Il y a encore des gens pour penser, comme ce directeur d’un organisme caritatif de Tel Aviv, que c’est en raison de ce que des Juifs ont subi pendant la deuxième guerre mondiale « qu’on nous a permis de construire ce pays.»
Or toute personne un peu documentée sur le projet sioniste sait que ce ne fut pas le cas. Les persécutions nazies ont surtout permis d’augmenter le capital sympathie du projet sioniste, de fournir des immigrants juifs en nombre (même si tous n'étaient pas forcément emballés) et de mettre sous l’éteignoir les protestations des Palestiniens spoliés de leur patrie par les sionistes.
C’est pourquoi la mésaventure survenue à un certain Yevgeny Bistrizky, rescapé du camp de Babi Yar, et qui a failli finir clochard à tel Aviv ne nous surprend pas.
Attention, son itinéraire vers la clochardisation n’a rien que de très banal : perte d’emploi, suivie de celle du logement puis du conjoint. C’est la conjonction de déboires financiers et d’un grand isolement qui pave le plus souvent le chemin de l’errance moderne.
Ce qui n’est pas banal par contre, c’est que cette personne qui aurait dû être protégée au maximum par les autorités du pays qui a fait de « l’holocauste » son fonds de commerce politique et financier, n’a bénéficié d’aucun filet de sécurité ni d’attention particulière. Et qu’elle doive son salut non aux services sociaux mais à une association humanitaire et à la générosité de personnes privées.
Bon, les choses sont rentrées dans l’ordre pour M. Bistrizky : il a un logement gracieusement mis à sa disposition par un organisme privé, il continue à travailler à 69 ans (pas de retraite pour les rescapés de l’holocauste ?) et il touche une pension qui lui est servie par le gouvernement allemand.
Pas un kopeck ne lui vient de l’Etat voyou sioniste !
Or toute personne un peu documentée sur le projet sioniste sait que ce ne fut pas le cas. Les persécutions nazies ont surtout permis d’augmenter le capital sympathie du projet sioniste, de fournir des immigrants juifs en nombre (même si tous n'étaient pas forcément emballés) et de mettre sous l’éteignoir les protestations des Palestiniens spoliés de leur patrie par les sionistes.
C’est pourquoi la mésaventure survenue à un certain Yevgeny Bistrizky, rescapé du camp de Babi Yar, et qui a failli finir clochard à tel Aviv ne nous surprend pas.
Attention, son itinéraire vers la clochardisation n’a rien que de très banal : perte d’emploi, suivie de celle du logement puis du conjoint. C’est la conjonction de déboires financiers et d’un grand isolement qui pave le plus souvent le chemin de l’errance moderne.
Ce qui n’est pas banal par contre, c’est que cette personne qui aurait dû être protégée au maximum par les autorités du pays qui a fait de « l’holocauste » son fonds de commerce politique et financier, n’a bénéficié d’aucun filet de sécurité ni d’attention particulière. Et qu’elle doive son salut non aux services sociaux mais à une association humanitaire et à la générosité de personnes privées.
Bon, les choses sont rentrées dans l’ordre pour M. Bistrizky : il a un logement gracieusement mis à sa disposition par un organisme privé, il continue à travailler à 69 ans (pas de retraite pour les rescapés de l’holocauste ?) et il touche une pension qui lui est servie par le gouvernement allemand.
Pas un kopeck ne lui vient de l’Etat voyou sioniste !
Et ce ne sont pas moins de 50 000 rescapés de "l'holocauste" qui vivent actuellement sous le seuil de pauvreté dans l'entité sioniste!
Comment Yevgeny Bistrizky, un survivant de l’holocauste, a fini dans les rues d’Israël.
Par Sheera Frenkel, The Times (UK) 4 septembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Comment Yevgeny Bistrizky, un survivant de l’holocauste, a fini dans les rues d’Israël.
Par Sheera Frenkel, The Times (UK) 4 septembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Une couverture élimée et sale est bien cachée dans les placards du nouvel appartement de Yevgeny Bistrizky – pendant près de neuf mois, elle a été la seule literie que possédait ce survivant de l’holocauste âgé de 71 ans.
Il y a deux semaines, M. Bistrizky était sans domicile dans les rues de Tel Aviv, vivant dans un parc pour chiens, se servant de bancs comme literie de fortune et dépendant des habitants pour la nourriture.
Il dormait là malgré son aversion pour les chiens. Un de ses seuls souvenirs de l’holocauste était la vision de chiens se repaissant de cadavres près des zones de massacre de Babi Yar, où 33 771 Juifs furent tués par balle en septembre 1941. Leurs corps étaient jetés dans un ravin près de Kiev pendant ce qui fut l’un des plus grands massacres de l’holocauste.
M. Bistrizky déclare : «Je n’avais jamais pensé que je me retrouverais à nouveau sans rien. Je persistais à espérer que les choses iraient mieux mais je ne savais que faire.»
Comment un survivant de l’holocauste peut-il se retrouver sans abri en Israël est une question qui n’a pas reçu de réponse depuis que l’histoire de M. Bistrizky a été publiée il y a quelques semaines dans un quotidien en hébreu.
Plus de 50 000 survivants de l’holocauste vivent sous le seuil de pauvreté en Israël. M. Bistrizky est le seul cas connu de survivant devenu un sans abri.
L’association Latet qui apporte une aide aux nécessiteux l’a découverts après que des habitants inquiets aient contacté cette organisation. L’association a été étonnée d’apprendre qu’il vivait dans le parc pour chiens depuis huit mois, se lavant avec un tuyau d’arrosage dans le local à poubelles d’un immeuble, avec l’espoir que les déjections canines jonchant le par dissuaderaient des gens de l’agresser dans son sommeil.
Dans l’incapacité de lui trouver un logement décent, Latet a contacté un journal pour qu’il publie son histoire. Depuis, l’association a reçu des centaines d’appels de personnes proposant de la nourriture, des vêtements et des chambres dans leurs maisons.
Une entreprise a proposé un appartement dans un immeuble pour personnes âgées. La chambre est dépouillée mais propre. La seule touche personnelle consiste en deux calendriers ukrainiens avec des photos de chatons au-dessus du lit.
M. Bistrizky explique : «parfois, j’ai peur de me réveiller et qu’il n’y ait plus rien. Que je retourne sur le banc du parc et que tout n’a été qu’un rêve.»
Petit mais costaud, il se déplace avec précaution dans la pièce. Ses yeux bleus s’éclairent quand il montre les choses que des gens lui ont données : un four micro-ondes, une stéréo, un réchaud à gaz et un réfrigérateur.
Ses mains s’attardent sur les objets, s’arrêtant sur un fauteuil qu’il a placé près de la fenêtre. Dans l’après-midi, entre un vent frais : «C’est ce que je préfère, le moment que je préfère – ce vent,» dit-il, utilisant le mot hébraïque pour brise avec un sourire bref mais fier. «Je suis si heureux, si reconnaissant qu’on m’ait donné tout ça.»
M. Bistrizky est venu en Israël avec sa famille en 1993. Il a travaillé en usine jusqu’à il y a trois ans quand, à l’âge de 69 ans, il a été licencié.
Les difficultés financières l’ont amené à perdre son logement puis sa femme. Pendant la plus grande partie d’une année, M. Brizitsky a vécu dans un immeuble abandonné sans eau ni électricité.
Le jour où il fut découvert et expulsé, presque tous ses biens furent volés. Il erra dans les rues mais craignait les sans domicile fixe endurcis qui dormaient sur l’herbe des parcs de Tel Aviv. Finalement, il s’installa dans le parc pour chiens.
Comme son statut matrimonial était flou, les travailleurs sociaux lui avaient dit qu’il n’était pas éligible à un logement social. Comme il parlait un hébreu haché, ils lui demandèrent de revenir avec un interprète ou avec des papiers à jour.
«C’est incroyable que ça puisse arriver,» déclare Liron Yochai, le directeur de Latet. «Je ne peux toujours pas croire que des survivants de l’holocauste sont dans le besoin en Israël. Si ce n’était pas pour eux, nous n’aurions pas ce pays. C’est en raison de ce qu’ils ont subi qu’on nous a permis de construire ce pays. C’étaient leurs mains, leur argent.»
Latet fournit de la nourriture et des services à 1 500 survivants mais n’ignore pas que 50 000 autres vivent sous le seuil de pauvreté en Israël.
En 2007, le gouvernement israélien a approuvé un plan de 182 millions d’euros pour aider les survivants de l’holocauste. La plupart des organisations ont affirmé que c’était trop peu et que des centaines de millions de dollars étaient retenus dans les caisses des organisations dont la raison d’être est de distribuer ces fonds.
M. Yochai explique : «Ils disent qu’ils épargnent cet argent mais j’ignore pour quoi faire. Dans quinze ans, il n’y aura plus de survivants de l’holocauste. Nous devons leur donner ce que nous pouvons maintenant.»
M. Brizitsky qui travaille le soir comme gardien dans une supérette et perçoit mensuellement une pension d’environ 300 euros d’Allemagne, dit qu’il ne demande pas plus. La semaine prochaine et pour la première fois, il rencontrera un autre survivant du massacre de Babi Yar lors d’un dîner pour le nouvel an juif organisé par Latet.
Certains jours, il pensait que le monde était fait de gens qui lui voulaient du mal. Il hésitait beaucoup à s’adresser à quelqu’un et avait peur d’être blessé.
Il déclare : «Maintenant je pense – et j’essaye de continuer à penser – que la plupart des gens sont bons. Regardez tout ce qu’ils ont fait pour moi. Je me sentais très seul. C’est si bon que j’en suis presque effrayé.»
Mais ce probleme existe depuis des années.Quelle honte pour ces sionistes qui pour oui ou un non,ils nous sortent le chantage à la shoa.Alors que eux n'ont rien a faire de ces survivants.Alors comment voulez vous que ces personnes ont de la compassion pour le peuple PALESTINIEN.LEURS AMES EST NOIR
RépondreSupprimerMeskine ....
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