libanais, arrêtée au Liban. Selon Mark Mershon, le chef du bureau du FBI à New York, cet individu aurait fait serment d'allégeance à Ben Laden.
Preuve de la personnalité perverse de cet individu et de l'audace d'Al Qaida et de ses techniques de camouflage, "durant son séjour au Liban, Amir Andalousi [le suspect arrêté] devait afficher une personnalité frivole, jouissant des plaisirs de la vie, pour camoufler son profil d’islamiste religieux, « une image qu’il avait parfaitement réussi à véhiculer », affirment les FSI [services de sécurité libanais].
Une dépêche de l'AFP reprise par le quotidien La Croix apporte un bémol à l'importance des trouvailles du FBI et des FSI. On peut lire ce qui suit : "Aujourd'hui, "l'enquête se poursuit", souligne le FBI affirmant "que le réseau Al-Qaïda cherche toujours à s'attaquer aux Etats-Unis". "A ce stade, il n'existe aucune information précise ni crédible qu'Al-Qaïda prépare un attentat sur le sol américain", ajoute-t-il toutefois.
Ce bémol est, ça va de soi, noyé dans une masse "d'informations" mêlant faits, suppositions et fantasmes. Il faut vraiment prêter attention à l'article pour se faire une idée correcte de la portée de l'arrestion effectuée par les FSI.
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Pour ceux que ça intéresse, il y a une suite. Je dis bien pour ceux que ça intéresse parce que la presse, elle, ne s'y intéresse pas. Elle nous livre une info alarmiste puis elle passe à autre chose. Heureusement tout le monde ne s'en contente pas.
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Ainsi, le site Raw Story nous fournit des éléments intéressants en provenance d'un ancien membre de la CIA dont les propos sont confirmés par des agents en activité :
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"Le soit-disant complot contre un tunnel de New-York tenait en une discussion tenue sur un site djihadiste public." déclare Philip Girardi, ancien officier de la CIA et collaborateur de l'American Conservative Magazine. Même si Girardi concède que les personnes impliquées - "dont trois ont été arrêtées au Liban et ailleurs - sont bien des extrémistes," leur dicussion en ligne a pris l'allure démesurée d'un véritable complot."
"Ce ne sont pas des terroristes entraînés et ils ne disposaient d'aucuns moyens de réaliser l'action dont ils discutaient" ajoute Girardi. "Même si des articles de presse selon lesquels ils auraient sollicité l'aide d'Abou Moussab Zarkawi, aucune information ne les confirme. On sait que les participants ont discuté de la possibilité d'approcher Zarkawi mais aucun d'entre eux ne le connaissait ou n'avait un quelconque accès à lui."
"Ce ne sont pas des terroristes entraînés et ils ne disposaient d'aucuns moyens de réaliser l'action dont ils discutaient" ajoute Girardi. "Même si des articles de presse selon lesquels ils auraient sollicité l'aide d'Abou Moussab Zarkawi, aucune information ne les confirme. On sait que les participants ont discuté de la possibilité d'approcher Zarkawi mais aucun d'entre eux ne le connaissait ou n'avait un quelconque accès à lui."
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Raw Story met en fin de compte l'éclatement de cette affaire sur le dos d'un conflit CIA - FBI, une histoire américano-américaine. Lisez l'article si ça vous intéresse.Je me permets de conclure ainsi. Si vous chattez sur Internet, via hotmail, messenger ou tout bêtement sur un forum, contentez vous de rêver ainsi :
- j'aimerais construire un château en Espagne
- vivement que je gagne au tiercé (faudrait peut-être jouer)
- je passerais bien une semaine avec Shakira (sans son mari ou ses frères)
et ainsi de suite.
Par contre abstenez vous de jouer au Don Quichotte qui, plutôt que de s'attaquer aux moulins, s'en prend, avec des mots, à ceux qu'il considère comme ses ennemis, leur souhaitant tout le mal possible.
Parce que c'est cela qu'ont fait les individus de ce pseudo-réseau terroriste : ils ont construit ce qu'ils considèrent être leur château en Espagne. Ils risquent de le payer à un prix exorbitant.
Manif pour la Palestine à Vaulx-en-Velin (Rhône)
Pour le Soutien à la résistance du peuple palestinien
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Pour exiger la libération de tous les prisonniers palestiniens et arabes détenus dans les prisons de l'occupation
Pour exiger la libération de tous les prisonniers palestiniens et arabes détenus dans les prisons de l'occupation
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Pour dénoncer les massacres et l'occupation
Rassemblement mercredi 12 juillet à 19 heures
Place de la Nation (face mairie) - Vaulx-en-Velin
Rassemblement mercredi 12 juillet à 19 heures
Place de la Nation (face mairie) - Vaulx-en-Velin
SOUTIEN TOTAL A LA RESISTANCE DU PEUPLE PALESTINIEN CONTRE L'OCCUPATION ET LA COLONISATION
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PAS UN SOU, PAS UNE ARME, POUR L'ETAT SIONISTE
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BOYCOTTONS L'ETAT COLONIAL D'ISRAEL
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AUX COTES DU PEUPLE PALESTINIEN,
LEVONS HAUT LE DRAPEAU DE LA RESISTANCE
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Transmis par Rim9969
Le FLN est-il encore socialiste? La réponse de Belkhadem et Hollande
A sa demande, le FLN (Front de Libération Nationale) pourrait rejoindre l'Internationale Socialiste. C'est ce que rapporte le quotidien Infosoir qui rend compte de la conférence de presse donnée à Alger par François Hollande, premier secrétaire du parti socialiste Français (PS) conjointement avec Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN. Hollande déclare notamment que le PS soutiendra la candidature du FLN et que la présence au sein de cette instance d'un autre parti algérien, le Front des Forces Socialistes déja membre de l'Internationale Socialiste n'était pas un obstacle.
Que dire de cette candidature du FLN à l'Internationale Socialiste et du soutien que lui apporte François Hollande?
Tout simplement que nous avons une nouvelle preuve tangible que le FLN n'est plus socialiste.
samedi 8 juillet 2006
Poker menteur Ankara - Washington? De toutes façons, l'entité voit les cartes des deux joueurs
Aux USA on cogite sur le Proche-Orient. On voit déja le résultat de ces cogitations sur le terrain, en Irak, en Afghanistan et en Palestine.
Le journal turc Zaman fait un compte-rendu des réflexions d'un officier en retraite, publiées par une revue influente dans les milieux politico-militaires Outre-Atlantique. Zaman omet dans son compte-rendu ce qui concerne le Pakistan et la Palestine. C'est normal, en tant qu'organe de presse turc, il s'intéresse prioritairement à ce qui concerne son pays, c'est-à-dire la question Kurde, le scénario tracé pour les pays frontaliers de la Turquie et ce qui touche aux lieux saints d'Arabie.
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Le journal omet également de nous retranscrire la liste des gagnants et des perdants au jeu de la manipulation des frontières. Je vous la reproduis telle quelle ci-dessous avant de vous livrer mon commentaire.
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Gagnants :
Afghanistan
Etat Arabe chiite
Arménie
Azerbaidjan
Baloutchistan
Kurdistan
Iran
Etat Sacré islamique
Jordanie
Liban
Yemen
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Perdants :
Afghanistan
Iran
Irak
Israel
Koweit
Pakistan
Qatar
Arabie séoudite
Syrie
Turquie
Emirats Arabes Unis
Cisjordanie
Afghanistan
Etat Arabe chiite
Arménie
Azerbaidjan
Baloutchistan
Kurdistan
Iran
Etat Sacré islamique
Jordanie
Liban
Yemen
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Perdants :
Afghanistan
Iran
Irak
Israel
Koweit
Pakistan
Qatar
Arabie séoudite
Syrie
Turquie
Emirats Arabes Unis
Cisjordanie
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Je passe sur le fait que l'Afghanistan figure à la fois parmi les gagnants et parmi les perdants. Je passe aussi sur le fait que les USA ne figurent pas du tout sur la liste, des gagnants bien entendu, car la carte proposée par le lieutenant colonel, il ne s'en cache pas, correspond absolument aux intérêts des USA : un Moyen-Orient fragmenté et inerte devant l'ingérence étrangère, voire sollicitateur d'ingérences US.
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Ce qui est curieux, c'est de voir figurer dans la liste des perdants l'entité sioniste et la Cisjordanie. Pourquoi d'après cet officier l'entité figure-telle au nombre des perdants?
La réponse est que l'entité est perdante parce qu'elle devrait se contenter de ses frontières de 67 et donc renoncer à l'intégralité de la Cisjordanie (en dehors d'aménagements, sans doute ceux correspondant au mur).
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Et la Cisjordanie alors? Observons d'abord que le rédacteur de l'Article ne parle pas de Gaza pas plus que de Palestine. Il est donc manifeste que dans les milieux US informés, la Palestine n'est pas à l'ordre du jour et ne le sera pas dans un avenir proche. La Cisjordanie sera donc perdante à cause des aménagements nécessaires à la sécurité de l'entité sioniste. La Cisjordanie perd parce que l'entité ne gagne qu'une partie du territoire palestinien; l'entité perd donc même si elle ne gagne pas tout ce que la "Torah" lui a promis. Curieux tour de passe passe intellectuel qui met dans la catégorie des perdants celui qu'on n'autorise à voler qu'une part du gâteau tout en lui laissant un droit de regard sur le reste.
d
Le fait que cet article ait été évoqué dans un journal turc n'est pas anodin et montre à quel point à Ankara on se pose des questions et on s'inquiète des desseins des USA dans la région. Après les Palestiniens et les Irakiens, ce sera peut-être aux Turcs de faire les frais des projets US. Pour l'heure l'armée kémaliste, qui a une influence décisive sur n'importe quel pouvoir civil en Turquie, s'accroche à l'alliance avec les USA et aux liens avec l'entité sioniste. La confirmation des visées US à travers la création d'un Etat kurde en Irak pourrait bien sonner le glas de la proximité américano-turco-sioniste.
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Zaman (Turquie) 8 juillet 2006, traduit de l'anglais par Djazaïri
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Un article du Armed Forces Journal, publié aux USA, suggère que la carte du Moyen-Orient soit redessinée "en fonction de la situation des minorités ethniques."
Cet article, rédigé par le Lieutenant colonel Ralph Peters, affirme que le redécoupage des frontières tracées par les Occidentaux corrigerait les "injustices" dans la région.
Proposant l'établissement d'un Kurdistan libre sur des portions de territoires Irakien, Iranien, Syrien et Turc, Petters prétend qu'un tel Etat, "étendi de Diyarbakir en Turquie à Tabriz en Iran, serait l'Etat le plus pro-occidental dans l'espace situé entre la Bulgarie et le Japon."
Peters propose aussi l'installation d'une espèce de super-Vatican musulman à la Mecque et Médine.
Un article du Armed Forces Journal, publié aux USA, suggère que la carte du Moyen-Orient soit redessinée "en fonction de la situation des minorités ethniques."
Cet article, rédigé par le Lieutenant colonel Ralph Peters, affirme que le redécoupage des frontières tracées par les Occidentaux corrigerait les "injustices" dans la région.
Proposant l'établissement d'un Kurdistan libre sur des portions de territoires Irakien, Iranien, Syrien et Turc, Petters prétend qu'un tel Etat, "étendi de Diyarbakir en Turquie à Tabriz en Iran, serait l'Etat le plus pro-occidental dans l'espace situé entre la Bulgarie et le Japon."
Peters propose aussi l'installation d'une espèce de super-Vatican musulman à la Mecque et Médine.
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Dans son article, Peters précise qu'aucun ajustement des frontières, quelle que soit son ampleur, ne pourra satisfaire complètement l'ensemble des minorités du Moyen-orient.
Le Lieutenant colonel en retraite de l'armée US affirme que la plus grande injustice consistait en l'absence d'un Etat Kurde indépendant et que "la partie orientale de la Turquie, soit 1/4 de sa superficie, devrait être considérée comme un territoire occupé."
Les Kurdes de Syrie et d'Iran comme ceux de Turquie "se précipiteraient pour rallier un Kurdistan indépendant s'ils le pouvaient" et le refus des démocraties légitimes de soutenir l'indépendance des Kurdes est une faute du point de vue des droits de l'Homme affirme Peters.
Les USA et leurs alliés "ont laissé passer une chance extraordinaire" de commencer à corriger cette "injustice" après la chute de Bagdad, écrit-il.
Dans son article, Peters précise qu'aucun ajustement des frontières, quelle que soit son ampleur, ne pourra satisfaire complètement l'ensemble des minorités du Moyen-orient.
Le Lieutenant colonel en retraite de l'armée US affirme que la plus grande injustice consistait en l'absence d'un Etat Kurde indépendant et que "la partie orientale de la Turquie, soit 1/4 de sa superficie, devrait être considérée comme un territoire occupé."
Les Kurdes de Syrie et d'Iran comme ceux de Turquie "se précipiteraient pour rallier un Kurdistan indépendant s'ils le pouvaient" et le refus des démocraties légitimes de soutenir l'indépendance des Kurdes est une faute du point de vue des droits de l'Homme affirme Peters.
Les USA et leurs alliés "ont laissé passer une chance extraordinaire" de commencer à corriger cette "injustice" après la chute de Bagdad, écrit-il.
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Certains des ajustements frontaliers dont Peters souhaite la réalisation au Moyen-Orient sont les suivants : l'Irak devrait être scindé en trois plus petits Etats, un Irak sunnite, un Etat chiite et le Kurdistan. La Jordanie garderait son territoire actuel avec une légère expansion vers le sud au détriment de l'Arabie séoudite.
Certains des ajustements frontaliers dont Peters souhaite la réalisation au Moyen-Orient sont les suivants : l'Irak devrait être scindé en trois plus petits Etats, un Irak sunnite, un Etat chiite et le Kurdistan. La Jordanie garderait son territoire actuel avec une légère expansion vers le sud au détriment de l'Arabie séoudite.
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. Les champs pétroliers de la côte séoudienne serait attribuée à l'Etat chiite créé avec le démantèlement de l'irak et le quart sud-est de l'Arabie irait au Yémen. L'Iran perdrait une bonne partie de son territoire au profit d'un Azerbaïdjan unifié, du Kurdistan libre, de l'Etat chiite Arabe et d'un Baloutchistan indépendant mais obtiendrait les provinces autour d'hérat dans l'Afghanistan actuel.
Après ces modifications, l'Iran redeviendrait un Etat perse. Le Koweit et Oman resteraient dans leurs frontières actuelles.
L'article indique également que Médine et la Mecque devraient être administrées par une sorte de super Vatican musulman.
. Les champs pétroliers de la côte séoudienne serait attribuée à l'Etat chiite créé avec le démantèlement de l'irak et le quart sud-est de l'Arabie irait au Yémen. L'Iran perdrait une bonne partie de son territoire au profit d'un Azerbaïdjan unifié, du Kurdistan libre, de l'Etat chiite Arabe et d'un Baloutchistan indépendant mais obtiendrait les provinces autour d'hérat dans l'Afghanistan actuel.
Après ces modifications, l'Iran redeviendrait un Etat perse. Le Koweit et Oman resteraient dans leurs frontières actuelles.
L'article indique également que Médine et la Mecque devraient être administrées par une sorte de super Vatican musulman.
mardi 4 juillet 2006
Sionisme = Terrorisme
Le site britannique Redress rappelle opportunément quelques vérités sur la nature terroriste du régime sioniste. Il souligne que ce régime, qui prétend participer avec les puissances occidentales, USA en tête, à la lutte contre le terrorisme est en fait l'initiateur des techniques que les Palestiniens, entre autres, tentent plutôt maladroitement d'utiliser. La liste qui suit est édifiante.
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Ci-dessous quelques faits rarement mentionnés sur la relation entre le sionisme et le terrorisme moderne.
Ci-dessous quelques faits rarement mentionnés sur la relation entre le sionisme et le terrorisme moderne.
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1. Le premier détournement d'avion a été celui d'un avion civil syrien par Israël en 1954 (cherchez bien dans la page)
1. Le premier détournement d'avion a été celui d'un avion civil syrien par Israël en 1954 (cherchez bien dans la page)
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2. Les grenades dans des cafés : utilisées pour la première fois par les sionistes contre des Palestiniens à Jérusalem le 17 mars 1937.
2. Les grenades dans des cafés : utilisées pour la première fois par les sionistes contre des Palestiniens à Jérusalem le 17 mars 1937.
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3. Les bombes à retardement à détonateur électrique dans des lieux commerciaux bondés : utilisées pour la première fois par les sionistes contre des Palestiniens à Haïfa le 6 juillet 1938.
3. Les bombes à retardement à détonateur électrique dans des lieux commerciaux bondés : utilisées pour la première fois par les sionistes contre des Palestiniens à Haïfa le 6 juillet 1938.
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4. Faire sauter un navire avec ses passagers à bord : exécuté pour la première fois par les sionistes le 25 novembre 1940 à Haïfa. Les sionistes n'ont pas hésité à faire exploser leurs propres correligionnaires pour protester contre la politique britannique de restriction de l'immigration juive en Palestine. Ce bateau, le Patria, transportait 1700 immigrants Juifs dont plus de deux cents ont perdu la vie.
4. Faire sauter un navire avec ses passagers à bord : exécuté pour la première fois par les sionistes le 25 novembre 1940 à Haïfa. Les sionistes n'ont pas hésité à faire exploser leurs propres correligionnaires pour protester contre la politique britannique de restriction de l'immigration juive en Palestine. Ce bateau, le Patria, transportait 1700 immigrants Juifs dont plus de deux cents ont perdu la vie.
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5. Assassinat de responsables gouvernementaux : réalisé pour la première fois par les sionistes au Caire contre les Britanniques quand, le 6 novembre 1944, Lord Moyne a été assassiné par le groupe Stern. Yitzhak Shamir, membre de l'Irgoun et plus tard chef du groupe Stern était derrière cette action.
5. Assassinat de responsables gouvernementaux : réalisé pour la première fois par les sionistes au Caire contre les Britanniques quand, le 6 novembre 1944, Lord Moyne a été assassiné par le groupe Stern. Yitzhak Shamir, membre de l'Irgoun et plus tard chef du groupe Stern était derrière cette action.
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6. Le recours à des otages pour faire pression sur un gouvernement : mis en oeuvre pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Tel Aviv le 18 juin 1946.
6. Le recours à des otages pour faire pression sur un gouvernement : mis en oeuvre pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Tel Aviv le 18 juin 1946.
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7. Faire exploser des locaux officiels aves les employés civils et les visiteurs qui ds'y trouvent : réalisé pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques le 22 juillet 1946 à Jérusalem. Le bilan de l'attentat contre l'hôtel King David avait été de 91 Britanniques tués et 46 blessés. Menahem Begin qui avait planifié et conduit l'attentat avant de devenir plus tard premier ministre d'Israël a reconnu que le massacre avait étaé coordonné et exécuté sur instruction de la Haganah.
7. Faire exploser des locaux officiels aves les employés civils et les visiteurs qui ds'y trouvent : réalisé pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques le 22 juillet 1946 à Jérusalem. Le bilan de l'attentat contre l'hôtel King David avait été de 91 Britanniques tués et 46 blessés. Menahem Begin qui avait planifié et conduit l'attentat avant de devenir plus tard premier ministre d'Israël a reconnu que le massacre avait étaé coordonné et exécuté sur instruction de la Haganah.
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8. Valises piégées : utilisées pour la première fois par les sionistes contre l'ambassade britannique à Rome le 13 octobre 1946.
8. Valises piégées : utilisées pour la première fois par les sionistes contre l'ambassade britannique à Rome le 13 octobre 1946.
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9. Voitures piégées dans des zones civiles : mises en oeuvre pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Sarafand (est de Jaffa) le 5 décembre 1946.
9. Voitures piégées dans des zones civiles : mises en oeuvre pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Sarafand (est de Jaffa) le 5 décembre 1946.
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10. Passage à tabac d'otages : commis pour la première fois par les sionistes contre des Britanniques à Netanya et Rishon le 29 décembre 1946.
10. Passage à tabac d'otages : commis pour la première fois par les sionistes contre des Britanniques à Netanya et Rishon le 29 décembre 1946.
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11. Lettres piégées expédiées à des responsables politiques : utilisées pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques quand 20 lettres piégées ont été envoyées d'Italie vers Londres entre le 4 et le 6 juin 1946.
11. Lettres piégées expédiées à des responsables politiques : utilisées pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques quand 20 lettres piégées ont été envoyées d'Italie vers Londres entre le 4 et le 6 juin 1946.
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12. Assassinat d'otages en représailles contre des actions gouvernementales : réalisés pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques dans le secteur de netanya le 29 juillet 1947.
12. Assassinat d'otages en représailles contre des actions gouvernementales : réalisés pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques dans le secteur de netanya le 29 juillet 1947.
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13. Colis postaux piégés : utilisés pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Londres le 3 septembre 1947.
13. Colis postaux piégés : utilisés pour la première fois par les sionistes contre les Britanniques à Londres le 3 septembre 1947.
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14. Le massacre de Qibya, nord-ouest de Jérusalem, a été accompli par l'unité 101 sous le commandement d'Ariel Sharon mercredi 14 octobre 1953. Cette attaque a été la plus sanglante et la plus brutale parmi les crimes sionistes depuis l'infâme massacre de Deir Yassine. 42 maisons ainsi qu'une école et une mosquée furent dynamitées avec leurs occupants à l'intérieur. 75 femmes, hommes et enfants avaient été tués.
14. Le massacre de Qibya, nord-ouest de Jérusalem, a été accompli par l'unité 101 sous le commandement d'Ariel Sharon mercredi 14 octobre 1953. Cette attaque a été la plus sanglante et la plus brutale parmi les crimes sionistes depuis l'infâme massacre de Deir Yassine. 42 maisons ainsi qu'une école et une mosquée furent dynamitées avec leurs occupants à l'intérieur. 75 femmes, hommes et enfants avaient été tués.
lundi 3 juillet 2006
Appel à rassemblements à Lyon (modifications)
L'Association Palestine en marche a préféré modifier
les lieux de ses rassemblements de soutien à la résistance et au peuple palestinien
et pour dénoncer les crimes de l'occupation sioniste
Considérant qu'il est plus judicieux que l'ensemble de la population puisse exprimer sa colère contre l'occupation et les crimes israéliens,
nous organisons les rassemblements tels que :
Lundi, 19 h : Place des Terreaux, Lyon
Mardi 19 heures, place de la Nation, Vaulx-en-Velin
Jeudi 19 heures, Face à l'hôtel de ville, Vénissieux.
Soyez nombreux.
Diffusez largement l'info.
Amenez drapeaux et pancartes,
préparez des textes, qui seront lus.
les lieux de ses rassemblements de soutien à la résistance et au peuple palestinien
et pour dénoncer les crimes de l'occupation sioniste
Considérant qu'il est plus judicieux que l'ensemble de la population puisse exprimer sa colère contre l'occupation et les crimes israéliens,
nous organisons les rassemblements tels que :
Lundi, 19 h : Place des Terreaux, Lyon
Mardi 19 heures, place de la Nation, Vaulx-en-Velin
Jeudi 19 heures, Face à l'hôtel de ville, Vénissieux.
Soyez nombreux.
Diffusez largement l'info.
Amenez drapeaux et pancartes,
préparez des textes, qui seront lus.
dimanche 2 juillet 2006
Comment peut-on être Juif et Persan?
C'est vraiment instructif de lire la presse israélienne, dont le Yedioth Ahronoth que j'affectionne tout particulièrement. On y trouve toutes sortes d'informations, avec parfois les déformations que le sionisme juge utiles à sa cause. Des points de vue Juifs opposés au sionisme y trouvent à l'occasion un certain écho et ce sont les réactions outragées et grossières du lectorat, en général des sionistes de la pire espèce, qui se chargent, à coups d'insultes, de leur faire un sort.
Ainsi on peut lire dans l'édition de ce jour un article qui évoque la position de la communauté juive iranienne sur ce qui se passe actuellement à gaza et plus généralement sur le sionisme.
On y apprend que, dans un communiqué de presse, la dite communauté condamne les violations des droits humains des Palestiniens de la bande de Gaza et éprouve de la peine face à ces événements."
Le communiqué est signé par le chef de la communauté juive iranienne, Harun Ishayai et par le député de la communauté juive, Maurice Motamed.
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Maurice Motamed
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Selon eux, "il n'existe aucun motif valable à la campagne de mort menée par des soldats israéliens qui enlèvent des membres du gouvernement palestinien et bombardent des zones résidentielles."
De plus, les responsables de la communauté juive affirment que les actions militaires israéliennes sont "antinomiques avec le judaïsme." et "appellent les Juifs du monde entier à protester contre le comportement des soldats et des leaders israéliens... C'est la mission des Juifs, plus que tout autre peuple, d'empêcher une politique qui foule aux pieds les principes humanistes de la tradition juive."
Dans une interview récente au journal russe Gazsetta, Harun Ishayai a déclaré que l'Iran ne croit pas au droit à l'existence d'Israël et qu'en tant que citoyens Iraniens, les membres de la communauté juive "partagent ce point de vue," ajoutant que la presse étrangère se méprenait quand elle affirme dans ses reportages que la communauté juive n'exprime pas son opinion en raison de pressions gouvernementales. Et de conclure : "Nous prions en hébreu, mais nous parlons entre nous en persan."
La plupart des commentaires du lectorat évoquent la propagande arabe (comme si l'Iran était un pays arabe), parlent de pressions reçues par ces leaders Juifs, sans oublier les inévitables références holocaustiques et à Hitler. Pourtant, bien seul, un Juif Iranien résidant en Angleterre prend la parole pour écrire ce qui suit : "Je suis un Juif Iranien qui a quitté l'Iran voici trente ans mais qui a toujours des contacts réguliers avec de nombreux Juifs Iraniens qui vivent en Iran. Je peux dire que la majorité des Juifs qui vivent en Iran sont heureux et n'ont pas peur de dire ce qu'ils pensent. Ils ne soutiennent pas israêl qu'ils considèrent comme quelque chose de mauvais pour les Juifs parce que c'est une création européenne coloniale et séculière qui ne respecte pas les vrais valeurs de la Torah. Si les Juifs iraniens restants ne sont pas contents, pourquoi n'émigrent-ils pas? Ils le peuvent s'ils le veulent comme l'ont fait des centaines de milliers auparavant. Je dis à Israël : laissez les Juifs Iraniens tranquilles."
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