Lisez bien ce qui est écrit sur la pancarte de ce manifestant prosioniste de San Francisco.
Et ça se passe devant la mairie de la ville! Qu'aurait-on dit s'il s'était agi d'un manifestant pro palestinien qui aurait tenu une pancarte avec le même contenu mais où Gaza serait remplacé par Tel Aviv où Eilat?
Ces gens ont l'air "civilisés."
Traduction: "Tant que Gaza ne sera pas entièrement détruit, le job ne sera pas terminé."
Et ça se passe devant la mairie de la ville! Qu'aurait-on dit s'il s'était agi d'un manifestant pro palestinien qui aurait tenu une pancarte avec le même contenu mais où Gaza serait remplacé par Tel Aviv où Eilat?
Ces gens ont l'air "civilisés."
Traduction: "Tant que Gaza ne sera pas entièrement détruit, le job ne sera pas terminé."
cette racaille a tendance a disparaitre c'est une entite qui coute chere a l'humanite donc son declin et inuluctable.
RépondreSupprimerRègle n° 1 : Au Proche-Orient, ce sont toujours les Arabes qui attaquent les premiers, et c’est toujours Israël qui se défend. Cela s’appelle des représailles.
RépondreSupprimerRègle n° 2 : Les Arabes, Palestiniens ou Libanais n’ont pas le droit de tuer des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.
Règle n° 3 : Israël a le droit de tuer les civils arabes. Cela s’appelle de la légitime défense
Règle n° 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l’appellent à la retenue. Cela s’appelle la réaction de la communauté internationale.
Règle n° 5 : Les Palestiniens et les Libanais n’ont pas le droit de capturer des militaires israéliens ; c’est un enlèvement, même si leur nombre est très limité et ne dépasse pas trois soldats.
Règle n° 6 : Les Israéliens ont le droit d’enlever autant de Palestiniens qu’ils le souhaitent (environ 10 000 prisonniers à ce jour, dont près de 300 enfants).
Shimon Peres (en hébreu שמעון פרס, arabe شمعون بيرس), né le 2 août 1923[1] [2], est un homme politique israélien.
UN ENFOIRé DE HAUTE VOLTIGE CE FILS DE CHIENNE!...
Gaza au 16ème jour : laboratoire d’expériences pour de nouvelles armes chimiques G.H Al Manar
Qui aurait pu penser qu’un jour au 21ème siècle, l’humanité aurait enfoui dans son inconscient l’holocauste des nazis perpétrés contre le peuple juif ? Au regard de ce qui se passe à Gaza, il est fort à craindre que loin de retenir les leçons du 20ème siècle, l’humanité, ou du moins ce qu’il en reste souffre d’amnésie. Car il est inimaginable, avec toute la science, le savoir, les droits, l’évolution que le monde dispose, qu’on puisse permettre à « Israël » et derrière elle les Etats-Unis de poursuivre le massacre de tout un peuple, pis encore, d’en faire un sujet d’expérimentation macabre pour de nouvelles armes chimiques allant du phosphore blanc en passant aux armes à énergie directe, ou aux agents chimiques et biologiques. Ainsi, des nuages blancs, ressemblant à ceux dégagés par les bombes au phosphore blanc apparaissent sur les images retransmises par l’agence Ramattan. Et le résultat : des corps dont les tissus sont nécrosés sans blessures apparentes ; des corps comme « momifiés » ; des blessés dont les jambes à moitié emportées continuent à se nécroser malgré l’amputation, et qui meurent ; des cas ont été décrits de blessures internes comme celles provoquées par une explosion, mais sans traces d’éclats ; ou bien de cadavres noircis alors qu’ils ne sont pas brûlés, ou d’autres qui avaient été apparemment blessés mais ne semblent pas avoir saigné... Le chef des services d’urgences palestiniens à Gaza, le médecin Mouawiya Hassanein, a affirmé que les corps qui sont parvenus à l’hôpital al-Mashfa dans la nuit de Samedi et ce Dimanche, étaient atteintes de brûlures au troisième degré non-apparentes. Et le bilan ne cesse de s’alourdir : soit plus de 890 morts, dont 275 enfants et plus de 3620 blessés, dont la moitié a moins de 16 ans. Selon un rapport d’experts militaires et médicaux cité par la télévision italienne Rai, les constations cliniques effectuées par des médecins de Gaza, indique clairement l’existence, parmi les blessés, de brûlures dues au phosphore : ils sont atteint d’éclats d’obus microscopiques, apparemment chargés de nouvelles substances chimiques qui ont le pouvoir de détruire le système immunitaire humain, causant la mort de tous les blessés de ce genre. D’où le risque de voir le bilan des morts s’alourdir même après un éventuel cessez-le-feu. Selon le médecin Mouawiya, le phosphore blanc peut provoquer des brûlures de la peau et endommager le foie, le coeur ou les reins. Pis encore, dans une agglomération comme Gaza, l’effet est désastreux, car le phosphore blanc se propage dans l’air et cause des brûlures au troisième degré chez de nombreux civils. Dans un communiqué, l’organisation Human Rights Watch (HRW) a accusé l’armée d’occupation israélienne d’utiliser des munitions au phosphore blanc dans la bande de Gaza et a souligné le risque que cela représentait pour les civils proches des lieux de combat.
Cette ignominie est honnie par 99.9% des êtres humains.A terme il faut qu'elle disparaisse !
RépondreSupprimerils sont atteint d’éclats d’obus microscopiques, apparemment chargés de nouvelles substances chimiques qui ont le pouvoir de détruire le système immunitaire humain,
RépondreSupprimerce sont de nouvelles armes qui font muter les cellules du sang trés rapidement, les globules blanche sont attaquées
le malade devient tout foncé ,avec des centaine de micro-hémorragie sous la peau
ces chiens appellent ca des armes du futur
ils ont aussi essayé des nouvelles mini bombes a neutrons puisque des gens sont morts par familles entières sans que la maison est cassée ou démoli
Merci de citer vos sources. Sans sources fiables, ce genre d'information ne vaut pas grand chose.
RépondreSupprimercomment sortir autant de stupidité,une honte pour les vrai croyants
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