lundi 27 avril 2015

Le séisme au Népal révèle un immonde trafic de ventres maternels organisé depuis Tel Aviv

L'entité sioniste égale à elle-même en toute circonstance

Israël évacue en priorité 25 bébés de mères porteuses

Par: rédaction, 7/7 (Belgique) 26 avril 2015

Israël va évacuer en priorité 25 bébés nés de mères porteuses et leurs parents adoptifs depuis le Népal où un violent séisme a ravagé le pays, ont annoncé dimanche les autorités israéliennes.
Il y a actuellement à Katmandou 25 nourrissons nés de mères qui les ont portés pour le compte d'Israéliens venus les récupérer au Népal, a expliqué le ministère des Affaires étrangères. Quatre d'entre eux sont des prématurés nécessitant des services médicaux qu'ils risquent de ne pas trouver après le tremblement de terre, a dit le ministère. 

Les Affaires étrangères évaluent à 600 ou 700 le nombre d'Israéliens se trouvant au Népal, la grande majorité d'entre eux étant des randonneurs. Aucun d'entre eux n'aurait été tué. 

Les 25 bébés et les Israéliens qui s'occupent d'eux seront "les premiers à monter dans l'avion" pour être ramenés en Israël, a dit à l'AFP Sabine Hadad, une porte-parole du ministère de l'Intérieur. 

Les Affaires étrangères se sont montrés prudentes quant à l'imminence de ces départs, qui peuvent être retardés pour des raisons médicales ou des considérations légales népalaises, ont-elles dit. Mais les autorités israéliennes feront "tout pour amener ces bébés en Israël", a dit un porte-parole du ministère, Paul Hirschson. 

Trois de ces bébés devaient partir vers Israël dimanche soir avec huit accompagnateurs, a-t-il dit. 

Sur les 25 enfants concernés, 15 ont vu le jour par l'entremise de Tammuz, une société israélienne prodiguant les services de mères porteuses, a dit à l'AFP son responsable commercial Roy Youldous.

En vertu de la loi israélienne, seuls les couples hétérosexuels ont le droit d'avoir des enfants de mères porteuses. 

Les homosexuels ou les personnes seules se tournent parfois vers la gestation pour autrui dans des pays en voie de développement, une pratique très controversée dénoncée par ses détracteurs comme l'exploitation de la misère. D'autres Israéliens, autorisés à recourir à des mères porteuses, renoncent

jeudi 16 avril 2015

Qu'est-ce que la pédagogie de "l'holocauste"?

Ce 16 avril est la date retenue par le régime sioniste pour la commémoration de ce qu'il est convenu d'appeler « holocauste », c'est-à-dire la déportation et l'extermination des Juifs par le régime nazi.
Selon Wikipedia, cette date fixée dans le calendrier hébraïque correspondrait initialement à une volonté de rendre hommage aux insurgés du Ghetto de Varsovie et à d'autres partisans juifs.
C'est quand même curieux car seule une minorité des insurgés du Ghetto était sioniste, certains combattants étant même carrément antisionistes comme Marek Edelman resté fidèle jusqu'au bout à ses convictions.
Cette journée est donc l'occasion de rappeler au monde la dette qu'il est supposé avoir envers le « peuple juif » mais aussi à appeler la population de l'entité sioniste à la cohésion autour de la peur et de ses pendants naturels, la haine et la vengeance.
Ces sentiments doivent bien sûr être inculqués à la population dès son plus jeune âge. A l'école par exemple. Mais comment transmettre un sentiment ? Comment amener un enfant à éprouver un sentiment aussi proche que possible de ceux qu'ont pu éprouver ceux qui avaient leur âge à l'époque du nazisme ?
Une enseignante a appliqué une méthode qu'elle n'est certainement pas la première à employer.
Et qui n'est pas loin de la proposition faite par Nicolas Sarkozy en 2008 qui devait consister à "confier la mémoire d'un des 11.000 enfants français victimes de la Shoah" à "tous les enfants de CM2".
On peut qualifier ce genre de démarche de dérive. Mais ce genre de dérive est inévitable dès lors qu'on substitue l'enseignement de la mémoire à celui del 'histoire.

Une enseignante d'école maternelle laisse les enfants rentrer chez eux avec des étoiles jaunes de l'holocauste

par Gali Markowitz-Slotzker, Jerusalem Post (Sionistan) 16 avril 2015 traduit de l'anglais par Djazaïri
Une mère fait part de son indignation devant ce qu'elle considère comme une méthode inappropriée d'enseignement de l'holocauste aux tout petits
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La mère d'une fillette âgée de trois ans s'est plaint à la mairie de Rishon Lezion sur un message Facebook jeudi après qu'une enseignante de l'école maternelle a laissé ses élèves rentrer chez eux avec une étoile jaune sur leurs vêtements dans le cadre d'une leçon pour la Journée de Commémoration de l'Holocauste.
La mère en colère a écrit dans le message, « Les enfants ont-ils besoin d'apprendre sur ce sujet rn portant des étoiles jaunes comme les survivants de l'holocauste ? » Dans leur monde, quand les enfants reçoivent un autocollant ou un symbole qu'on leur appose, ils le voient comme un prix, une récompense pour leur bonne conduite, pas du tout comme ce symbole qui charrie une signification très lourde, trop lourde pour des tout petits, alors que le message peut être transmis d'une manière plus appropriée et plus délicate pour les enfants de cet âge. »
Elle a ajouté : « Les enseignants d'écoles maternelles peuvent-ils donc faire tout ce qui leur passe par la tête ?  N'ont-ils aucune supervision ou instruction sur les conséquences si on fait quelque chose de ce genre. Je suis une des 17 mères qui ont vu leurs enfants rentrer de l'école maternelle comme ça [avec l'étoile jaune]. Une de ces mères a encore bien du mal à retrouver son calme et pleure sans arrêt depuis deux heures... Qui assume la responsabilité ici ? Que se passe-t-il avec l'éducation de nos enfants qui sont sans aucun doute entre de mauvaises mains ! A l'aide ! »
La municipalité de Rishon Lezion a déclaré en guise de réponse que, « Tous les membres des équipes chargées de l'éducation pré-élémentaire reçoivent des instructions en amont de la Journée de Commémoration de l'Holocauste. Cet incident déborde complètement les limites et nous le considérons avec beaucoup de gravité. Le personnel concerné de l'école maternelle a été immédiatement suspendu et sera convoqué pour un entretien. »

mardi 14 avril 2015

Les Etats Unis, ce pays où trop de malades mentaux ne sont pas soignés

L'Obamacare aura été une des réformes marquantes du passage de Brack Obama à la présidence des Etats Unis. Sans pouvoir être assimilé à une sécurité sociale comme on la connaît ailleurs, ce système a permis d'améliorer la couverture maladie de nombreux citoyens américains qui n'avaient pas les moyens de souscrire une assurance couvrant le risque santé.
Un volet important de l'Obamacare est l'extension de Medicaid, un système de prise en charge par les pouvoirs publics réservé aux plus démunis.
Si Barack Obama a pu faire passer, non sans difficultés, les dispositions de l'Obamacare, il en est allé différemment pour l'extension de Medicaid dont le financement repose entièrement sur les pouvoirs publics, c'est-à-dire l'Etat fédéral et les Etats qui le constituent. Une décision de la Cour Suprême a reconnu le caractère facultatif de la mise en place de l'extension de Medicare par les Etats et beaucoup se sont en effet abstenus de l'appliquer.
Non sans effet sur la prise en charge des populations en matière de soins, particulièrement de santé mentale comme l'explique l'article ci-dessous.

Là où les Américains n'ont pas d'assurance sociale, les malades mentaux ne sont pas soignés

Washington Post, 14 avril 2015 traduit de l'anglais par Djazaïri
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La politique de l'Obamacare se traduit par une coupure géographique au niveau des soins de santé mentale. Les Américains non assurés et à faible revenu de la côte pacifique, de l'est et de la partie nord de la côte atlantique ont un plus grand accès aux soins grâce à l'expansion de Medicaid, mais ce n'est pas le cas ceux du sud et du centre des Etats Unis, selon un nouveau rapport.
Près de 568 000 personnes non assurées, qui ont été diagnostiquées comme se trouvant dans un état mental grave ont reçu des soins en 2014 parce que leurs Etats de résidence ont choisi d'étenre Medicaid, selon l' American Mental Health Counselors Association, une organisation professionnelle qui milite pour la prise en charge des pathologies mentales. C'est le cinquième des près de trois millions d'adultes non assurés souffrant des graves affections mentales qui vivent dans les 24 Etats qui n'ont pas étendu Medicaid l'année dernière.
L'Obamacare a étendu Medicaid à toute personne dont les revenus sont inférieurs à 138 % du seuil de pauvreté fédéral (15 521 dollar par personne en 2014), le gouvernement fédéral prenant en charge 100 % des coûts d'assurance pour les nouveaux inscrits pendant trois ans. Cependant, après qu'une décision de la Cour Suprême en 2012 a laissé aux Etats la possibilité d'étendre ou pas l'éligibilité à Medicaid, certains Etats ont préféré continuer à recevoir le Medicaid « traditionnel » plutôt que les fonds d'extension de la couverture.
En 2014, 24 Etats ont emprunté ce chemin.
La carte ci-dessus montre le nombre de personnes dépourvues d'assurance et âgées entre 18 et 64 ans qui ont ou auraient dû être traitées pour des troubles mentaux sévères en 2014. Les Etats en gris ont accepté d'étendre le financement de Medicaid et les chiffres représentent une estimation du nombre de personnes souffrant de maladie mentale qui ont reçu des soins.
Les Etats en vert n'ont pas opté pour l'extension de la couverture Medicaid, ce qui signifie que les chiffres représentent le nombre de patients qui auraient pu être soignés mais ne l'ont pas été. Comme le montre la carte, environ 66 723 patients en Floride et 62 400 patients au Texas auraient pu recevoir un traitement en 2014. Les chiffres sont également importants en Pennsylvanie et dans l'Indiana, deux Etats qui ont décidé d'étendre l'éligibilité à Medicaid en 2015.

jeudi 9 avril 2015

Publié en 1968, un livre indispensable de Pierre Démeron sur les liens entre sionisme et élites françaises

Ce livre de Pierre Démeron, publié en 1968, est indispensable pour ceux qui veulent comprendre l'enracinement du soutien à l'entité sioniste dans une bonne partie des élites de l'après-guerre et formées durant la guerre d'Algérie. Parmi ces élites, des personnes aussi diverses que Juliette Gréco ou Valéry Giscard d'Estaing.
Pierre Démeron n'était nullement un marginal, critique littéraire pour un magazine féminin, il participait à des émissions littéraires à la radio et a rencontré les grandes personnalités du monde de la culture.

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mardi 7 avril 2015

Yasmina Haifi tient tête au lobby sioniste aux Pays Bas, et gagne.

Yasmina Haifi est une spécialiste de cybersécurité qui exerce aux Pays Bas pour le compte du ministère de la justice. Elle exerce toujours dans ce ministère même si elle a été relevée de ses fonctions dans la cellule antiterroriste qui en dépend.
Yasmina Haifi

Elle aurait pu être licenciée comme le souhaitait un certain nombre de politiques pour avoir écrit sur Twitter qu'elle considérait que l'Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daesh) faisait partie d'un plan sioniste pour nuire à l'Islam.
On dira que le raccourci est un peu rapide, mais dans le fond elle a raison notre informaticienne dont la mission antiterroriste lui a certainement permis de se faire son opinion.
Son employeur ministériel tout comme une commission des droits des fonctionnaires ont conclu qu'elle n'avait fait qu'exercer son droit à la liberté d'expression.
Elle a bien sûr été accusée d'antisémitisme et elle reconnaît elle-même ne pas avoir réalisé à quel pont la confusion était entretenue aux Pays Bas entre sionisme et judaïsme, elle qui précisément militait contre l'antisémitisme au sein du parti travailliste néerlandais dont elle était une adhérente.
Et dont elle a démissionné pour une raison non expliquée dans l'article.

Une spécialiste néerlandaise de cybersécurité qui avait déclaré que l'EIIL faisait partie d'un plan sioniste conserve son emploi

Jewish Telegraphic Agency 2 avril 2015 traduit de l'anglais par Djazaïri
(JTA) Un fonctionnaire néerlandaise qui affirmé que l'EIIL faisait "partie d'un plan [conçu] par les sionistes" peut garder son emploi, a décidé le ministre de la Justice du pays.
Le ministre Ard van der Steur a rendu sa décision publique mercredi dans une lettre adressée au Parlement à propos de la conduite de Yasmina Haifi, un ancien chef de projet au Centre national de cybersécurité du ministère.
Dans la lettre, van der Steur écrit que Haifi a reçu une notification "licenciement avec sursis" et sera transférée à un autre poste. Elle ne sera plus employée à l'unité néerlandaise de lutte contre le terrorisme auquel participe son ancien service fonctionne, mais elle travaillera ailleurs au sein du ministère.
Van der Steur a écrit la lettre pour répondre aux questions posées par des parlementaires de droite qui réclamaient des mesures contre Haifi.
En août, Haifi a été suspendue pour avoir écrit sur Twitter, "l'EIIL n'a rien à voir avec l'islam. Cela fait partie d'un plan par les sionistes qui cherchent délibérément à salir le nom de l'Islam." L'EIIL, ou Etat Islamique, est une organisation terroriste sunnite.
Haifi a nié être antisémite et a affirmé que son tweet visait Israël, pas les Juifs.
En Février, une commission présidée par Job Cohen, ancien maire d'Amsterdam et ancien leader du Parti travailliste néerlandais, conclu qu'il n'existait aucun motif valable pour licencier Haifi. Suite à la controverse, Haifi a quitté le Parti travailliste, où elle militait à titre bénévole.
La commission pour les droits des travailleurs de la fonction publique, présidée par Cohen, qui a des origines juives, avait recommandé une réprimande pour Haifi mais conclu qu'elle était protégée d'un licenciement par les lois relatives à la liberté d'expression.
Le vice-premier ministre Lodewijk Asscher a qualifié le tweet de Haifi "de forme classique d'antisémitisme."
Dans une lettre envoyée à des amis et à de la famille en Août, Haifi a nié être antisémite.
«J'ai toujours participé à des actions contre l'antisémitisme", écrit-elle. "Je ne m'étais pas rendue compte de la charge du mot sioniste / sionisme. Aux Pays-Bas (et dans le reste de l'Europe), il est équivalent de 'juif. " J'ai ciblé la politique d'expansion de l'État d'Israël et non le peuple juif ".

vendredi 3 avril 2015

Comment la presse rend compte de l'alliance entre les Etats Unis et al Qaïda en Syrie

Il y a un bon moment que Nidal (un pseudonyme adopté par un blogueur français) ne met plus à jour son blog mais continue à commenter l'actualité sur la plateforme Seenthis.
Ce fin observateur de la situation politique au Proche Orient mais aussi des médias fait ainsi une observation incisive sur la manière dont la presse française (ici le magazine Le Point) rend compte des récents revers subis par l'armée gouvernementale syrienne à Idleb, près de la frontière avec la Turquie, et au sud, à la frontière avec la Jordanie.
Les miliciens d'al Qaïda en Syriedéfilent  avec leurs véhicules neufs
Les miliciens d'al Qaïda en Syrie défilent avec leurs véhicules neufs
L'exercice journalistique sur lequel Nidal attire notre attention consiste à citer les protagonistes, c'est-à-dire les Etats Unis et al Qaïda, mais aussi loin que possibles l'un de l'autre dans l'article.
Nidal (@nidal) Retour des «rebelles» de l'AFP, avec un gros effort rédactionnel pour noyer le poisson. En supprimant le superflu, l'essentiel ressort pourtant clairement: la Turquie et la Jordanie arment massivement Al Qaeda en Syrie, avec l'argent de l'Arabie séoudite et le soutien des États-Unis.

_En Syrie, les rebelles infligent revers après revers au régime_

❝Dans le nord-ouest de la Syrie, la prise d'Idleb le 28 mars par la branche syrienne d'Al-Qaïda et des rebelles a été une cuisante défaite pour Damas […] La ville est tombée en quelques jours "grâce au grand nombre d'insurgés et surtout aux quantités d'armes parvenues via la Turquie"

[…]

 "L'Arabie saoudite, le Qatar, la Jordanie et la Turquie ont pris la décision (...) d'arrêter la progression de l'Iran en Syrie comme au Yémen." En Syrie, […] "ces puissances régionales veulent reprendre l'initiative", dit-il. Et, selon lui, la Turquie et la Jordanie ont laissé passer beaucoup d'armes dernièrement pour renforcer les rebelles, sous-équipés pour lutter contre une armée dotée de moyens bien supérieurs comme les avions.

[…]

L'aide de ces pays, appuyés par les États-Unis, est désormais "plus efficace et plus substantielle"❞

Le principe dans ce genre d'article, c'est de positionner le mot «États-Unis» aussi loin que possible de «Al-Qaïda».