Eh oui, comme je vous le disais dans les posts précédents, le mésusage par le Mossad de passeports de nations amies fait des vagues aux antipodes aussi. Et cet article du quotidien The Age expose presque en pleine lumière les pratiques de l'entité sioniste dans les Nations "amies" (si le mot amitié peut avoir un sens pour les sionistes). On appréciera notamment les changements répétés de nom, pour convenances personnelles nous disent des personnes qui aiment à s'adonner au jeu des sept familles. On appréciera aussi les dires de ce député Australien qui n'a rien trouvé de mieux à faire que de soutenir le régime sioniste dans sa pratique qui consiste à falsifier les documents de voyage de pays amis pour commettre des actes terroristes, comme par exemple l'assassinat de Mahmoud al-Mabhouh. J'espère au moins que le lobby sioniste le paye bien, car faire la Marie couche toi là avec autant de brio mérite vraiment une belle récompense.
Et ce que le Mossad fait en Australie se fait aussi dans d'autres pays ainsi que le confirme un sioniste cité dans l'article.
Les services secrets australiens enquêtent sur l'espionnage israélien
par Jason Koutsoukis and Jonathan Pearlman The Age (Australie) 27 février 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
L'ASIO (Australian Security Intelligence Organisation) enquête sur au moins trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne qu'elle soupçonne d'utiliser une couverture australienne pour espionner en faveur d'Israël.
L'enquête a démarré au moins six mois avant l'assassinat en janvier de Mahmoud al-Mabhouh, un militant du Hamas, dont on considère généralement maintenant qu'il a été commis par le Mossad, le service de renseignements extérieurs israélien.
Les autorités de Dubaï ont révélé que trois personnes soupçonnées d'implication dans l'assassinat voyageaient avec des passeports australiens falsifiés au nom de trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne.
Les trois personnes reliées à la mort de Mabhouh ne sont en rien liées aux trois qui font l'objet des investigations de l'ASIO.
L'Australie a confronté Israël pour la deuxième fois au sujet de l'utilisation de passeports australiens trafiqués, l'ambassadeur actuellement en poste à Tel Aviv, Nocoli Maning-Campbell ayant transmis aux officiels Israéliens les préoccupations de son gouvernement.
La police fédérale australienne enquête sur cette affaire, aux côtés de l'ASIO et de l'Australian Passport Office.
Entre temps, l'Australie s'apprêtait hier soir à New York à s'abstenir dans un vote à l'ONU sur une nouvelle résolution pressant Israël et l'Autorité palestinienne d'enquêter sur les allégations de crimes de guerre commis pendant la guerre de l'année dernière à Gaza.
On attendait pour le début de la matinée le vote sur la résolution par l'Assemblée Générale.
Des allégations de crimes de guerre perpétrés par Israël et le Hamas ont été avancées dans un rapport spécial de l'ONU rédigé par le juge Sud Africain Richard Goldstone.
L'Australie avait voté contre une résolution similaire présentée devant l'Assemblée générale de l'ONU l'an dernier.
Le gouvernement Rudd a averti Israël que la falsification de passeports australiens ne serait pas considérée comme "le geste d'un ami."
Mais Yigal Palmor, le porte parole du ministère israélien des affaires étrangères a démenti hier que les relations diplomatiques étaient dans une mauvaise passe.
"je n'ai entendu aucun gouvernement accuser Israël d'être impliquée dans cette affaire, ni en France, ni en Grande Bretagne, ni en Irlande, ni en Allemagne et ni en Australie en ce moment," a-t-il dit sur ABC Radio.
Selon nos deux sources au sein des services de renseignements australiens, les trois personnes à la double citoyenneté sous surveillance de l'ASIO ont émigré en Israël au cours de la dernière décennie.
Chacun de ces trois hommes est, depuis, revenu en Australie à des moments différents pour changer de nom et obtenir un nouveau passeport australien.
Un des hommes sous surveillance a changé trois fois de nom de famille et les deux autres deux fois. Dans chaque cas, les hommes ont changé des patronymes qui pouvaient être perçus comme sonnant juif européen au profit de noms identifiés plus typiquement comme anglo-australiens.
Les citoyens australiens ont en général l'autorisation de changer de patronyme une fois tous les douze mois dès lors que ce n'est pas pour des motifs criminels.
Ces nouveaux passeports australiens ont depuis été utilisés pour pouvoir entrer dans un certain nombre de pays qui sont hostiles à Israël, dont l'Iran, la Syrie et le Liban. Aucun de ces trois pays ne reconnaît Israël et ils interdisent spécifiquement l'entrée de citoyens Israéliens sur leur territoire.
Notre journal a appris que ces trois citoyens Australiens ont en commun de travailler pour une société européenne de télécommunications qui possède une filiale au Moyen Orient..
The Age a contacté deux de ces hommes qui ont nié être impliqué dans une quelconque activité d'espionnage. Ils ont confirmé avoir changé de patronymes mais ont affirmé que l'idée qu'ils l'auraient fait pour obtenir de nouveaux documents de voyage pour circuler au Moyen Orient était, selon les termes de l'un d'entre eux, "totalement absurde."
Tous deux ont déclaré avoir changé de nom pour des raisons personnelles. On pense qu'un de ces hommes a aussi la citoyenneté britannique et qu'il fait l'objet de l'attention des services secrets britanniques depuis son changement de nom.
L'ASIO n'a fait aucun commentaire.
Un spécialiste Israélien du renseignement a déclaré hier à The Age qu'il n'était un secret pour personne qu'Israël approchait des gens qui avaient immigré d'autres pays pour aider Israël en remettant leurs passeports. "Les noms sont utilisés plus tard, mais la personne qui cède son passeport n'est pas impliquée."
Warren Reed, un ancien agent des services d'espionnage australiens, l'Australian Secret Intelligence Service, explique que le vol de passeports par des services étrangers n'était "pas nouveau."
"L'utilisation de faux papiers dans l'espionnage est aussi vieux que l'espionnage," dit-il.
Le député libéral Julian McGauran s'est nettement démarqué de la position de son leader et a critiqué le ministre des affaires étrangères Stephen Smith pour avoir "publiquement montré du doigt Israël."
Le leader d'opposition Tony Abbott, qui avait critiqué le premier le système australien des passeports, n'avait pas pu être joint hier au sujet de cette affaire.
Et ce que le Mossad fait en Australie se fait aussi dans d'autres pays ainsi que le confirme un sioniste cité dans l'article.
Les services secrets australiens enquêtent sur l'espionnage israélien
par Jason Koutsoukis and Jonathan Pearlman The Age (Australie) 27 février 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
L'ASIO (Australian Security Intelligence Organisation) enquête sur au moins trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne qu'elle soupçonne d'utiliser une couverture australienne pour espionner en faveur d'Israël.
L'enquête a démarré au moins six mois avant l'assassinat en janvier de Mahmoud al-Mabhouh, un militant du Hamas, dont on considère généralement maintenant qu'il a été commis par le Mossad, le service de renseignements extérieurs israélien.
Les autorités de Dubaï ont révélé que trois personnes soupçonnées d'implication dans l'assassinat voyageaient avec des passeports australiens falsifiés au nom de trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne.
Les trois personnes reliées à la mort de Mabhouh ne sont en rien liées aux trois qui font l'objet des investigations de l'ASIO.
L'Australie a confronté Israël pour la deuxième fois au sujet de l'utilisation de passeports australiens trafiqués, l'ambassadeur actuellement en poste à Tel Aviv, Nocoli Maning-Campbell ayant transmis aux officiels Israéliens les préoccupations de son gouvernement.
La police fédérale australienne enquête sur cette affaire, aux côtés de l'ASIO et de l'Australian Passport Office.
Entre temps, l'Australie s'apprêtait hier soir à New York à s'abstenir dans un vote à l'ONU sur une nouvelle résolution pressant Israël et l'Autorité palestinienne d'enquêter sur les allégations de crimes de guerre commis pendant la guerre de l'année dernière à Gaza.
On attendait pour le début de la matinée le vote sur la résolution par l'Assemblée Générale.
Des allégations de crimes de guerre perpétrés par Israël et le Hamas ont été avancées dans un rapport spécial de l'ONU rédigé par le juge Sud Africain Richard Goldstone.
L'Australie avait voté contre une résolution similaire présentée devant l'Assemblée générale de l'ONU l'an dernier.
Le gouvernement Rudd a averti Israël que la falsification de passeports australiens ne serait pas considérée comme "le geste d'un ami."
Mais Yigal Palmor, le porte parole du ministère israélien des affaires étrangères a démenti hier que les relations diplomatiques étaient dans une mauvaise passe.
"je n'ai entendu aucun gouvernement accuser Israël d'être impliquée dans cette affaire, ni en France, ni en Grande Bretagne, ni en Irlande, ni en Allemagne et ni en Australie en ce moment," a-t-il dit sur ABC Radio.
Selon nos deux sources au sein des services de renseignements australiens, les trois personnes à la double citoyenneté sous surveillance de l'ASIO ont émigré en Israël au cours de la dernière décennie.
Chacun de ces trois hommes est, depuis, revenu en Australie à des moments différents pour changer de nom et obtenir un nouveau passeport australien.
Un des hommes sous surveillance a changé trois fois de nom de famille et les deux autres deux fois. Dans chaque cas, les hommes ont changé des patronymes qui pouvaient être perçus comme sonnant juif européen au profit de noms identifiés plus typiquement comme anglo-australiens.
Les citoyens australiens ont en général l'autorisation de changer de patronyme une fois tous les douze mois dès lors que ce n'est pas pour des motifs criminels.
Ces nouveaux passeports australiens ont depuis été utilisés pour pouvoir entrer dans un certain nombre de pays qui sont hostiles à Israël, dont l'Iran, la Syrie et le Liban. Aucun de ces trois pays ne reconnaît Israël et ils interdisent spécifiquement l'entrée de citoyens Israéliens sur leur territoire.
Notre journal a appris que ces trois citoyens Australiens ont en commun de travailler pour une société européenne de télécommunications qui possède une filiale au Moyen Orient..
The Age a contacté deux de ces hommes qui ont nié être impliqué dans une quelconque activité d'espionnage. Ils ont confirmé avoir changé de patronymes mais ont affirmé que l'idée qu'ils l'auraient fait pour obtenir de nouveaux documents de voyage pour circuler au Moyen Orient était, selon les termes de l'un d'entre eux, "totalement absurde."
Tous deux ont déclaré avoir changé de nom pour des raisons personnelles. On pense qu'un de ces hommes a aussi la citoyenneté britannique et qu'il fait l'objet de l'attention des services secrets britanniques depuis son changement de nom.
L'ASIO n'a fait aucun commentaire.
Un spécialiste Israélien du renseignement a déclaré hier à The Age qu'il n'était un secret pour personne qu'Israël approchait des gens qui avaient immigré d'autres pays pour aider Israël en remettant leurs passeports. "Les noms sont utilisés plus tard, mais la personne qui cède son passeport n'est pas impliquée."
Warren Reed, un ancien agent des services d'espionnage australiens, l'Australian Secret Intelligence Service, explique que le vol de passeports par des services étrangers n'était "pas nouveau."
"L'utilisation de faux papiers dans l'espionnage est aussi vieux que l'espionnage," dit-il.
Le député libéral Julian McGauran s'est nettement démarqué de la position de son leader et a critiqué le ministre des affaires étrangères Stephen Smith pour avoir "publiquement montré du doigt Israël."
Le leader d'opposition Tony Abbott, qui avait critiqué le premier le système australien des passeports, n'avait pas pu être joint hier au sujet de cette affaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires publiés après modération. Les propos injurieux, diffamatoires ou à caractère raciste ne seront pas publiés.