Voilà une petite histoire qui en dit long. Elle se passe aux Etats Unis, pays qui sans être laïque dispose de lois au niveau fédéral et des Etats qui sont adoptées par un législateur séculier, issu de processus électoraux. Ce sont ces lois qui sont supposées s'appliquer.
Sauf dans le cas présenté ci-dessous, où aux Etats Unis, un magistrat qui décide au nom de l'Etat entreprend de faire appliquer la halacha, la loi juive tirée du Talmud.
Ce qui est amusant, c'est de voir le héros involontaire de cette affaire plaider, comme le font certains tenants du judéo-christianisme, la qualité de rabbin de Jésus. Probablement un argument qu'on a estimé pratique de lui sortir pour faciliter sa conversion, mais devenu inutile une fois le gentil mari redevenu païen. Lui continue apparemment à croire à ce boniment pour incultes.
Il faut dire que ce monsieur est très naïf puisqu'il semble croire sincèrement qu'il est allé combattre en Afghanistan pour défendre les libertés des Afghans. Sans s'apercevoir que dans le même temps, on l'avait dépouillé chez lui d'une partie des mêmes libertés. Et que l'adversaire qu'il affronte chez lui est peut-être autrement plus coriace que les Talibans.
Sauf dans le cas présenté ci-dessous, où aux Etats Unis, un magistrat qui décide au nom de l'Etat entreprend de faire appliquer la halacha, la loi juive tirée du Talmud.
Ce qui est amusant, c'est de voir le héros involontaire de cette affaire plaider, comme le font certains tenants du judéo-christianisme, la qualité de rabbin de Jésus. Probablement un argument qu'on a estimé pratique de lui sortir pour faciliter sa conversion, mais devenu inutile une fois le gentil mari redevenu païen. Lui continue apparemment à croire à ce boniment pour incultes.
Il faut dire que ce monsieur est très naïf puisqu'il semble croire sincèrement qu'il est allé combattre en Afghanistan pour défendre les libertés des Afghans. Sans s'apercevoir que dans le même temps, on l'avait dépouillé chez lui d'une partie des mêmes libertés. Et que l'adversaire qu'il affronte chez lui est peut-être autrement plus coriace que les Talibans.
En emmenant sa fille juive à l'église, un père enfreint peut-être une injonction du tribunal
Yeshiva World (USA) 18 janvier 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
Chicago, Illinois - Joseph Reyes a fait ce samedi ce que des millions de parents font dans tout le pays, amener sa fille à l'église.
Mais pour ce père âgé de 35 ans, franchir le seuil d'une église pourrait conduire en prison.
"Un juge m'a ordonné de ne pas exposer ma fille à autre chose que le judaïsme," explique Reyes. "Mais je l'emmène pour entendre les enseignements de celui qui fut peut-être le rabbin le plus éminent de l'histoire de notre planète. Je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de plus juif."
Mais le mois dernier, un juge a émis une ordonnance temporaire interdisant expressément à Reyes d'exposer sa fille à toute religion autre que le judaïsme.
C'est arrivé après que Reyes ait fait baptiser sa fille sans avoir consulté d'abord son ex-épouse.
Reyes et son épouse sont en instance divorce et se livrent une rude bataille pour le droit de garde. Elle dit qu'il a toujours été d'accord pour élever leur enfant dans le judaïsme. Il affirme que ce n'est pas vrai.
"Ma fille devrait avoir une approche des deux religions, la mienne et celle de ma femme... Quand elle sera en âge, elle décidera par elle-même de comment elle souhaite finalement entretenir sa relation avec Dieu," déclare Reyes.
Ce vétéran de la guerre dit qu'il s'agit d'un droit pour lequel il a combattu par le passé et pour lequel il combattra encore.
Il affirme que s'il est jeté en prison, les électeurs devront se rappeler au bon souvenir du juge au moment des élections. Selon Reyes, le juge Edward Jordan est l'ancien chef de la Decalogue Society, le barreau des avocats Juifs.
L'ordre, tel que rédigé par le défenseur de son ex-femme, indique qu'amener l'enfant à l'église causerait un préjudice irréparable.
Reyes dit seulement vouloir faire ce que d'innombrables autres pères font chaque weekend.
"Je pense que c'est vraiment triste pour un pays d'en arriver au point où un père peut être emprisonné pour agir en tant que parent avec son enfant," déclare Reyes.
Reyes s'était converti au judaïsme peu après la naissance de l'enfant. Il dit avoir fait l'objet de pressions en ce sens.
L'avocat qui représente Mme Reyes a préféré ne pas s'exprimer. Le juge n'a pu être joint.
(Source: WCBSTV)
Yeshiva World (USA) 18 janvier 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
Chicago, Illinois - Joseph Reyes a fait ce samedi ce que des millions de parents font dans tout le pays, amener sa fille à l'église.
Mais pour ce père âgé de 35 ans, franchir le seuil d'une église pourrait conduire en prison.
"Un juge m'a ordonné de ne pas exposer ma fille à autre chose que le judaïsme," explique Reyes. "Mais je l'emmène pour entendre les enseignements de celui qui fut peut-être le rabbin le plus éminent de l'histoire de notre planète. Je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de plus juif."
Mais le mois dernier, un juge a émis une ordonnance temporaire interdisant expressément à Reyes d'exposer sa fille à toute religion autre que le judaïsme.
C'est arrivé après que Reyes ait fait baptiser sa fille sans avoir consulté d'abord son ex-épouse.
Reyes et son épouse sont en instance divorce et se livrent une rude bataille pour le droit de garde. Elle dit qu'il a toujours été d'accord pour élever leur enfant dans le judaïsme. Il affirme que ce n'est pas vrai.
"Ma fille devrait avoir une approche des deux religions, la mienne et celle de ma femme... Quand elle sera en âge, elle décidera par elle-même de comment elle souhaite finalement entretenir sa relation avec Dieu," déclare Reyes.
Ce vétéran de la guerre dit qu'il s'agit d'un droit pour lequel il a combattu par le passé et pour lequel il combattra encore.
Il affirme que s'il est jeté en prison, les électeurs devront se rappeler au bon souvenir du juge au moment des élections. Selon Reyes, le juge Edward Jordan est l'ancien chef de la Decalogue Society, le barreau des avocats Juifs.
L'ordre, tel que rédigé par le défenseur de son ex-femme, indique qu'amener l'enfant à l'église causerait un préjudice irréparable.
Reyes dit seulement vouloir faire ce que d'innombrables autres pères font chaque weekend.
"Je pense que c'est vraiment triste pour un pays d'en arriver au point où un père peut être emprisonné pour agir en tant que parent avec son enfant," déclare Reyes.
Reyes s'était converti au judaïsme peu après la naissance de l'enfant. Il dit avoir fait l'objet de pressions en ce sens.
L'avocat qui représente Mme Reyes a préféré ne pas s'exprimer. Le juge n'a pu être joint.
(Source: WCBSTV)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires publiés après modération. Les propos injurieux, diffamatoires ou à caractère raciste ne seront pas publiés.