Internet et les sources d’informations indépendantes du lobby sioniste, je pense surtout à Al Jazeera en arabe, puis en anglais, ont mis fin au monopole de la presse occidentale sur l’opinion publique.
Les médiats occidentaux eux-mêmes ont d’ailleurs du mal à faire l’impasse sur l’information produite par ces sources.
Et puis il y a la réalité ignoble de l’action de l’entité sioniste qui ne saurait indéfiniment cacher le soleil avec un tamis.
Un intérêt de cette évolution est qu’elle oblige le lobby sioniste à intervenir avec une vigueur renouvelée qui fait que son action auprès des décideurs politiques, auparavant souvent discrète, devient dorénavant de plus en plus visible et, pour tout dire, grossière.
L’action de ce lobby permet à l’entité sioniste de remporter des victoires politiques qui semblent non négligeables, comme ce vote des élus étatsuniens rejetant le rapport Goldstone avant même son examen à l’ONU.
Le lobby constatera cependant peut-être plus vite qu’on ne le pense qu’il s’agit en fait d’une victoire à la Pyrrhus où il a été contraint de dévoiler au grand jour l’emprise qu’il détient sur les acteurs politiques aux Etats Unis.
Car le problème est que tout le monde n’est pas nécessairement aussi bête que les parlementaires des Etats Unis et que tout le monde ne dépend pas des sionistes pour sa réélection.
C’est par exemple le cas des journalistes qui exercent dans les quelques médiats non entièrement soumis qui existent encore en Occident et n’hésitent pas à aborder cette question tabou qu’est le lobby sioniste.
Ainsi, la chaîne télévisée britannique Channel 4 s’apprête-t-elle à diffuser un reportage sur le lobby sioniste au royaume de sa Gracieuse Majesté.
Vous ne direz qu’on a déjà eu des reportages sur le lobby sioniste à la télévision française. Certes, mais il s’est toujours agi de reportages sur le lobby considéré aux Etats Unis. Car, comme chacun sait, ce lobby n’existe pas en France, pays où le communautarisme est exclu de la vie politique.
Les seuls lobbies qui existent en France, mettez-vous bien ça dans la tête, ce sont les lobbies des marchands de vin, des restaurateurs ou des agriculteurs.
Channel 4 se penche donc sur le lobby sioniste, non comme un sujet exotique à livrer à la curiosité de l’opinion, mais comme un sujet qui intéresse directement l’opinion publique britannique aussi bien au niveau des orientations diplomatiques de son pays que sur la manière dont des intérêts étrangers exercent une influence sur laquelle les électeurs n’on jamais eu à se prononcer.
A l’intérieur du lobby israélien
Channel 4 (UK) 7 novembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
L’émission Dispatches enquête sur un des lobbies politiques les plus puissants et les plus influents en Grande Bretagne, qui œuvre à soutenir les intérêts de l’Etat d’Israël.
En dépit de la grande influence qu’il exerce dans les hautes sphères de la politique et des médiats britanniques, on sait peu de choses sur les personnes et les organisations qu’on connaît sous l’appellation lobby pro-israélien.
Le journaliste politique Peter Oborne cherche à établir leur identité, la manière dont ils sont financés, leur manière d’agir et l’influence qu’ils ont, depuis les organisations les plus importantes jusqu’aux personnages fortunés qui contribuent au financement du lobby.
Il enquête sur le degré de transparence, d’accessibilité à l’enquête publique et de responsabilité devant la loi du lobby, particulièrement au niveau de son financement et se sont soutien pécuniaire à des députés.
Le lobby pro-israélien a pour but de modeler le débat sur les relations de la Grande Bretagne avec Israël et sur l’évolution de la politique à son égard.
Osborne examine comment opère le lobby depuis l’intérieur du parlement et les tactiques qu’il utilise en sous-main pour influer sur la presse écrite et audiovisuelle.
Les médiats occidentaux eux-mêmes ont d’ailleurs du mal à faire l’impasse sur l’information produite par ces sources.
Et puis il y a la réalité ignoble de l’action de l’entité sioniste qui ne saurait indéfiniment cacher le soleil avec un tamis.
Un intérêt de cette évolution est qu’elle oblige le lobby sioniste à intervenir avec une vigueur renouvelée qui fait que son action auprès des décideurs politiques, auparavant souvent discrète, devient dorénavant de plus en plus visible et, pour tout dire, grossière.
L’action de ce lobby permet à l’entité sioniste de remporter des victoires politiques qui semblent non négligeables, comme ce vote des élus étatsuniens rejetant le rapport Goldstone avant même son examen à l’ONU.
Le lobby constatera cependant peut-être plus vite qu’on ne le pense qu’il s’agit en fait d’une victoire à la Pyrrhus où il a été contraint de dévoiler au grand jour l’emprise qu’il détient sur les acteurs politiques aux Etats Unis.
Car le problème est que tout le monde n’est pas nécessairement aussi bête que les parlementaires des Etats Unis et que tout le monde ne dépend pas des sionistes pour sa réélection.
C’est par exemple le cas des journalistes qui exercent dans les quelques médiats non entièrement soumis qui existent encore en Occident et n’hésitent pas à aborder cette question tabou qu’est le lobby sioniste.
Ainsi, la chaîne télévisée britannique Channel 4 s’apprête-t-elle à diffuser un reportage sur le lobby sioniste au royaume de sa Gracieuse Majesté.
Vous ne direz qu’on a déjà eu des reportages sur le lobby sioniste à la télévision française. Certes, mais il s’est toujours agi de reportages sur le lobby considéré aux Etats Unis. Car, comme chacun sait, ce lobby n’existe pas en France, pays où le communautarisme est exclu de la vie politique.
Les seuls lobbies qui existent en France, mettez-vous bien ça dans la tête, ce sont les lobbies des marchands de vin, des restaurateurs ou des agriculteurs.
Channel 4 se penche donc sur le lobby sioniste, non comme un sujet exotique à livrer à la curiosité de l’opinion, mais comme un sujet qui intéresse directement l’opinion publique britannique aussi bien au niveau des orientations diplomatiques de son pays que sur la manière dont des intérêts étrangers exercent une influence sur laquelle les électeurs n’on jamais eu à se prononcer.
A l’intérieur du lobby israélien
Channel 4 (UK) 7 novembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
L’émission Dispatches enquête sur un des lobbies politiques les plus puissants et les plus influents en Grande Bretagne, qui œuvre à soutenir les intérêts de l’Etat d’Israël.
En dépit de la grande influence qu’il exerce dans les hautes sphères de la politique et des médiats britanniques, on sait peu de choses sur les personnes et les organisations qu’on connaît sous l’appellation lobby pro-israélien.
Le journaliste politique Peter Oborne cherche à établir leur identité, la manière dont ils sont financés, leur manière d’agir et l’influence qu’ils ont, depuis les organisations les plus importantes jusqu’aux personnages fortunés qui contribuent au financement du lobby.
Il enquête sur le degré de transparence, d’accessibilité à l’enquête publique et de responsabilité devant la loi du lobby, particulièrement au niveau de son financement et se sont soutien pécuniaire à des députés.
Le lobby pro-israélien a pour but de modeler le débat sur les relations de la Grande Bretagne avec Israël et sur l’évolution de la politique à son égard.
Osborne examine comment opère le lobby depuis l’intérieur du parlement et les tactiques qu’il utilise en sous-main pour influer sur la presse écrite et audiovisuelle.
Non, bien sûr pas de lobby sioniste en France , mais, pure fiction, imaginons qu'il y en ait un et qu'il soit assez puissant pour favoriser l'élection suprême.
RépondreSupprimerNe serait-il pas temps, alors, qu'il agisse et sorte par exemple des sondages pour 2012, au cas où l'occupant actuel soit trop usé pour resservir?
Il pourrait faire jouer l'alternance démocratique, c'est bien vu ça et donner à prévoir qu'un autre agité d'un parti que l'on croit adverse est prêt à prendre la relève, on pourrait l'appeler Gaston Super Krac, mais tout cela resterait à peauffiner, si il y avait un lobby en France, mais y'en a pas.
Lou
"Les seuls lobbies qui existent en France, mettez-vous bien ça dans la tête, ce sont les lobbies des marchands de vin, des restaurateurs ou des agriculteurs."
RépondreSupprimerVous oubliez le lobby des épiciers arabes, c'est pour cette raison que l'islamophobie est encouragé en France et reste impunie.