En me promenant sur le site de The angry Arab, je suis tombé sur un article d'un journal australien. Je vous en livre la traduction ci-après. Voilà une lecture édifiante sur les pratiques du sionisme qui consistent à instiller partout le venin de la haine. Remplacez "musulmans" par "juifs" et "Islam" par "Judaïsme" et "université hébraïque" par "université islamique" avant d'en proposer une lecture au CRIF ou à la LICRA pour voir l'effet qu'aurait cet article sur les dirigeants de ces organisations.
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Ah, et tant que vous y êtes remplacez "professeur Israeli" par "professeur Tariq Ramadan."
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Avertissement à l'Australie : limitez l'immigration musulmane
Barney Zwartz, 16/02/2007, Sydney Morning Herald (Australie), traduit de l'anglais par Djazaïri
Avertissement à l'Australie : limitez l'immigration musulmane
Barney Zwartz, 16/02/2007, Sydney Morning Herald (Australie), traduit de l'anglais par Djazaïri
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La vie peut devenir impossible quand la population musulmane d'un pays non musulman atteint environ 10 % comme on peut le voir en France, affirme un spécialiste juif de l'Islam.
L'édition d'hier de l'Australian Jewish News citait Raphael Israeli pour qui l'Australie devrait limiter l'immigration musulmane ou courir le risque d'être submergée d'Indonésiens.
La vie peut devenir impossible quand la population musulmane d'un pays non musulman atteint environ 10 % comme on peut le voir en France, affirme un spécialiste juif de l'Islam.
L'édition d'hier de l'Australian Jewish News citait Raphael Israeli pour qui l'Australie devrait limiter l'immigration musulmane ou courir le risque d'être submergée d'Indonésiens.
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Le professeur Israeli a déclaré au Sydney Morning Herald avoir été mal compris. Mais il a affirmé :
Le professeur Israeli a déclaré au Sydney Morning Herald avoir été mal compris. Mais il a affirmé :
« Quand la population musulmane atteint une masse critique vous avez des problèmes. C'est une règle générale qui, si elle s'applique partout, s'applique aussi en Australie. »
Le professeur Israeli qui est un spécialiste d'histoire islamique à l'université hébraïque de Jérusalema été invité en Australie par le Shalom Institute de l'université des Nouvelles Galles du Sud. L'Australia-Israel Jewish Affairs Council co-parraine beaucoup de ses activités.
Selon lui, les immigrés Musulmans ont la réputation de manipuler les valeurs des pays occidentaux, mettant à profit leur hospitalité et leur tolérance.
Selon lui, les immigrés Musulmans ont la réputation de manipuler les valeurs des pays occidentaux, mettant à profit leur hospitalité et leur tolérance.
« Les Grecs, les Italiens ou les Juifs ne recourent pas à la violence. Il n'y a pas de Hilaly Juif ou Italien [allusion à Cheikh Taj el-Din al Hilaly, l'imam controversé de la mosquée lakemba]. Pourquoi? »
NDT : Hilaly, mufti d'Australie auto-proclamé, s'exprimant sur le viol avait comparé les femmes à de la "viande" [en fait il utilisait l'image de la viande présentée sans protection à un chat] d'où son propos selon lequel la femme qui exhibe son corps prend le risque d'être violée. On se souviendra que ce genre de propos, qui a heurté également la communauté musulmane australienne, n'est ni nouveau ni propre aux religieux, fussent-ils musulmans.
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Le professeur Israeli affirme qu'avec l'accroissement de la population musulmane le risque de violence augmente.
Le professeur Israeli affirme qu'avec l'accroissement de la population musulmane le risque de violence augmente.
« Là où vous avez d'importantes populations musulmanes prêtes à recourir à la violence; vous êtes dans les ennuis. S'ils ne représentent qu'un ou deux pour cent, ils n'osent pas causer de problèmes – ils n'ont pas l'appui d'une communauté importante. Ils savent qu'ils sont noyés dans un environnement non musulman et ils sont amenés à mieux se tenir. »
En Australie, les Musulmans représentent environ 1,5 % de la population.
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Le professeur Israeli explique qu'en France, pays européen qui a la plus forte proportieon de Musulmans, il était déjà trop tard. Il y existe des zones où la police n'ose pas pénétrer, et les militants Musulmans sont en train de modifier le tissu politique, économique et culturel du pays et exigent des politiques antisémites et anti-israéliennes.
Le professeur Israeli explique qu'en France, pays européen qui a la plus forte proportieon de Musulmans, il était déjà trop tard. Il y existe des zones où la police n'ose pas pénétrer, et les militants Musulmans sont en train de modifier le tissu politique, économique et culturel du pays et exigent des politiques antisémites et anti-israéliennes.
« Les français disent qu'ils sont des étrangers dans leur propre pays. C'est un point de non retour.
Si vous allez au conflit, alors que pouvez-vous faire. Vous ne pouvez pas tous les mettre en prison, et de toutes manières, ils ne sont pas tous violents. Vous ne pouvez pas tous les renvoyer. C'est un vrai casse-tête. C'est irréversible. »
Le professeur Israeli dit qu'en Australie quelques imams ont prêché la violence.
« Vous ne devriez pas laisser les imams fondamentalistes venir ici. Contrôlez les 1000 fois avant de les accepter et, après leur entrée, contrôlez ce qu'ils racontent à la mosquée. »
Selon lui, certains musulmans voudraient imposer la sharia (loi islamique) dans leurs pays d'adoption et quand leur propagande ne marche pas ils pratiquent l'intimidation.
Le professeur Israeli explique que son travail est de décrire et non de prescrire. Il ajoute que son avertissement ne concernait pas les migrants, Musulmans compris, qui cherchaient simplement à améliorer leur condition. Tant qu'ils respectent la loi et la démocratie, leur nombre – qu'ils soient Musulmans, Bouddhistes ou Juifs – importait peu. Il le devient quand un groupe accepte la violence.
« Ce ne sont pas des Chrétiens ou des Bouddhistes mais des Musulmans qui ont fait sauter les trains à Londres et à Madrid, c'est donc d'eux qu'il faut se méfier. » a-t-il expliqué.
Le professeur Israeli explique que son travail est de décrire et non de prescrire. Il ajoute que son avertissement ne concernait pas les migrants, Musulmans compris, qui cherchaient simplement à améliorer leur condition. Tant qu'ils respectent la loi et la démocratie, leur nombre – qu'ils soient Musulmans, Bouddhistes ou Juifs – importait peu. Il le devient quand un groupe accepte la violence.
« Ce ne sont pas des Chrétiens ou des Bouddhistes mais des Musulmans qui ont fait sauter les trains à Londres et à Madrid, c'est donc d'eux qu'il faut se méfier. » a-t-il expliqué.
Pour Keysar Trad, de l'Islamic Friendship Association of Australia,
« Il ne faut pas seulement contrôler les clercs religieux avant l'entrée en Australie mais aussi les universitaires... ce genre de professeurs ne fait que prôner la haine, la suspicion et la division... Il faudrait se pencher non seulement sur ce que cet homme a dit mais aussi sur ceux qui l'ont parrainé, pour voir s'ils approuvent ses propos. »
C'est vrai de toute façon. Si les sionnistes ne trompent plus personne, les musulmans non plus.
RépondreSupprimerAllez, disons "certains musulmans", pour être modéré.
10% de musulmans pour la france, et les 20% de musulmans de la population israelienne dans un pays juif, ca devient critique aussi?
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