Contrairement à ce que de nombreux sionistes veulent bien croire, l’existence de l’entité sioniste pas n’est pas garantie par le droit international.
Ce n’est en effet pas pour rien que les sionistes insistent pour que les Palestiniens reconnaissent leur entité comme un Etat juif ; seul en effet un tel acte fixé juridiquement par un accord bilatéral palestino-sioniste serait de nature à garantir en droit, et non seulement de facto, l’existence de l’entité dans des frontières qui restent certes à définir.
Si cet aspect de la problématique du conflit proche-oriental échappe à de nombreux citoyens, la situation est plus claire quand on en vient au statut de Jérusalem. En effet, très peu d'Etats, et certainement pas les USA ou la Grande Bretagne, reconnaissent Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste.
Ceci se traduit par la quasi absence d’ambassades étrangères à Jérusalem mais aussi, c’est ce que vient de découvrir un ressortissant Canadien, par le refus de délivrance de passeports portant conjointement la mention « Jérusalem, Entité sioniste» pour le lieu de naissance.
Refus qui témoigne que certains secteurs des administrations de grands Etats refusent d’entériner en droit ce que les sionistes considèrent comme des faits accomplis qui devraient être entérinés juridiquement. On voit d’ailleurs dans cet article que les USA appliquent la même politique que le Canada, alors qu’ils ont toujours été plus en pointe dans le soutien au sionisme.
On notera l’argumentation spécieuse du plaignant qui invoque une entrave à la liberté religieuse et une pratique discriminatoire ; et c’est sur ces points que la Cour Suprême du Canada a répondu.
Encore un exemple du culot sioniste.
Refus de le Haute Cour canadienne dans l’affaire du passeport mentionnant Jérusalem
Jewish Telegraphic Agency, 20 juillet 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Ce n’est en effet pas pour rien que les sionistes insistent pour que les Palestiniens reconnaissent leur entité comme un Etat juif ; seul en effet un tel acte fixé juridiquement par un accord bilatéral palestino-sioniste serait de nature à garantir en droit, et non seulement de facto, l’existence de l’entité dans des frontières qui restent certes à définir.
Si cet aspect de la problématique du conflit proche-oriental échappe à de nombreux citoyens, la situation est plus claire quand on en vient au statut de Jérusalem. En effet, très peu d'Etats, et certainement pas les USA ou la Grande Bretagne, reconnaissent Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste.
Ceci se traduit par la quasi absence d’ambassades étrangères à Jérusalem mais aussi, c’est ce que vient de découvrir un ressortissant Canadien, par le refus de délivrance de passeports portant conjointement la mention « Jérusalem, Entité sioniste» pour le lieu de naissance.
Refus qui témoigne que certains secteurs des administrations de grands Etats refusent d’entériner en droit ce que les sionistes considèrent comme des faits accomplis qui devraient être entérinés juridiquement. On voit d’ailleurs dans cet article que les USA appliquent la même politique que le Canada, alors qu’ils ont toujours été plus en pointe dans le soutien au sionisme.
On notera l’argumentation spécieuse du plaignant qui invoque une entrave à la liberté religieuse et une pratique discriminatoire ; et c’est sur ces points que la Cour Suprême du Canada a répondu.
Encore un exemple du culot sioniste.
Refus de le Haute Cour canadienne dans l’affaire du passeport mentionnant Jérusalem
Jewish Telegraphic Agency, 20 juillet 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Toronto (JTA) – La Cour Suprême du Canada a refusé d’examiner en audience l’affaire d’un Juif Canadien qui demandait à ce que son passeport mentionne pour son lieu de naissance « Jérusalem, Israël.»
Eliyahu Veffer de Toronto a fait appel auprès de la haute cour après que d’autres instances judiciaires ont conclu que la politique d’Ottawa de noter un lieu de naissance simplement comme «Jérusalem,» sans mention du pays ne violait pas sa liberté de religion et n’était pas discriminatoire à son égard.
La haute cour n’a pas motivé son refus du dossier Veffer. Mais dans un document présenté à la cour, Michael Bell, ancien ambassadeur canadien en Israël, indique que le pays « s’oppose à l’occupation de Jérusalem Est par Israël et ne reconnaît pas la souveraineté israélienne sur une quelconque partie de la ville de Jérusalem telle que définie dans le plan de partition de l’ONU.
Le gouvernement ajoute que dès lors que sa politique s’applique également aux Palestiniens, elle n’est pas discriminatoire envers les Juifs Canadiens nés dans cette ville.
David Matas, l’avocat de Veffer, a soutenu que la politique canadienne actuelle n’existe que depuis 1976.
« De 1948 à 1976, le Canada a autorisé la mention «Jérusalem, Israël» dans les passeports canadiens pour Jérusalem Est et Ouest, sans aucun impact apparent sur la perception de la neutralité canadienne,» a-t-il dit.
Matas a ajouté que les personnes nées dans d’autres villes disputées sont autorisés à choisir le nom du pays à inclure dans leur formulaire de demande de passeport. La seule exception, dit-il, est Jérusalem.
Ce refus intervient quelques jours après qu’une cour d’appel de Washington aux USA ait refusé d’étudier une affaire présentée par les parents d’un garçon né à Jérusalem qui s’est également vu interdire la mention « Israël » sur son passeport américain.
Le président de l’entité sioniste revendique la résolution 181 (qui n’était explicitement qu’une recommandation) comme légitimant « son » pays par la mythique car inexistante de fait « pseudo communauté internationale ». Or
RépondreSupprimer1/ la Charte de l’ONU ne lui permettait pas de voter ce texte sans consultation au minimum de tous les habitants concernés
2/ / Une bonne partie des 33 voix votants « pour » n’étaient absolument pas libres (les satellites de Staline, les affidés des USA, les pays sous influence chrétienne trompé par le statut international de Jérusalem et le Cardinal Spelman, les pays qu’on a fait chantés)
3/ La résolution éthiquement et politiquement inadmissible par la partie arabe, n’a absolument pas été respecté par les sionistes
4/ La situation territoriale et organisationnelle de fait le 11 Mai 1949 n’avait quasi plus rien de commun avec le texte de la 181.
5/ L’ubuesque résolution 273 d’admission de l’entité sioniste à l’ONU de ce même jour rappelait le respect des résolution 181 et 194 (droit au retour en particulier) qu’évidemment les sionistes n’avaient aucune intention de respecter
Malgré tout, les lâches pays à la botte des lobbies sionistes ont voté l’admission, quoique le court texte soit inimaginablement kafkaïen.
muhibeefalasteen@thagalre.com