Décidément, les temps sont durs pour le Mossad. Après l'apprenti terroriste qui s'est fait prendre par la police comme un vulgaire voleur à la roulotte ou des manoeuvres propagandistes qui font un flop, voilà que deux agents, de sexe féminin, sont hospitalisés en psychiatrie pour décompensation psychotique.
J'aurais cru que c'était l'état normal dans l'entité sioniste: petits délires paranoïaques ou francs délires paranoïdes. Mais bon, je me suis sans doute trompé. Après tout, quand on évoque la propagande paranoïaque sioniste, avec ses appels à bombarder préventivement l'Iran, ceux qui ont le plus besoin de soins sont finalement ceux qui lui accordent crédit. Le Mossad ne fait que son boulot: exciter des tierces parties pour qu'elles se mettent sur le pied de guerre avant d'en venir à faire parler les armes.
Un des arguments d'une source proche du dossier, comme dit l'article, affirme que 1 % de décompensations psychotiques dans les rangs du Mossad serait un pourcentage normal, équivalent à celui observé dans la population générale.
Oui, sauf que pour être recruté dans ce genre de service, on doit passer une batterie de tests qui permettent généralement de repérer les candidats présentant une prédisposition. Et que statistiquement parlant, il est tout à fait remarquable d'observer deux cas de décompensation psychotique venant d'un même service pour être admis presque simultanément dans un même établissement psychiatrique (un peu comme toucher deux fois le quinté dans l'odre deux jours de suite).
J'aurais cru que c'était l'état normal dans l'entité sioniste: petits délires paranoïaques ou francs délires paranoïdes. Mais bon, je me suis sans doute trompé. Après tout, quand on évoque la propagande paranoïaque sioniste, avec ses appels à bombarder préventivement l'Iran, ceux qui ont le plus besoin de soins sont finalement ceux qui lui accordent crédit. Le Mossad ne fait que son boulot: exciter des tierces parties pour qu'elles se mettent sur le pied de guerre avant d'en venir à faire parler les armes.
Un des arguments d'une source proche du dossier, comme dit l'article, affirme que 1 % de décompensations psychotiques dans les rangs du Mossad serait un pourcentage normal, équivalent à celui observé dans la population générale.
Oui, sauf que pour être recruté dans ce genre de service, on doit passer une batterie de tests qui permettent généralement de repérer les candidats présentant une prédisposition. Et que statistiquement parlant, il est tout à fait remarquable d'observer deux cas de décompensation psychotique venant d'un même service pour être admis presque simultanément dans un même établissement psychiatrique (un peu comme toucher deux fois le quinté dans l'odre deux jours de suite).
Deux agents du Mossad hospitalisés en psychiatrie
Deux jeunes agents du Mossad viennent d'être hospitalisés en psychiatrie dans un hôpital du centre du pays. Des agents du Mossad leur sont assignés 24h/24h pour s'assurer que des secrets d'Etat ne seront pas divulgués en raison de l'instabilité de leur état mental.
par Nir Gontage, Yedioth Aharonoth (Sionistan) 20 décembre 2009 traduit de l'anglais par Djazaïri
Un des plus importants hôpitaux psychiatriques d'israël a eu dernièrement la surprise d'accueillir une jeune patiente, agréable à regarder, dans un état psychotique er accompagnée par un garde du corps attitré, rapporte le Yedioth de dimanche.
Les médecins, qui ont demandé pourquoi cette femme était accompagnée d'un garde, ont été choqués d'apprendre qu'elle était un agent du Mossad et que le garde du corps ne lui était pas assigné pour garantir sa sécurité ou protéger sa vie, mais pour s'assurer qu'elle ne révèle aucun secret d'Etat dans son état de fragilité mentale.
Les ordres du garde du Mossad étaient clairs: "Il est interdit que les secrets de l'organisation soient divulgués à ceux qui n'ont pas le droit de les connaître." Les médecins, non habitués à la présence d'un tierce partie peandant les séances de soins, n'ont eu d'autre choix que d'acquiescer à ces exigences. En outre, le personnel soignant a dû obtenir une autorisation de sécurité avant d'avoir la permission de travailler sur ce cas peu ordinaire.
A leur grand étonnement, une autre jeune femme, accompapagnée également par un agent secret chargé de veiller à ce qu'elle ne divulgue aucun secret d'Etat, est arrivée dans l'institution peu de temps après. Les médecins ont appris qu'elle aussi était un agent du Mossad.
Des spécialistes ont affirmé samedi que la nature du travail de ces jeunes femmes était probablement la cause de leur psychose.
Le secret est essentiel dans les services de renseignements israéliens. Les méthodes de travail des agents restent mystérieuses pour la majorité des gens. Le Mossad dispose explicitement que ses agents sont "pris en charge avec des méthodes secrètes."
"Travailler sous forte pression psychologique et être exposé à des menaces réelles sur sa vie tout en se préoccupant au quotidien de la préservation de sa véritable identité
peut avoir un coût psychique qui peut se manifester par toutes sortes de désordres psychotiques," affirmait samedi le Dr Dorit Yudeshkin-Porat, psychiatre en chef de l'unité de traumatologie du Brull Community Mental Health Center de Tel Aviv.
Elle ajoutait: "Pour les personnes qui ont des prédispositions génétiques,ce type de travail peut même amener au développement d'états psychotiques. On peut dire avec certitude que travailler au Mossad place l'agent sous intense pression quotidienne."
"C'est peut-être lié à leur travail," déclare une source informée sur ces deux cas. "Statistiquement, ce pourrait être une coîncidence. Si un agent du Mossad sur 100 souffre d'un épisode psychotique, ce n'est pas différent du pourcentage de ce genre d'épisodes dans la population générale."
Les services du premier ministre ont déclaré, au nom du Mossad: "Nous ne donnons pas d'informations sur les activités de ce service."
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