Incroyable que cet article du journal espagnol El Mundo qui nous envoie à la figure un certain nombre de clichés antisémites (au sens d’hostilité envers les juifs).
On y apprend par exemple qu’on peut être juif de religion (certes ça va de soi) mais aussi de race. Une idée qui ressemble à s’y méprendre à celle défendue par le sionisme (ah oui, et aussi par le nazisme).
On y apprend par exemple qu’on peut être juif de religion (certes ça va de soi) mais aussi de race. Une idée qui ressemble à s’y méprendre à celle défendue par le sionisme (ah oui, et aussi par le nazisme).
On y apprend aussi que juif, ça se voit sur la figure !
Complètement dingues ces journalistes Espagnols !
Et ce n’est pas fini, puisqu’on apprend aussi qu’on peut être prêtre catholique, agent des services secrets du Vatican mais quand même travailler encore plus pour le… Mossad. Oui, les services secrets sionistes parce que même si on est catholique de religion, après tout n’est-on pas juif de race ? (non, le mot sayanim ne figure pas dans l’article).
Et puis, par ailleurs, Jésus-Christ n’était-il pas juif et n’est-il pas resté juif jusqu’au bout ?
Et peut-on être véritablement catholique si on n’est pas juif ?
Oh que nenni ! Et comme juif, c'est aussi une race, la conclusion est que seuls des juifs peuvent être authentiquement catholiques.
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Une véritable leçon de théologie judéo-chrétienne.
Toutes ces inventions antisémites et même le dernière plutôt philosémite, vous les découvrirez dans la traduction que je vous propose. Il faut juste savoir que cet article n’est qu’un extrait d’un compte rendu d’entretien bien plus long qui n’est pas accessible gratuitement.
Un livre autobiographique devrait prochainement paraître en espagnol (sera jamais publié en français à mon avis)
Les confessions du prêtre-espion du Vatican
Il a travaillé comme espion pour les grands services de renseignements
Les médecins ont diagnostiqué qu’il avait un cancer du poumon en phase terminale
Par José Manuel Vidal, El Mundo (Esp), 2 août 2008 traduit de l’espagnol par Djazaïri
«Je suis un espion et je ne le nie pas,» reconnait-il sans rougir à 90 ans. Et ce qui est certain, selon ses révélations à Cronica, c'est qu'il a appartenu aux services secrets du Vatican, a été membre du Mossad, que la CIA a voulu le recruter et qu'il fut arrêté par le KGB. Un portrait digne d’un 007, mais Antonio Hortelano est un religieux rédemptoriste, un spécialiste de la Morale sur les épaules duquel repose un extraordinaire parcours évangélique. Et une histoire de cinéma.
Parce que ce prêtre-espion a vécu de près, directement ou indirectement, tous les grands événements contemporains et a côtoyé les grands personnages qui sont passés ou passeront dans l’Histoire. De Golda Meir ou Moshe Dayan à Salvador Allende ou Monseigneur Romero. Et évidemment, les Papes des dernières décennies.
Cheveux blancs, nez aquilin («de juif,» dit-il avec fierté), courbé par le poids des ans, le père Hortelano garde un esprit tout à fait lucide, une grande capacité dialectique et pédagogique et des yeux bleus qui en ont vu de toutes les couleurs. Jusqu’à la radiographie de sa propre mort, diagnostiquée par hasard il y a quelques mois. « J’arrivais du Mexique, on m’a emmené à l’hôpital Carlos III et on m’a fait toutes sortes d’analyses pour voir si j’avais la grippe A. Quand il en a eu terminé, le médecin m’a dit : «J’ai deux nouvelles à vous donner. Une bonne et une mauvaise. La bonne est que vous n’avez pas la grippe A. La mauvaise est que vous avez un cancer du poumon en phase terminale.» Mais pour l’heure, il l’assume avec beaucoup de dignité. «Je me meurs. Il me reste quelques mois à vivre. Mais je n’ai pas voulu de chimiothérapie ou de radiothérapie. Seulement des soins palliatifs.»
- Vous n’avez pas peur de la mort ?
- Pas du tout.- Pourquoi ?
- Parce que j’ai la foi et que je crois en l’au-delà.
- Comment aimeriez-vous mourir ?
- Avec un sourire aux lèvres.
- Et votre épitaphe ?
- La phrase de Zubiri: «Je pense donc je suis et j’existe, pas suspendu dans le néant mais à Dieu.».
Il est 10h du matin ce mercredi 29 juillet. Le père Hortelano nous reçoit dans sa chambre du couvent rédemptoriste de la rue Félix Boix à Madrid. Une petite chambre d’une humilité monastique ; deux rayonnages de livres et une porte qui donne sur une petite salle d’eau. On sent le détachement et l’austérité. Il s’assoit sur sa chaise, couvre ses genoux avec un plaid et se prépare à nous livrer une partie du livre de souvenirs qu’il a presque terminé. Son titre sera Le grand-père.
- Un titre peu commercial
- Oui, mais comme je raconte des choses éprouvantes, j’ai préféré l’enrober d’un halo de tendresse. Quelque chose de cordial et familier.
- Votre testament.
- Ma vérité et un regard sur beaucoup de choses que j’ai vécues.
De manière générale, le père Hortelano dit avoir à se repentir de peu de choses « Mon expérience de la vie n’a pas toujours été suffisamment religieuse et, en certaines occasions j’ai été très égoïste et entêté.» En tout cas, il ne craint absolument pas le jugement de Dieu. «Je m’en remets à Dieu. Bientôt je me présenterai devant lui et je lui dirai : ‘C’est Antonio qui vient te rendre compte.‘» De plus, il y a eu une infinité de bonnes choses dans sa vie. « Parmi celles dont je me sens le plus fier, figurent celles dans lesquelles j’ai travaillé pour mes prochains.»
Une vie fascinante et pleine de peines et de tristesses, comme il le laisse entendre. Revenant loin en arrière, il rappelle qu’il est né au 80 du passage de Colon de Irun. « A 500 mètres de là où nous habitions se trouvait la France. » Dans une famille aisée. Des forces vives du peuple. « Mon grand-père maternel, Antonio, mort à 96 ans, a été le pharmacien le plus âgé d’Espagne. A l’âge de 7 ans, la famille d’Antonio déménagea à Madrid. « Mon père était leucémique et ma mère pensait qu’il serait plus facile de le soigner à Madrid. On lui donna un traitement aux rayons X qui fut une réussite pour l’époque puisqu’il survécu jusqu’au début de 1931.»
Et c’est à Madrid que l’enfant orphelin a vécu l’époque républicaine. « A l’institut où j’ai été le camarade de Fernando Fernan Gomez, nous, jeunes catholiques, arborions une croix sur le revers et les rouges, un diable avec une queue et des cornes.» Ensuite vint la guerre civile et chez lui, on célébrait des «eucharisties clandestines avec le père Ibarrola.»
Le père Hortelano vitupère contre Rafael Alberti : « Il mettait les prisonniers dans des cabines téléphoniques aux parois électrifiées avec du courant haute tension.» Et contre Santiago Carrillo qui a fait fusiller son oncle. En revanche, il loue «le génie stratégique de Franco.»
Excellent étudiant, Antonio Hortelano professe chez les rédemptoristes à partir du 24 août 1939. Et avec ses extraordinaires talents humains et religieux, il devient vite une des étoiles de la congrégation. Grand, mince et de belle allure, avec ses lunettes métalliques, il fait intellectuel. Et il l’a été. Brillant, on dit qu’il parlait très bien, qu’il prêchait encore mieux et que c’était un enchantement quand il faisait cours. « J’ai toujours été très populaire parmi les élèves, parce que dans mes cours, je ne lisais jamais. Ils étaient toujours schématiques, brefs et créatifs.» Et, pour couronner le tout, il savait six langues. Parmi elles, l’allemand à la perfection.
Espion du Vatican
A la curie romaine, on s’intéressa à lui et il commença à faire partie des services secrets du Vatican. « Avec des missions spéciales et un statut précaire, » dit-il. Mais la vérité est que le cardinal Montini, alors secrétaire d’Etat du Vatican et futur Pape Paul VI, lui confia de nombreuses missions spéciales. Un jour, il l’appela au Vatican et lui dit :
«Nous soupçonnons que le cardinal Mindszenty de Budapest a été drogué et que c’est pour cette raison qu’il a parlé à la population à la radio en faveur du communisme. Nous voulons fixer des orientations aux responsables de l’Eglise. Nous savons que vous êtes courageux et audacieux, et je veux savoir si nous pouvons compter sur vous pour cette mission.»
J’ai accepté de tout mon cœur malgré les risques que j’encourais. Je me suis rendu en Hongrie communiste avec un passeport italien et j’ai rempli ma mission. Mais au moment où il allait prendre le train de retour pour Vienne, des espions du KGB l’ont repéré, arrêté et soumis à un interrogatoire pendant des heures, l’accusant d’espionnage. Mais après 45 heures et « après avoir actionné les leviers adéquats, ils m’ont relâché et j’ai pu rentrer.» Ces leviers sont le Vatican et Israël, les deux Etats pour lesquels il travaillait.
- J’ai même plus travaillé avec Israël qu’avec le Vatican.
- Pourquoi avec les Juifs ?
- Ca se voit sur ma figure : j’ai une ascendance juive.
- Etre un espion juif va bien avec le sacerdoce catholique ?
- Parfaitement. Jésus était juif de race et de religion. Et il n’est jamais sorti du judaïsme. On ne peut être chrétien sans être juif.
Via Rome et le Mossad, il a été un destinataire privilégié d’informations. Nombreuses et abondantes. Il raconte par exemple que l’amiral Canaris, chef de l’espionnage sous Hitler, « descendait de juifs séfarades expulsés d’Espagne en 1492 qui se réfugièrent à Salonique. Il s’infiltra dans les services secrets allemands et dicta à Franco la stratégie à suivre lors de la fameuse rencontre avec Hitler à Hendaye.
"Il a travaillé comme espion pour les grands services de renseignements. Les médecins ont diagnostiqué qu’il avait un cancer du poumon en phase terminale"
RépondreSupprimerSentence divine? oh que non, car Dieu est misericordieux !
Et tout ca pour finir cancereux et mourrir comme n'importe quel pouilleux. Vanite, tout n'est que vanite.
La preuve,j'ai toujours dit qu'il ne faut jamais faire confiance au Vaticon.L'endroit le plus pourri du monde.P DE M meme là les faschistes sionistes ont mis leur cancer qui ronge l'humainité.A QUAND LE CHATIMENT DIVIN???????????
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