mercredi 2 février 2011

Les sionistes ne veulent pas de cacahouètes...

 ... mais du pognon comme d'habitude. parce que les cacahouètes, c'est peanuts comme on dit en français.

C'est en effet plus de cinq millions de dollars de dommages et intérêts qu'une bande de délinquants sionistes vient de réclamer par une "class-action" en justice contre l'ancien président US Jimmy Carter sur le modèle de ces malades qui ont attaqué l'industrie du tabac.
Ces sionistes, spécialistes du mensonge à tous les niveaux et de l'extorsion de fonds, reprochent à Jimmy Carter d'avoir travesti la réalité de la situation en Palestine occupée et d'avoir mis en vente un ouvrage de fiction présenté comme un document.
Jimmy Carter n'a pas daigné répondre à ces misérables sionistes qui ne représentent rien d'autre qu'une officine qui prend ses ordres à Tel Aviv. Sa maison d'adition, Simon & Schuster a par contre réagi vivement et à mon avis ces sionistes en seront pour leurs frais au sens propre comme figuré du terme.

New York - 5 millions de dollars de dommages et intérêts demandés à Jimmy Carter pour son livre 'Palestine'
par Bruce Golding, New York Post (USA) 1er février 2011 traduit de l'anglais par Djazaïri

New York - Ils veulent plus que seulement des cacahouètes..

Jimmy Carter dans l'exploitation familiale d'arachides
Un groupe de lecteurs mécontents réclame aujourd'hui plus de 5 millions de dollars par voie de justice au président Jimmy Carter pour son livre "Palestine - la paix, pas l'apartheid."

La requête déposée à la cour fédérale de Manhattan affirme que ce best-seller paru en 2006 "est truffé d'erreurs démontrables, d'omissions et de déformations intentionnelles de la réalité dans le but de promouvoir la propagande de carter contre Israël."
Cette action en justice collective accuse le lauréat du prix Nobel ainsi que son éditeur Simon & Schuster de rupture de contrat, d'enrichissement injuste et de tromperie pour avoir fait la promotion de ce livre à 27 dollars en tant qu'oeuvre non fictionnelle.

"La requête en justice met en cause les actions des accusés visant à capitaliser sur le statut de Carter en tant qu'ancien président des Etats Unis pour induire en erreur des lecteurs naïfs qui ont pensé pouvoir faire confiance à leur ancien président pour dire la vérité," lit-on sur les documents remis au tribunal.

L'attaché de presse de Carter n'a pas répondu à notre demande de commentaires, mais Simon & Schuster a qualifié les poursuites de "frivoles" et "sans fondement."
"C'est une attaque ignoble contre la liberté d'expression et nous avons l'intention de nous défendre avec vigueur," a déclaré son porte parole Adam Rothberg.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Commentaires publiés après modération. Les propos injurieux, diffamatoires ou à caractère raciste ne seront pas publiés.