Une société biomédicale sioniste aurait inventé un dispositif de type patch capable de prévoir l’imminence d’une crise cardiaque.
Une telle innovation dans le domaine du soin ne peut évidemment que se monnayer à sa juste valeur, ce qui justifie la valorisation de la société SafeSky qui a conçu ce dispositif et explique pourquoi MSI, une multinationale anglo-taïwanaise a manifesté son intention de la racheter.
A la clef, de nombreuses vies sauvées et une rémunération méritée pour les dirigeants de SafeSky. Parmi ces derniers, nous trouvons un certain Hagai Hadas, ancien dirigeant du Mossad et négociateur désigné par Benyamin Netanyahu pour obtenir la libération de Gilad Shalit, le terroriste sioniste détenu par le Hamas.
Le problème est que l’invention est bidon et que les brevets prétendument déposés n’existent que dans les déclarations des dirigeants de l’entreprise. Et que MSI n’a jamais fait d’offre d’achat pour SafeSky.
Et qu’en compagnie de l’ancien cadre du Mossad, nous trouvons à la tête de SafeSky, un dénommé Arik Klein, escroc patenté de son état.
Voilà qui en dit long sur les mœurs sionistes où seul l’appât du gain vient rivaliser avec le goût du sang.
Selon le Jewish Chronicle, Hadas aurait été grugé ; il ne serait qu’une victime de la fraude montée par Arik Klein. Vous lirez plus bas cependant que le 8 juillet Hadas défendait la réalité du contrat concernant la société qu’il co-dirigeait avant d’en démissionner devant l’évidence de l’escroquerie.
Le Jewish Chronicle se pose une bonne question : comment ces cadres ont-ils pu être bernés si aisément ?
La réponse tient probablement à la cupidité des uns et des autres car, comme le dit un homme d’affaires sioniste qui avait été approché pour investir dans SafeSky :
Une telle innovation dans le domaine du soin ne peut évidemment que se monnayer à sa juste valeur, ce qui justifie la valorisation de la société SafeSky qui a conçu ce dispositif et explique pourquoi MSI, une multinationale anglo-taïwanaise a manifesté son intention de la racheter.
A la clef, de nombreuses vies sauvées et une rémunération méritée pour les dirigeants de SafeSky. Parmi ces derniers, nous trouvons un certain Hagai Hadas, ancien dirigeant du Mossad et négociateur désigné par Benyamin Netanyahu pour obtenir la libération de Gilad Shalit, le terroriste sioniste détenu par le Hamas.
Le problème est que l’invention est bidon et que les brevets prétendument déposés n’existent que dans les déclarations des dirigeants de l’entreprise. Et que MSI n’a jamais fait d’offre d’achat pour SafeSky.
Et qu’en compagnie de l’ancien cadre du Mossad, nous trouvons à la tête de SafeSky, un dénommé Arik Klein, escroc patenté de son état.
Voilà qui en dit long sur les mœurs sionistes où seul l’appât du gain vient rivaliser avec le goût du sang.
Selon le Jewish Chronicle, Hadas aurait été grugé ; il ne serait qu’une victime de la fraude montée par Arik Klein. Vous lirez plus bas cependant que le 8 juillet Hadas défendait la réalité du contrat concernant la société qu’il co-dirigeait avant d’en démissionner devant l’évidence de l’escroquerie.
Le Jewish Chronicle se pose une bonne question : comment ces cadres ont-ils pu être bernés si aisément ?
La réponse tient probablement à la cupidité des uns et des autres car, comme le dit un homme d’affaires sioniste qui avait été approché pour investir dans SafeSky :
“Ca semble incroyable de voir tant d’opérateurs expérimentés bernés aussi facilement, mais quand quelqu’un se trouve devant la perspective de faire autant d’argent en si peu de temps, il est difficile de résister“.Et on peut se dire que la réputation du Mossad est surfaite ou du moins liée à une époque révolue.
Jerusalem Post, 8 juillet 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Des informations sur une transaction de 370 millions de dollars dans le domaine biomédical qui ont mis le marché israélien en effervescence semblent loin de l’affaire que les médiats se sont empressés de présenter comme conclue.
Lundi, des informations télévisées et des articles de presse ont annoncé ce qu’ils ont qualifié de plus grosse cession de l’histoire israélienne : la vente par Safe Sky Software, la start up de Bnei Brak, d’un tiers des parts pour un brevet pour un patch de prévention des attaques cardiaques, à la société britannique MSI.
Le lendemain, le contrat supposé avait perdu toute réalité quand on a su qu’un des partenaires de l’entreprise, Arik Klein, qui a séjourné en prison pour fraude, avait fabriqué une fausse correspondance par courriel dans laquelle il prétendait représenter MSI, l’acquéreur.
La tromperie a pris une autre dimension quand on a découvert que Haggai Hadas, l’ancien cadre du Mossad récemment nommé par Netanyahu pour mener les négociations concernant Gilad Shalit, le militaire israélien captif, est un des directeurs de SafeSky et que son PDG est Gabi Picker, un ami d’enfance du premier ministre Binyamin Netanyahu.
Les services du premier ministre ont publié mardi une déclaration affirmant que «les affaires privées d’Hadas, dont ses activités commerciales, étaient sa propre responsabilité, n’étaient connues que de lui et n’entretenaient aucune relation avec son rôle public.»
Hadas, Picker et Amos Buchnik, le fondateur de SafeSky ont insisté ce mardi pour affirmer que la transaction avait été réellement conclue.
“Il y a un accord,» a declaré Buchnik à la radio de l’armée. « Nous n’avons à en répondre devant qui que ce soit.»
Un porte parole de l’entreprise britannique a indiqué n’avoir aucune connaissance de l’accord. «Le problème est géré par notre service juridique, » a-t-il déclaré à Globes.
Selon la compagnie israélienne, cette dernière a développé et breveté le Life Keeper – un petit patch qui contrôle le rythme cardiaque et est capable de détecter ses importantes variations et de prévenir de l’imminence d’une attaque cardiaque une demie heure à l’avance.
« Le patch est [très efficace]. Nous avons confiance en ce produit,» a déclaré Buchnik. « Quatre brevets ont été déposés pour ce patch et, si nécessaire, nous vous les montrerons.»
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