vendredi 5 janvier 2007

L'Irak et Saddam Hussein depuis l'invasion américaine en quatre dessins

L'Irak et Saddam depuis l'invasion américaine vus par deux dessinateurs. Latuff, dessinateur Brésilo-Palestinien qui jouit d'une notoriété importante dans les milieux de gauche du tiers-monde notamment et Hic, dessinateur au Soir d'Algérie.

Ces dessins disent tout (ou presque)
















légende : Je n'aurai pas de repos tant que l'Irak ne sera pas libéré de toi

2 commentaires:

  1. Effectivement ces images valent plus de mille mots.

    L'Irak est une plaie dans le coeur pour le citoyen que je suis. Une honte pour le monde dit civilisé.

    Malheureusement, il faut en prendre conscience : les USA sont devenus la propriété exclusive d'Israël. Voyez qui détient le vrai pouvoir et vous comprendrez pourquoi la politique américaine est calquée désormais sur la politique israélienne.

    En France et en Europe nous sommes dans la même situation. La puissance de certains "lobbys qui n'existent pas" font que l'ensemble des médias sont la chasse gardée du sionisme.

    Quelle que soit la chaine que vous regardez, vous trouvez une proportion de journalistes sionistes ou pro-sionistes impressionnante. D'après Elisabeth Levy, 80% des journalistes et des intellectuels présents dans les médias sont Juifs. Leur boulot ? Conditionner les français en faveur d'Israel.

    Si par malheur SARKOZY est élu, la France deviendra une colonie israélienne. SARKOZY a des liens très forts avec Israel, au point d'avoir demandé au moment de la révolte des banlieues en novembre 2005, l'assistance de la police israélienne et l'aide du Ministre de l'Intérieur israélien.

    Il parait que "les israéliens savent comment traiter les arabes..."

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  2. En soi, l'éventualité que des journalistes soient Juifs n'est pas un problème. Il faut se garder de ce genre de raccourcis.
    Ce qui importe, c'est l'idéologie qui anime telle ou telle rédaction. Une ligne éditoriale répond à des impératifs de positionnement politique dans laquelle les journalistes pris individuellement doivent se couler, bon gré mal gré à moins de démissionner.
    Le prosionisme des uns ou des autres ne répond pas forcément à une "manipulation" mais aussi à une convergence d'intérêts perçue.
    Sarkozy est un bon exemple : si sa sympathie pour l'entité sioniste peut avoir quelque chose à voir avec une grand-mère juive, c'est surtout son analyse des problèmes de politique intérieure qui le rend sensible aux avances sionistes. Et la politique extérieure me direz-vous?
    Selon moi, politique extérieure et politique intérieure, c'est la même chose.

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