L'article date un peu, mais la rédaction du magazine Le Point sera sans doute heureuse de savoir que cet hebdomadaire a été admis dans le club des happy few (de plus en plus nombreux en réalité) qui ont ou ont eu le don d'irriter une des nombreuses officines sionistes, le centre Simon Wiesenthal en l'espèce.
Il paraîtrait que ce magazine antisioniste bien connu avait fait un titre de couverture faisant référence de manière incendiaire à un livre de Régis Debray. Et ce n'est pas tant le contenu de l'article proposé qui gêne cette officine sioniste, puisque des vues opposées à celles de Debray sont présentées, mais un "message subliminal."
Et le centre Wiesenthal qui n'a pourtant pas demandé le retrait de ce magazine des kiosques, s'en prend à la compagnie Air France pour avoir mis en vente ce numéro dans les vols d'une de ses filiales low cost.
Mais si le centre Wiesenthal n'a pas demandé le retrait de ce magazine des kiosques, pourquoi ennuie-t-il donc Air France?
Tout simplement parce que sa filiale Transavia proposait ce magazine sur des vols à destination de l'Afrique du Nord. Si les ventes avaient eu lieu sur des vols à destination par exemple de l'Angleterre, nous n'en aurions jamais entendu parler.
Alors que les gens du Centre Simon Wiesenthal se rassurent, les Nord Africains n'ont besoin ni de régis Debray, ni du magazine Le Point pour savoir à quoi s'en tenir vis-à-vis de l'entité sioniste.
Il paraîtrait que ce magazine antisioniste bien connu avait fait un titre de couverture faisant référence de manière incendiaire à un livre de Régis Debray. Et ce n'est pas tant le contenu de l'article proposé qui gêne cette officine sioniste, puisque des vues opposées à celles de Debray sont présentées, mais un "message subliminal."
Et le centre Wiesenthal qui n'a pourtant pas demandé le retrait de ce magazine des kiosques, s'en prend à la compagnie Air France pour avoir mis en vente ce numéro dans les vols d'une de ses filiales low cost.
Mais si le centre Wiesenthal n'a pas demandé le retrait de ce magazine des kiosques, pourquoi ennuie-t-il donc Air France?
Tout simplement parce que sa filiale Transavia proposait ce magazine sur des vols à destination de l'Afrique du Nord. Si les ventes avaient eu lieu sur des vols à destination par exemple de l'Angleterre, nous n'en aurions jamais entendu parler.
Alors que les gens du Centre Simon Wiesenthal se rassurent, les Nord Africains n'ont besoin ni de régis Debray, ni du magazine Le Point pour savoir à quoi s'en tenir vis-à-vis de l'entité sioniste.
Air France-KLM montrée du doigt pour une lecture proposée à bord de ses avions
JTA, Jewish Journal (USA) 18 octobre 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
Le centre Simon Wiesenthal de Paris veut qu'une filiale d'Air France-KLM cesse de vendre un magazine français dont l'article de couverture cible Israël selon le centre.
L'article à la une de l'hebdomadaire le Point "cible Israël, les Juifs de France et l'holocauste," a écrit le Dr Shimo Samuels, directeur du centre Wiesenthal pour les relations internationales, dans une lettre adressée la semaine dernière à Air France-KLM.
Samuels a demandé à Air France-KLM de prendre ses mesures disciplinaires [sic] et de s'excuser d'avoir choisi ce magazine pour des vols vers l'Afrique du Nord assurés par Transavia, sa filiale low cost [mais how low cost?]
On lit en titre sur la couverture du magazine "Gaza, shoah, Juifs de France - les accusations de Debray contre Israël." Un drapeau israélien et un portrait du philosophe Régis Debray pensif figurent sur la couverture.
L'article, publié pour la première fois en mai, rend compte d'un livre de Debray et comprend des extraits de ce livre dans lesquels il soutient qu'Israël n'a "jamais cessé de coloniser, d'exproprier er d'expulser" des voisins Palestiniens. Debray dit que les réfugiés de gaza ont été les victimes de "brutalités," et qu'Israël a humilié son voisin tout en étant aveuglée" par l'holocauste.
L'article relève les critiques portées aux dirigeants Juifs Français pour s'être associés à des manifestations de soutien politique à Israël et avoir mélangé religion et politique.
Ce numéro du magazine donne aussi un aperçu des critiques qui ont suivi la publication du livre de Debray.
En dépit de la publication dans le même numéro de points de vue opposés à ceux exposés dans le livre de Debray, Samuels considère que les dégâts ont été faits en montrant simplement ce qu'il qualifie de référence incendiaire au livre sur la couverture du magazine imprimée dans un catalogue présenté dans un avion où "il n'a aucune place."
"Que Air France ait choisi cette couverture m'inquiète," a déclaré Samuels à la Jewish Telegraphic Agency. "Dans ce cas précis, ce n'est pas le contenu, c'est le message subliminal."
En dépit de la publication dans le même numéro de points de vue opposés à ceux exposés dans le livre de Debray, Samuels considère que les dégâts ont été faits en montrant simplement ce qu'il qualifie de référence incendiaire au livre sur la couverture du magazine imprimée dans un catalogue présenté dans un avion où "il n'a aucune place."
"Que Air France ait choisi cette couverture m'inquiète," a déclaré Samuels à la Jewish Telegraphic Agency. "Dans ce cas précis, ce n'est pas le contenu, c'est le message subliminal."
Le centre travaille particulièrement dur à "apaiser les tensions" entre les Juifs Français et les Nord Africains, explique Samuels, et proposer la lecture de cet article dans un avion "sape ce que nous essayons de faire."
"C'est comme de montrer un film sur une catastrophe aérienne pendant un vol," a-t-il dit.
"C'est comme de montrer un film sur une catastrophe aérienne pendant un vol," a-t-il dit.
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