mardi 19 février 2008

Les précautions à prendre avant d'arrêter un terroriste sioniste, ou comment Scotland Yard a laissé fuir un général sioniste

Le 11 septembre 2005, le général sioniste Doron Almog échappait à son arrestation qui devait avoir lieu à l’aéroport de Londres-Heathrow. En effet, ce chef de bande terroriste avait fait l’objet d’une plainte pour crimes de guerre déposée au Royaume-Uni par des militants pro palestiniens.
Cette plainte, nous informe ISM-France, avait été déclarée recevable par un magistrat britannique qui avait émis un mandat d’arrêt à l’encontre de Doron Almog pour suspicion d'avoir commis une grave violation la IVème Convention de Genève de 1949 (qui constitue un crime en Grande Bretagne aux termes d'une loi de transcription adoptée par la Grande-Bretagne en 1957, le Geneva Conventions Act).
Dans le même article, ISM-France explique que le voyou galonné après avoir passé un moment dans la zone de transit avait pris un vol retour pour l’entité sioniste après avoir appris qu’il risquait d’être interpellé et probablement jugé pour ses crimes.
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Aujourd’hui on en sait plus sur ce qui s’est passé et ce qui a permis la fuite du général gangster. Le journal The Guardian daté du 19 février 2008 rapporte que :

Scotland Yard a laissé échapper un suspect de crime de guerre car les officiers de police craignaient que la tentative d’arrestation provoque un échange de coups de feu à l’aéroport d’Heathrow, selon des documents de la police consultés par le Guardian.

Les policiers n’ont d’ailleurs fait aucune tentative pour monter à bord de l’avion dans lequel se trouvait le terroriste, de peur de se retrouver sous le feu des armes d’agents de sécurité embarqués. D’autant que le transporteur, la compagnie El Al n’avait pas autorisé la police à pénétrer dans l’avion.
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The Guardian nous apprend comment le général sioniste a été informé qu’il était en passe d’être arrêté par la police britannique :

Des diplomates Israéliens avaient été informés après le décollage d’Israël de l’avion d’Almog le 11 septembre 2005. Dès son arrivée à Londres, un attaché militaire de l’ambassade israélienne se rendit dans l’appareil pour avertir Almog de rester à bord. Il refusa de débarquer de l’avion en attendant son redécollage pour Israël deux heures plus tard.

Le rapport auquel a eu accès The Guardian a été rédigé par un officier chargé de la lutte anti terroriste, en principe à la tête d’hommes aguerris à réaliser des actions difficiles, ce qui ne les a pas empêché de reculer devant la mission que leur avait confiée la justice de leur pays.
Ces policiers se sont d’ailleurs posé la question de savoir s’ils avaient le droit d’intervenir dans un avion d’une compagnie étrangère. Information qu’ils ont mis plus de deux heures à obtenir même si Daniel Machover, un des avocats des plaignants, affirme lui, que la police n’avait nul besoin d’autorisation pour entrer à bord d’un avion se trouvant sur le sol britannique. Et, astuce à laquelle Scotland yard n’avait semble-t-il pas pensé, il aurait été à tout le moins possible d’empêcher l’avion de redécoller tant que le général sioniste n’en serait pas sorti.
Trop compliqué pour des policiers anti terroristes?

Mais il y a plus grave encore dans cette affaire

Le document révèle qu’avant l’arrestation prévue,

Scotland Yard avait consulté la police de West Midlands [région où se trouve une forte communauté juive] et une unité de police spécialisée nommée the national Communities Tensions Team, pour avis au sujet des réactions dans la communauté juive. Un “partenaire de confiance” de la police, un contact juif, fit également des démarches pour trouver un avocat pour Almog et lever des fonds pour une libération sous caution. Le document indique que les démarches avaient été faites “avec discrétion” sans mentionner le nom d’Almog.

Machover, l’avocat des plaignants, ne l’entend pas de cette oreille. Pour lui,

il était évident que les démarches portaient sur Almog :”Si vous faites des démarches de ce genre, il est facile à n’importe qui de mettre les éléments bout à bout et d’en déduire que les démarches avaient à voir avec Almog.”

J’ajouterai que si le “partenaire de confiance” n’a peut être rien dit au cours de ses démarches, ce qui serait étonnant, on peut supposer qu’il ne s’est pas gêné pour passer un coup de fil à l’ambassade sioniste. Coup de fil qu’il a sans doute passé au dernier moment : ainsi il reste digne de la confiance des uns et... des autres.
Le général terrosiste Almog, quant à lui, se félicte d'avoir voyagé sur El Al qui est une compagnie "loyale" envers les hiérarques sionistes, et non sur British Airways.

En conclusion, une petite recommandation à la police de M. Sarkozy. Pourquoi ne pas suivre l’exemple de Scotland Yard en sondant sa communauté d’origine avant d’arrêter un délinquant? (sans toutefois se limiter à une seule communauté comme nos amis Britanniques)


2 commentaires:

  1. Si ça avait été un arabe à la place du sioniste ils auraient débarqué dans l'avion et auraient tué 30 civils pour attraper le "terroriste". Mais comme là c'est un de leur collègue c'est pas pareil. Oui je dis collègue puisque tous nos gouvernants et les agences officielles bossent pour Rostschild donc Israel, forcément y'a conflit d'intéret, donc ils ont piétiné sur place jusqu'à ce qu'il parte. La chasse au terroriste est juste une chasse aux ennemis d'Israel le pays des connards.

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  2. Par les couilles vermoulues du prophete
    pedophile!quelle histoire!

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